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La collectionneuse (histoire)

Frenchtkl

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May 16, 2004
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_ Vous vous prétendez le meilleur des «*ticklers*» de Paris. Seriez vous en mesure de le prouver ?
_ Est ce un défi ?
_ Très clairement, oui.

Il n'y avait pas dix minutes qu'elle m'avait ajouté à ses contacts, et déjà elle attaquait franc jeu. Son profil MSN n'indiquait rien. Je n'avais que son pseudo : DLFT. Desperately Looking For Tickling. Tout un programme.
Il ne fallut pas une heure de discussion pour qu'elle me donne un rendez-vous dans un bar branché du Marais.
Farce, piège ou réel cadeau du ciel ? J'avais peu de temps pour me préparer et peu de choses à perdre. Une douche, une chemise fraîchement repassée, un costume léger, et me voilà parti dans la douceur d'une nuit de juin.
Alors que les stations de métro défilent, la voix que j'ai brièvement entendue dans le casque de mon ordinateur résonne encore dans ma tête. Une voix surprenante, légère et gaie. Jeune, presque trop jeune.

Un peu plus tard, je m'installe sur un des tabourets du comptoir. Tandis que le serveur me prépare un gin-fizz, je me retourne pour scruter la salle. Il ne me faut que quelques secondes pour la repérer. Seules, près d'une table, une paires de bottes noires lacées sur le devant. Une plume est savamment glissée entre les boucles du lacet gauche. Négligemment croisées, les jambes attendent. Au dessus d'elles, dans une petite robe noire et argent, une jeune femme sirote dans un verre coloré. Blonde, les cheveux tirés dans un chignon sophistiqué, elle relève la tête quand un inconnu l'aborde. En deux mots, elle renvoie l'intrus.
Son regard se pose sur moi. Sa cheville fait un délicat mouvement de rotation comme pour m'inviter à m'approcher. Le regard fixé sur la semelle rouge de ses bottes, je me dirige vers sa table.
_ Vos Louboutins sont hypnotisantes, Mademoiselle.
_ Monsieur est connaisseur en chaussures également ?
Je retrouve la petite voix mutine de MSN. Elle me sourit presque naïvement. Une petite vingtaine, le visage fin, décoré de quelques tâches de rousseur.
Rapidement notre conversation s'enchaine. Elle, jeune fille d'un milieu plus qu'aisé. Jeunesse dorée qui a tout vu à vingt ans et cherche le sel de la vie dans les excès et les expériences hors normes. Je suis une expérience hors normes. Soit. Le temps passe. Après quelques verres, elle finit par m'inviter dans son appartement. Je me promets intérieurement d'essayer de m'éloigner le plus possible de la norme pour cette proie si facile.

L'immeuble est bourgeois, à la hauteur de mon hôte. Dans l'ascenseur, elle me susurre que les étages sous son appartement sont vides. Les propriétaires font refaire leur duplex de 300 mètres carrés pendant leurs vacances à Miami.
_ Comme ça, je pourrais crier autant qu'il le faudra.
Pauvre petite, si tu savais ce qui t'attends.

Elle se laisse tomber dans le canapé design et croise ses jambes. J'adore ces gambettes si bien galbées par ses bottes à talons.
_ Et si tu me déchaussais ici, avant qu'on passe dans la chambre ?
_ Ce sera le seul ordre auquel j'obéirai cette nuit.
A genoux, je prends sa jambe sur ma cuisse. A travers le cuir, je caresse cette cheville qui sera bientôt fermement ligotée. Ma main remonte sur son mollet, et je commence à tirer la fermeture. Pourtant je sens une faiblesse dans mon bras. Je ne parviens pas à retirer la botte. Ma tête tourne. La botte devient floue. Je relève mon regard vers le sien. Elle me sourit. Sa voix est lointaine.
_ Bonne nuit. A très bientôt.
J'essaye de parler, mais brusquement tout devient noir.

(à suivre)
 
Ma tête me faisait mal, comme lors d'un trop plein d'alcool mal digéré. Doucement, j'ouvrais les yeux. La lumière était vive. Tout était flou. J'entendais des voix féminines.
_ Il se réveille.
J'étais allongé sur le sol. Je vis s'avancer une silhouette dans ma direction. Je reconnu le claquement des bottes noires sur le parquet, le cheveux blonds autour de la tête. La garce. Elle m'a drogué. J'essaye de me relever. Mes mains sont bloquées dans mon dos, sans doute attachées. Je retombe. Nouvelle tentative. Je parviens à me mettre à genoux, mais je sens quelque chose qui me retient au niveau du cou.
_ Allons, allons, vous n'avez pas encore tout vos sens, me chuchote la jeune femme. Je vais vous aider à retrouver vos esprits.
Je sens sa main ouvrir ma chemise. D'un coup, elle plante ses ongles dans ma poitrine et me griffe violemment. La douleur me réveille. Ma vision devient plus nette. Je suis dans un vaste chambre, près d'un lit. Une chainette retient mon cou aux barreaux du lit. Mes mains doivent être menottées dans mon dos. Devant moi se tient ma tentatrice. L'oiseau innocent était bien plus dangereux qu'il n'en avait l'air.
_ Il a l'air d'aller mieux, Madame.
Madame ? Il y avait quelqu'un d'autre ? Rapidement, mes yeux scrutèrent la pièce. En effet, dans un coin de la chambre, une autre femme se tenait assise dans un fauteuil. Plus âgée, la trentaine. Brune aux longs cheveux parfaitement mis en plis qui lui retombaient sur les épaules. Un visage splendide aux traits fins mais un peu sévères. Elle portait une longue robe bleue nuit fendue jusqu'en haut des cuisses qui laissait voir une splendide jambe fuselée. Elle se leva et marcha dans notre direction.
_ Bien, ma petite Ariane, nous allons voir si ta prise est à la hauteur de sa réputation. Commence à me préparer, pendant que j'explique les règles de notre jeu à notre invité.
Elle vint s'assoir sur le lit avec grace, puis s'allongea doucement en pivotant. Le courant d'air m'apporta la légère odeur de cuir de ses escarpins qui passèrent non loin de mon visage. Des Stuart Weitzman, en soie noire scintillante, ponctuée de brillants. Les talons vertigineux étaient de fines colonnes d'acier torsadé.

_ Comme vous vous en doutez, je suis une femme qui n'a pas de soucis de fin de mois. La fortune que m'ont laissé mes parents me permet de ne rechercher que la jouissance de la vie. Il y a des plaisirs qui me sont faciles à obtenir.
Elle lança un regard langoureux à Ariane qui lui passa une paire de bracelets aux poignets. La jeune femme lui répondit en se passant langoureusement la langue sur les lèvres. Tandis qu'elle le laisait attacher les bras à la tête du lit, le femme continua.
_ Et il y en a d'autres qui sont beaucoup plus difficiles à atteindre.
Ariane se place près de moi au pied du lit, et déchaussa lentement sa patronne. Bien qu'encore voilés de bas noirs, je devinais la forme parfaite de ces pieds.
_ Il ya quelques années, je rencontrais un homme très particulier qui m'initia à certains jeux. Il me rendait folle, j'étais devenue complêtement au plaisir qu'il me donnait.
La jeune assistante déroulait doucement les bas le long de ses jambes fines, légèrement bronzées, dont je pouvais deviner la douceur depuis ma place.
_ Mais un jour, j'ai vexé cet homme. Peut-être l'ai je considéré comme un objet de plus que ma fortune pouvait m'offrir. Toujours est il qu'il disparut en me laissant dans un terrible manque.
Mon cœur s'emballa quand Ariane dévoila les pieds de sa maîtresse. Une forme parfaite : élancés sans paraître maigres ou osseux. Légèrement arrondis sans être trop charnus. Une peau qui semblait si douce, sans la moindre imperfection au talon. Des ongles impeccablement coupés, brillant d'un vernis rouge sang aussi poli qu'un miroir.
_ Ne sont ils pas magnifiques ? Je passe des heures en pédicure pour les garder les plus beaux possibles au cas où Il reviendrait.
Je ne pus qu'acquiescer de la tête, tout en espérant que mon pantalon ne trahisse pas mon érection. Ariane poursuivit en attachant les chevilles aux barreaux du lit avec des cordelettes de velours. Mon «*appât*» se débrouillait fort bien en noeuds. Je n'aurais pas mieux ligoté ces deux merveilles.
_ Vous vous doutez que mon sublime amant avait la même «*passion*» que vous. C'est pourquoi vous êtes ici.
A présent, les deux pieds étaient solidement arrimés au lit, écarté l'un de l'autre d'une soixantaine de centimètres. Ariane recula et s'éloigna au fond de la pièce.
_ Vous êtes ici pour exercer votre talent sur moi. Saurez vous me faire perdre la raison et les sens, comme je les ai perdus autrefois ?
_ De ... de combien de temps ...
_ Cela dépendra. De votre résistance.
_ De ma ...
Je sentis une douleur à mon épaule. Je me retournais brusquement en tirant sur ma chaine. Derrière moi, Ariane s'était faufilée et venait de me piquer avec une seringue.
_ En moyenne, le poison agit en 5 ou 6 heures.
_ Le poison ?
_ Exactement, mon cher. Vous voilà condamné à réussir à me faire crier «*Grâce*». Si jamais vous y parvenez, Ariane vous injectera l'antidote, sinon, vous vous endormirez pour toujours.
Je tirais sur la chaîne.
_ Mais vous êtes folle !
_ Oui. Complètement folle en manque. Je vous conseille cependant de commencer au plus vite. Qui sait, chaque seconde peut compter ...
 
Last edited:
Il me fallu quelques instants pour me reprendre. J'étais passé d'un état d'extase devant une des plus belles paire de pieds que j'avais jamais vue, et soudain, cette piqure, cette histoire de poison.

Du calme, du calme. J'avais déjà fait pleurer et supplier des tas de femmes. Celle là aussi succomberait.
Je le rapprochais du lit. Je pris dans ma main gauche, le pied droit. Doucement du bout des doigts, j'effleurais la peau de la plante. Morceau par morceau j'explorais les bosses, les creux de ce pieds, très délicatement, guettant le moindre frisson, la plus petite réaction. Ma victime se contractait de temps à autres, lâchant de petits cris. Rien de bien fort. Tout ce que je faisais, c'était bien remarquer, repérer et inscrire dans ma tête les points sensible de la belle. Pour pouvoir être efficace, et saturer la suppliciée au bon moment, je devais tout connaître de la cartographie de ses pieds. Mentalement, je notais chaque petite veine, chaque petit plis, comme autant de points de repères encadrant les zones de haute sensibilité de la belle. Depuis le talon, incroyablement choyé et doux comme une pêche, jusqu'aux orteils, mes doigts glissèrent sur cette "Terra incognita", provoquant de ci et de là, un gloussement, un frisson et quelques fois poussant le pied à tirer sur ses liens.
De longues minutes furent nécessaires pour que le pied de ma victime livre ses secrets. Et encore, eusse t'il fallu qu'elle ne soit pas assez résistante et subtil pour simuler de fausses réactions dans des zones insensibles pour me tromper dans mes plans.
J'achevais cependant mon exploration, et je passais à l'autre pied. Là aussi, je pris mon temps pour bien connaître ma victime, en dresser toutes les faiblesses, et élaborer ma stratégie.
Toute cette étape n'avait été qu'une mise en bouche, même pas un aperçu de ce que je pouvais déclencher, mais déjà, la belle miaulait dans ses liens, étirait ses pieds, les cambrant au maximum tout en écartant ses orteils en éventail.
_ Cessez ces petits jeux ... ils ne font que me mettre l'eau à la bouche. J'attends plus de v...
Elle se figea, laissant sa phrase suspendue. Par surprise, mes cinq doigts s'étaient posés avec insistance sur la ligne qui reliait la petite boule de sa cheville, filait au milieu de la voute et finissait par disparaitre sous le gros orteil. Elle se crispa. Je continuais à pianoter à cet endroit, accélérant mon rythme. A travers sa mâchoire crispée, passèrent quelques cris étouffés :
_ Crrrr ... huuumpf
Je vis ses poings se serrer sur les liens de ses poignets. Ainsi, je ne m'étais pas trompé dans mon repérage. Je sentis son pied tenter de s'échapper de ma main gauche quand j'accentuais mon va et vient sur cette ligne qui devait masquer un nerf. Elle miaula longuement en fermant les yeux.
_ Mmmmouf ... ouf .. ouf.
Sa respiration devient courte et haletante, tandis qu'elle luttait contre mon assaut. Elle rua dans ses liens comme pour échapper à mon implacable supplice que je poursuivais implacablement. Son souffle devenait de plus en plus fort et rapide. A la troisième ruade, je lâchais soudainement son pied et mes deux mains revinrent presque instantanément de part et d'autre de sa cheville. Mes doigts dansèrent sur les côtés et le dessous de son talon. Elle explosa. Son rire envahit la pièce. Ma victime se lâcha totalement, riant, se débattant de toutes ses forces. Elle n'avait pas résisté longtemps, bientôt, elle criera grâce.

... à suivre ...
 
Last edited:
Très sympa cette petite mise en bouche, il est toujours agréable de voir de nouveaux "chatouillomanciers" ;)
Bonne continuation à toi
Whitedarf
 
Je dois dire que j'aime beaucoup. Evidemment, c'est un peu court, mais une fois accepté cet état de fait, la lecture est des plus plaisantes. J'adore réellement l'idée du poison et de l'antidote, vraiment excellente et que je regrette profondément de n'avoir pas eue moi-même ;) Sourire, comme dirait Peheff.

Tout en souhaitant bonne chance à notre infortuné héros, je reste à l'affût de la suite. A bientôt j'espère.
 
Je ne savais depuis combien de temps durait le supplice. La belle inconnue riait aux éclats, manquait de s'étouffer dans des spasmes. Son corps était tendu comme un arc sous mes doigts, mais malgré tout cela, elle ne suppliait pas, ne prononçait pas un seul "non". Je commençais à désespérer. Pourtant les points étaient les bons, chacun des passages de mes doigts sur sa peau si sensible lui arrachaient une série de tressaillements, un rire, et son corps se soulevait en tirant sur les liens.
C'était comme si son corps réagissait aux chatouilles naturellement en cherchant à se protéger et à fuir. A la façon dont il se débattait, dont elle frissonnait, il y semblait même hypersensible. Je n'avais vu de telles réactions que chez des femmes qui ne tenaient pas plus de quelques minutes avant de prononcer leur "safeword". Mais là, sa volonté, son esprit étaient plus forts et dominaient le réflexe de réclamer pitié et de faire cesser le jeu. Elle s'imposait d'elle même la poursuite de cette invasion de sensations physiques. Alors que tout son instinct devait lui commander d'abandonner tout cela, son désir d'explorer les limites de l'ivresse dans laquelle elle sombrait restait plus fort. Je commençais à penser que je ne viendrais pas à bout de cette volonté. Il me vint à l'esprit que la seule limite de cette femme serait peut-être effectivement la jouissance. Mais c'était impossible. Jamais, jamais, je n'étais parvenu à la jouissance d'une femme par la seule force de mes doigts sur ses plantes de pieds. Non, je n'étais pas à la hauteur de son amant disparu. Et pourtant, je ne m'étais jamais senti aussi proche de cet oméga. Peut-être que si ... A mes dix doigts qui la faisaient déjà se tordre dans ses liens, j'ajoutais la pointe de ma langue. La belle hurla en se trémoussant. Cette réaction m'encouragea. J'oubliais tout ce qui m'entourait. Mon attention était toute focalisée sur les pieds de ma suppliciée. Malgré tout, je sentais monter en moi la même excitation sexuelle. Alors qu'elle mêlait rires et râles, mon sexe tendait la fine toile de mon pantalon. Je levais le visage vers elle. Ses yeux étaient grands ouverts, mais son regard était perdu loin, très loin.
A ce moment, Ariane se glissa dans mon dos.
_ Oui, tu y es presque. Il faut aller plus vite, donne tout.
J'allais me retourner vers elle, mais elle me replongea le visage sur les orteils crispés de ma victime que j'aspirais à nouveau goulument, faisant glisser ma langue dans leurs doux creux.
L'assistante ouvrit mon pantalon et avant que je ne puisse libérer ma bouche, elle avait saisit mon membre dur comme de l'acier.
_ Allez, c'est le sprint final. Lache tout. Amène là au bout. Vite. Si je te libère avant, tu ne pourras plus rien faire, et c'en sera fini de toi.
Et pour appuyer ses mots, elle me serra plus fort entre ses doigts et balança sa main rapidement.
Je ne réfléchis plus, je ne tiendrais pas longtemps sous cette poigne experte. Doigts, main, langue, tout se lâcha sur ma suppliciée ...
 
Last edited:
La main d'Ariane caressait vigoureusement mon membre déjà tout excité par cette longue séance de chatouilles. Paniqué, je sentais également le poisson qui commençait à faire effet. Mes doigts devenaient plus raides, je ne sentais plus la peau de ma victime sous ma langue. Pourtant, tout son corps vibrait. L'inconnue hurlait, tirait comme une bête prise au piège sur ses liens, mais plus aucune sensation ne montait de mes doigts, comme si je ne la touchais plus. Elle était si proche de céder. Un frisson immense me traversa. J'éclatais dans la main d'Ariane. Je jouis comme jamais je n'avais jouis. Non, pas maintenant, pas si près du but. J'essayais de poursuivre un instant ma torture, mais mon corps m'abandonna. D'une pichenette, ma libératrice me renversa au sol. Il fallait que je me relève. Mais non, mes muscles commençaient à se tétaniser. Non. Impuissant, encore frissonnant du puissant orgasme qui m'avait été offert, je vis Ariane se lancer visage en avant entre les jambes de sa maîtresse. Ma vision devenait trouble. Non, je ne peux pas mourir, pas comme ça. Ma tête se mit à tourner, je ne voyais plus la scène, mais j'entendais encore les cris de l'inconnue. Sous la langue de sa fidèle servante, elle aussi libéra son plaisir.
La dernière chose que j'emporterais de ce monde, pensais je avant de sombrer, sera l'orgasme d'une divine beauté.


Tout ankylosé, la nuque raide, les articulations douloureuses, je me réveillais nu dans mon lit. Il me fallut quelques minutes pour reprendre mes esprits. Avais je rêvé ?

Près de moi, je trouvais une enveloppe et une carte glissée à l'intérieur.

"Vous fûtes un excellent tortionnaire, très proche de franchir les portes qu'un seul eut jamais passé. Pardonnez moi encore pour cette histoire de poison, mais avouez que ce fût une excellente source de motivation."
 
Last edited:
Enfin fini ... désolé d'avoir été long, surtout pour un épilogue aussi court. j'ai été pas mal occupé ces derniers temps.
 
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