Juste une petite introduction d'histoire, une mise en scène comme une mise en bouche pour stimuler votre imagination.
_ Ce soir, j'ai une surprise pour toi.
_ Encore ? répond elle, un sourire amusé aux lèvres.
Il l'entraine dans le séjour d'une grande villa louée pour l'occasion. Au milieu de la pièce trône une sorte de long chariot sur lequel sont disposées de nombreuses sangles.
_ On dirait un chariot d'hôpital. Tu veux jouer au docteur ?
_ En quelque sorte. Approche.
Le chariot est assez long pour y allonger une personne bras étendus. Les larges sangles ne laissent aucun doute. Dans quelques minutes, elle sera attachée sur cette table.
_ Qu'y a t'il d'original ? le provoque t'elle.
_ Patience ma belle. Commence donc par te déshabiller et par t'assoir sur ce confortable instrument.
Déjà émoustillée à l'idée qu'il allait lui faire passer une soirée de chatouilles, elle se débarrassa de ses vêtements.
_ Tes dessous aussi, lança t'il avec un sourire.
_ Ah bon ?
Elle laissa glisser sa culotte sur ses chevilles, et s'assit sur le chariot.
Il l'aida à s'allonger au milieu de la forêt de sangles : des bandes de cuir larges de quelques centimètres qui la maintiendraient bien fermement. Elle se laissa ligoter au chariot, impatiente de livrer sa peau aux chatouilles de son amant.
Le dispositif était impressionnant : pas moins de 4 sangles sur chaque jambe, 3 par bras, et 3 autres autour du tronc.
Elle se retrouva complètement immobilisée sur cette planche molletonnée.
_ Pourquoi tant de liens ? Tu penses que tu vas me faire autant gigoter que ça ?
Il eut un sourire.
_ Moi ? Non. Mais mes amis oui.
_ Tes amis ?
Elle ouvrit grand les yeux qui tremblaient un peu paniqués.
_ Oui, tu m'as souvent parlé de ce fantasme, où tu étais abandonnée aux chatouilles de tout un groupe de tortionnaires. Alors j'ai décidé d'inviter tout un groupe de passionnés de chatouilles.
_ Non, tu n'as pas fait ça ?
Il fit un oui de la tête en souriant de plus belle.
_ Mais, tu ... tu ne vas pas m'offrir comme ça nue à des inconnus ?
Elle tira et se débattit dans les sangles.
_ Si, si ...
_ Non, s'il te plaît, détache moi.
_ Un peu de patience, ma belle.
Il alla prendre quelque chose posé contre le mur, qu'elle n'avait pas remarqué en entrant dans la pièce. C'était une sorte de caisson gris, apparemment aussi long que le chariot. Un peu partout sur le caisson, se trouvaient des disques noirs d'une dizaine de centimètres de diamètre.
Il posa le caisson au pied du chariot.
_ Un superbe couvercle en plexiglas traité. Regarde. Une fois couverte de ceci, personne ne verra ton corps. Par contre ...
Il retourna le caisson. Dans ce sens, elle vit à travers le plastique le fond de la pièce.
_ C'est totalement transparent dans ce sens. Ainsi, toi tu ne rateras pas une miette de tes bourreaux.
Elle vit également que les disques noirs, étaient prolongés à l'intérieur du caisson par des gants longs en satin.
_ Tu commences à comprendre ? Bien qu'enfermée dans ce sarcophage, les invités pourront t'atteindre grâce à ces gants.
Il posa le caisson sur le chariot. Elle se retrouva complètement couverte.
Elle eut un mouvement de recul quand elle se senti enfermée dans cette boite. Elle senti les gants tomber sur ses bras, ses cotes, son ventre, son sexe, ses cuisses, ses genoux et ses pieds. Toutes les parties sensibles de son corps étaient à portée des gants.
A travers le plastique teinté, elle le voyait fixer le couvercle sur le chariot.
_ Je verrouille le couvercle avec un cadenas à code. Ainsi, ils ne pourront pas ouvrir et te dévoiler. A moins que tu ne leur donnes le code.
_ Mais je ne le connais pas le code.
_ Regarde un peu au dessus de toi. Il est inscrit dans la boite.
Elle leva les yeux et vit effectivement la combinaison de 4 chiffres.
_ L'objectif de mes amis, sera de te faire avouer ce code pour pouvoir ouvrir le caisson et "profiter" entièrement de ton corps. A toi de voir si tu pourras tenir.
_ Tenir, mais combien de temps ?
_ C'est là, la surprise. Il y a un temps limité, mais tu ne me connais pas. Cela donne un peu de sel au jeu, non ?
Son estomac était un peu noué. Elle tremblait un peu à l'idée d'être soumise à toutes ces paires de mains.
_ C'est un groupe qui se connait et qui s'entraine entre eux. Ce sont des experts.
_ Est ce que ...
La sonnerie de la porte d'entrée retentit. Il enfila une cagoule de satin pour masquer son visage et se dirigea vers la porte.
_ Je crois que nos hôtes sont là. Excuse moi, je reviens.
Quelques minutes après, les bourreaux entraient dans la pièce. Elle faillit laisser échapper un cri. Parmi les 4 hommes et les 3 femmes qui tournaient à présent autour du caisson, elle en reconnu plusieurs : sa meilleure amie, un collègue de travail, ...
Son cœur se mit à battre la chamade. Il fallait absolument qu'elle ne réclame pas pitié en révélant le code qui la dévoilerait. Son corps se tendit dans les sangles, quand les premières mains commencèrent à se glisser dans les gants du caisson ...
(la suite reste libre à votre imagination)
_ Ce soir, j'ai une surprise pour toi.
_ Encore ? répond elle, un sourire amusé aux lèvres.
Il l'entraine dans le séjour d'une grande villa louée pour l'occasion. Au milieu de la pièce trône une sorte de long chariot sur lequel sont disposées de nombreuses sangles.
_ On dirait un chariot d'hôpital. Tu veux jouer au docteur ?
_ En quelque sorte. Approche.
Le chariot est assez long pour y allonger une personne bras étendus. Les larges sangles ne laissent aucun doute. Dans quelques minutes, elle sera attachée sur cette table.
_ Qu'y a t'il d'original ? le provoque t'elle.
_ Patience ma belle. Commence donc par te déshabiller et par t'assoir sur ce confortable instrument.
Déjà émoustillée à l'idée qu'il allait lui faire passer une soirée de chatouilles, elle se débarrassa de ses vêtements.
_ Tes dessous aussi, lança t'il avec un sourire.
_ Ah bon ?
Elle laissa glisser sa culotte sur ses chevilles, et s'assit sur le chariot.
Il l'aida à s'allonger au milieu de la forêt de sangles : des bandes de cuir larges de quelques centimètres qui la maintiendraient bien fermement. Elle se laissa ligoter au chariot, impatiente de livrer sa peau aux chatouilles de son amant.
Le dispositif était impressionnant : pas moins de 4 sangles sur chaque jambe, 3 par bras, et 3 autres autour du tronc.
Elle se retrouva complètement immobilisée sur cette planche molletonnée.
_ Pourquoi tant de liens ? Tu penses que tu vas me faire autant gigoter que ça ?
Il eut un sourire.
_ Moi ? Non. Mais mes amis oui.
_ Tes amis ?
Elle ouvrit grand les yeux qui tremblaient un peu paniqués.
_ Oui, tu m'as souvent parlé de ce fantasme, où tu étais abandonnée aux chatouilles de tout un groupe de tortionnaires. Alors j'ai décidé d'inviter tout un groupe de passionnés de chatouilles.
_ Non, tu n'as pas fait ça ?
Il fit un oui de la tête en souriant de plus belle.
_ Mais, tu ... tu ne vas pas m'offrir comme ça nue à des inconnus ?
Elle tira et se débattit dans les sangles.
_ Si, si ...
_ Non, s'il te plaît, détache moi.
_ Un peu de patience, ma belle.
Il alla prendre quelque chose posé contre le mur, qu'elle n'avait pas remarqué en entrant dans la pièce. C'était une sorte de caisson gris, apparemment aussi long que le chariot. Un peu partout sur le caisson, se trouvaient des disques noirs d'une dizaine de centimètres de diamètre.
Il posa le caisson au pied du chariot.
_ Un superbe couvercle en plexiglas traité. Regarde. Une fois couverte de ceci, personne ne verra ton corps. Par contre ...
Il retourna le caisson. Dans ce sens, elle vit à travers le plastique le fond de la pièce.
_ C'est totalement transparent dans ce sens. Ainsi, toi tu ne rateras pas une miette de tes bourreaux.
Elle vit également que les disques noirs, étaient prolongés à l'intérieur du caisson par des gants longs en satin.
_ Tu commences à comprendre ? Bien qu'enfermée dans ce sarcophage, les invités pourront t'atteindre grâce à ces gants.
Il posa le caisson sur le chariot. Elle se retrouva complètement couverte.
Elle eut un mouvement de recul quand elle se senti enfermée dans cette boite. Elle senti les gants tomber sur ses bras, ses cotes, son ventre, son sexe, ses cuisses, ses genoux et ses pieds. Toutes les parties sensibles de son corps étaient à portée des gants.
A travers le plastique teinté, elle le voyait fixer le couvercle sur le chariot.
_ Je verrouille le couvercle avec un cadenas à code. Ainsi, ils ne pourront pas ouvrir et te dévoiler. A moins que tu ne leur donnes le code.
_ Mais je ne le connais pas le code.
_ Regarde un peu au dessus de toi. Il est inscrit dans la boite.
Elle leva les yeux et vit effectivement la combinaison de 4 chiffres.
_ L'objectif de mes amis, sera de te faire avouer ce code pour pouvoir ouvrir le caisson et "profiter" entièrement de ton corps. A toi de voir si tu pourras tenir.
_ Tenir, mais combien de temps ?
_ C'est là, la surprise. Il y a un temps limité, mais tu ne me connais pas. Cela donne un peu de sel au jeu, non ?
Son estomac était un peu noué. Elle tremblait un peu à l'idée d'être soumise à toutes ces paires de mains.
_ C'est un groupe qui se connait et qui s'entraine entre eux. Ce sont des experts.
_ Est ce que ...
La sonnerie de la porte d'entrée retentit. Il enfila une cagoule de satin pour masquer son visage et se dirigea vers la porte.
_ Je crois que nos hôtes sont là. Excuse moi, je reviens.
Quelques minutes après, les bourreaux entraient dans la pièce. Elle faillit laisser échapper un cri. Parmi les 4 hommes et les 3 femmes qui tournaient à présent autour du caisson, elle en reconnu plusieurs : sa meilleure amie, un collègue de travail, ...
Son cœur se mit à battre la chamade. Il fallait absolument qu'elle ne réclame pas pitié en révélant le code qui la dévoilerait. Son corps se tendit dans les sangles, quand les premières mains commencèrent à se glisser dans les gants du caisson ...
(la suite reste libre à votre imagination)
