• The TMF is sponsored by Clips4sale - By supporting them, you're supporting us.
  • >>> If you cannot get into your account email me at [email protected] <<<
    Don't forget to include your username

The TMF is sponsored by:

Clips4Sale Banner

Les stagiaires (vieille histoire)

Frenchtkl

Registered User
Joined
May 16, 2004
Messages
21
Points
0
Une très vieille histoire donc, puisqu'elle date de 1999. Je l'avais écrite à l'époque pour l'Initiation, le site de Peheff.

Les stagiaires

Lorsque vers 15 heures les bureaux se furent vidés, je me rendis dans la petite pièce où travaillaient Paul et Stéphane. Les deux jeunes hommes étaient très occupés quand j'arrivais, mais tous les deux levèrent la tête fixant ma poitrine.
- Salut ! Vous êtes en voiture ? La mienne est au garage, et Karine devait me ramener. Mais je crois qu'elle m'a oubliée. Ca ne vous dérange pas de me raccompagner ?

Paul restait sans voix, continuant de lorgner vers mon décolleté.

- Non, bien sur ! D'ailleurs, on avait fini notre boulot.

Bien entendu, je les invitais à prendre un verre chez moi. Ce qu'ils acceptèrent volontiers. Comme je passais devant eux dans les escaliers, ils purent admirer mes jambes galbées, tandis que mes talons aiguilles claquaient sur le carrelage.

Une fois dans l'appartement, nous passâmes très vite du salon et des verres, jusqu'à ma chambre. J'étais debout, Paul derrière moi déboutonnait mon chemisier d'une main, l'autre était déjà glissée à l'intérieur et caressait mes seins. Stéphane, à genoux devant moi, avait déjà descendu ma jupe et posait de délicats baisers sur ma petite culotte. Bientôt, mon chemisier tomba sur le sol, et ma petite culotte le rejoignit. Stéphane s'était relevé et m'embrassais en caressant mes seins des deux mains. Paul avait descendu les siennes sur mes hanches et ses doigts cherchaient dans ma toison blonde. Je sentais son souffle dans mes longs cheveux.

Soudain ses mains remontèrent sur ma taille, le long de mes côtes, jusqu'aux aisselles. Cela me chatouilla tellement que je ne pus réprimer un grand éclat de rire. Paul me susurra :

- Notre Claire craint-elle les chatouilles ?

- Oh oui, horriblement !

Je ne vis pas le clin d'œil que Stéphane fit à Paul.

Paul recula, tandis que Stéphane me déséquilibra pour me faire tomber sur le lit. Faisant peser son poids sur mon corps, il me plaqua sur le matelas. Ce petit accès de violence m'excita, et je commençait à retirer la chemise de Stéphane. C'est alors que Paul s'empara des mes poignets et les tira au dessus de ma tête. Je vis qu'avec sa ceinture, il les attachait aux barreaux du lit. J'étais immobilisée : Stéphane coinçait mes cuisses entre les siennes et bloquait mes jambes. Il dut voir l'inquiétude qui se glissait dans mon regard.

- Nous allons jouer un peu avec toi, Claire !

Alors, leurs mains se ruèrent sur moi. Celles de Paul se posèrent sur mes côtes, tandis que Stéphane s'occupait de mon ventre. Leurs chatouilles m'arrachèrent un cri de surprise. J'hurlais de rire, en tentant de me débattre. Mais Stéphane m'écrasait de tout son poids. Leurs doigts agiles courraient sur ma peau frissonnante déclenchant à chaque fois un éclat de rire. Mon corps s'agitait de soubresauts. Entre deux crises de fou rire, je les suppliais d'arrêter. Paul me répondit en remontant ses mains vers mes aisselles et en accélérant le rythme de ses chatouilles. Bientôt des larmes de rire coulèrent sur mes joues. Mon corps s'arquait pour échapper à ses tortionnaires. J'étais en sueur.

Paul alors se leva et disparut vers le pied du lit. Stéphane s'arrêta lui aussi, et tandis que je reprenais mon souffle, il s'allongea sur moi en embrassant la pointe de ma poitrine frémissante.

C'est alors que je sentis une poigne ferme se poser sur mes chevilles.

- Je vais jouer avec les petits escarpins pointure 39 de Claire !

Tandis que Stéphane se rasseyait sur moi, Paul lentement débouclait mes chaussures. Je tentais de résister, d'agiter mes pieds.

- Non, je t'en supplie ! Pas ça !

J'essayais de bloquer mes escarpins sur mes pieds, mais Paul tenait fermement et me déchaussa un pied après l'autre. Il passa mes talons aiguilles à Stéphane qui les porta au niveau de son visage.

- Quelle belle paire d'escarpins ! Dommage qu'ils ne sentent pas assez la sueur. Qu'en penses-tu Paul ?

A travers le nylon des mes bas trempés par ma transpiration, je sentis le nez de Paul se coller contre la plante brûlante de mes pieds joints. Il semblait se saouler avec mon odeur.

- Tu as raison, lança-t-il avant de commencer à gratouiller avec son majeur la plante de mon pied droit.

Je me remis à hurler de rire. Je ruais comme une folle pour me dégager de Stéphane, mais celui-ci me maintint solidement. Petit à petit, tous les doigts de Paul se rejoignirent pour courir sous mes pieds à peine protégés par mes bas noirs. Je tremblais comme une feuille sous les chatouilles terribles que Paul m'infligeait. Mes rires étaient entrecoupés de sanglots et de supplications. Stéphane, excité par mon corps qui se débattait sous lui commença à masser la pointe de mes seins avec les talons de mes escarpins.

- Pitié ! Paul, arrête !

Je commençais à suffoquer. J'étais toute rouge et mon corps ruisselait de sueur. Paul retira ses mains. Stéphane se releva et descendit du lit dans le fond duquel j'étais effondrée. Les draps humides collaient à ma peau. Mes cheveux étaient trempés. Lentement, je retrouvais mon souffle. Les deux jeunes hommes se placèrent de part et d'autre du lit. Chacun saisit une de mes cuisses et commença à descendre le bas noir. Quand mes jambes furent totalement nues, je vis Stéphane se déshabiller. Puis, il s'allongea entre mes jambes et commença à laper tendrement mon sexe, déjà très humide. C'est alors que Paul saisit une des mes chevilles et l'attacha au lit avec un de mes bas. Mais j'étais tellement excitée par la langue de Stéphane que je le laissais faire. Ainsi, je me retrouvais attachée, jambes écartées. Les deux compères s'agenouillèrent au pied du lit, chacun face à un de mes petits petons. Je sentis leur souffle court sur ma peau, leur bouche s'approchait lentement de mes plantes de pieds.

Je bondis quand leur langue commença à me lécher. Je me débattais en riant, essayant d'échapper à mes bourreaux. Le cuir de la ceinture meurtrissait mes poignets. Quelles terribles sensations que cette torture qu'ils infligeaient à mes pieds ! J'hurlais comme une folle, je les suppliais d'arrêter. Chaque petit coup de langue qui caressait la plante de mes pieds m'arrachait un éclat de rire. Je pleurais en riant, manquant de m'étouffer à chaque fois. Ma peau trempée de sueur, l'odeur de mes pieds semblaient les exciter. La torture atteint son comble quand la langue de Paul commença à se glisser entre mes orteils. Il prenait un malin plaisir à titiller mes petits doigts de pieds, à les mordiller pour me faire hurler de rire.

Quand enfin, ils cessèrent ce supplice, ils vinrent en moi. L'un après l'autre, surexcités par cette séance de torture, ils ne mirent pas longtemps à prendre leur pied.

Depuis, nous avons souvent recommencé ce petit jeu. C'est que j'ai pris goût à sentir leur petite langue sous mes pieds. Et ce soir, j'ai invité Karine à participer à une petite surprise. La pauvre m'a avoué qu'elle était très chatouilleuse.
 
Bonsoir Frenchtkl,

Merci de nous avoir donné le plaisir de relire cette "vieille" histoire, fort appréciée en son temps.
Je vous encourage à nous régaler d'autres souvenirs et à ressortir de l'ombre les "vestiges" de ce temps révolu.

Arabesque
 
What's New

3/28/2024
Stop by the TMF Welcome Forum and take a second to say hello!
Tickle Experiment
Door 44
NEST 2024
Register here
The world's largest online clip store
Live Camgirls!
Live Camgirls
Streaming Videos
Pic of the Week
Pic of the Week
Congratulations to
*** brad1701 ***
The winner of our weekly Trivia, held every Sunday night at 11PM EST in our Chat Room
Back
Top