• The TMF is sponsored by Clips4sale - By supporting them, you're supporting us.
  • >>> If you cannot get into your account email me at [email protected] <<<
    Don't forget to include your username

The TMF is sponsored by:

Clips4Sale Banner

L'Alcôve (histoire)

Frenchtkl

Registered User
Joined
May 16, 2004
Messages
21
Points
0
Une autre vieille histoire ressortie du "placard" :


L'alcôve


Le videur prend le billet que je lui tend et me laisse passer. Le long couloir mène à un vieil escalier en colimaçon. En bas, je franchis une lourde tenture. Il est tôt, mais la salle est déjà à moitié remplie. En son centre, une grande estrade circulaire, où se déroulent les shows les plus spectaculaires. Autour, plusieurs tables et des chaises où quelques couples partagent un verre. Et tout autour de la salle, une dizaine de discrètes alcôves. Certaines sont déjà occupées, et un rideau en masque l'ouverture. Je me dirige vers la plus éclairée et la plus centrale.

Assis confortablement, je commande une bouteille de champagne et la carte. Une ravissante hôtesse me sert, et me tend le menu.

Je feuillette les premières pages que je connais par cœur pour me concentrer sur les nouveautés. Une ligne toute fraîche retient mon attention : Kylie, 21 ans, pointure 37, étudiante américaine. L'hôtesse revient. "Votre commande sera prête dans quelques minutes". Elle fait mine de fermer le rideau. Je prends sa main. "Non, non. Laissez, j'adore partager ce plaisir avec d'autres". Quelques instants plus tard, la petite pièce située derrière le miroir sans teint qui constitue le fond de mon alcôve s'éclaire. Je devine les regards des curieux dans la salle qui s'étonnent de voir mon rideau toujours ouvert. Je pose sur la table ma petite mallette d'accessoires. Voilà ma commande.

La petite pièce s'ouvre et y entre un chariot sur lequel est assise Kylie. Elle est appuyée sur un dossier, ses bras y sont attachés dans son dos. Elle est également attachée au chariot au niveau des hanches et des cuisses. Seuls ses pieds dépassent du chariot et sont libres. L'assistant la pousse vers le miroir sans teint. La pauvre ne voit rien de ce qui l'attend. Ses cheveux blonds bouclés retombent sur ses épaules nues. Elle ne porte qu'un petit haut rose moulant, un short en jean déchiré et une paire de petites tennis en toile blanches. L'assistant pousse le chariot contre la paroi. Les délicieux pieds de Kylie passent chacun dans un trou et apparaissent devant moi sur la table. J'entends le clac sonore des verrous qui vont maintenir le chariot stable, et je lis l'inquiétude dans les yeux de la jeune femme.



Ses petits pieds juste protégés par fine toile blanche remuent doucement. Je délaisse les bracelets de cuir qui pourraient clouer ses chevilles à l'épaisse table de bois. Je préfère les victimes qui cherchent à s'échapper et peuvent encore espérer. Dans la salle, le brouhaha a diminué.

Je saisi fermement une des chevilles et caresse du bout des doigts la petite basket. Elle sent ce contact, ses yeux se figent dans le vide. Son corps se tend tandis que je tire lentement sur le lacet. Peu à peu le lacet quitte tous les œillets métalliques, la tension se relâche autour du pied, dans quelques instants, je vais pouvoir évaluer la qualité de la marchandise. La belle blonde se mord les lèvres quand son talon est enfin libéré. Doucement la chair rose et tendre se dévoile à moi. Enfin, apparaissent ses petits orteils fins et courts, délicatement soignés. Ce pied gauche est magnifiquement entretenu. Tant de soins pour mon plaisir. Merci Kylie, sache que je saurai m'en montrer digne.

Derrière moi, la salle est brusquement devenue silencieuse. Tel un prédateur, je tourne délicatement ma tête autour de ce pied, l'examinant dans tous ses détails, profitant de son parfum. Kylie sent cette présence, et soudain elle se met à remuer ses petits orteils comme une délicate invitation. C'est le signal. Je m'en empare et les repousse à fond en arrière. Son pied se retrouve tendu, la plante offerte et impuissante. Elle tente de se dégager par de petites ruades que je sais pour l'instant bien factices. La petite a bien appris son rôle. Alors, doucement l'ongle de mon index commence à caresser sa peau le long d'un petit sillon. La tension dans son pied devient plus forte. En un contact elle a compris la réalité du jeu, mais je ne lui laisse aucune chance de s'échapper. Elle pousse et tire sur sa jambe, son visage grimace horriblement, tandis que mon doigt explore la surface tactile. Kylie se met soudain à gémir et à tirer sur tous ses liens, son corps essaye de se vriller sous la sensation, mais ses liens la maintiennent fermement. Là, j'ai trouvé le point, il ne reste plus qu'à décupler le puissance des chatouilles. Un instant encore, je n'utilise qu'un seul ongle, juste pour la maintenir à un niveau presque supportable, lui faire croire qu'elle a atteint le maximum avant de la submerger complètement.



Cinq ongles se déchaînent subitement sur ce point précis. La blonde rue comme une bête acculée, pousse un hurlement hystérique. Je sens son pied tendu près à exploser, à se briser dans ma main. Tout son corps ne cherche qu'à échapper à l'horrible sensation que je génère sous sa peau. Elle crie encore une fois avant d'exploser en suppliques :

- Mercy ! Stop ! Help !

Son joli petit minois est déformé de grimaces. Ses membres tentent de se libérer, de s'arracher à ce supplice infernal. Les larges liens l'empêchent de se déchirer la peau. Son rire hystérique s'est transformé en hurlement. Tout son pied est dur comme de l'acier.

Dans le bar, tous les clients sont tournés vers moi, et ne manquent pas une miette du spectacle. J'entend une voix féminine crier " Quelle chanceuse !".

Je reste concentré sur le pied de Kylie. Maintenant, j'élargi la zone de chatouilles. Elle est devenue si sensible que tout son délicieux appendice est un capteur de tortures. Le corps de la belle est secoué de soubresauts à chaque départ de mes doigts qui se lancent dans une course folle. Son haut rose est trempé de sueur, son visage est pourpre, grimaçant et hurlant. Elle lutte contre ce supplice sans savoir qu'elle régale une trentaine de personnes. Elle est déjà folle et cela ne fait que commencer.



Laissant la belle reprendre un peu de souffle, j'ouvre ma mallette pour prendre quelques accessoires. Elle est si sensible que peu suffiront à la rendre folle. Kylie a laissé retomber son menton contre sa poitrine, ses cheveux mouillés collés sur le visage. Sans doute croit-elle que le jeu est fini. Elle pousse un petit hurlement quand ma main se pose sur son pied nu. Je force ses orteils à s'écarter, et j'y glisse une petite plaque de bois. Ses petits doigts de pieds sont à présent bien séparés, et la planchette les tend si fort qu'elle ne peut la faire tomber. Kylie fixe le miroir sans teint avec des yeux rougis de larmes pour supplier son bourreau. Tenant toujours son gros orteil, je commence à insérer mon outil pour venir caresser la peau douce et sensible juste au creux.

Elle rue, tout son corps se cabre, ses rires se muent en un hurlement d'horreur. Les poils courts de ma petite brosse viennent d'entrer en contact avec son magnifique pied. La belle tire sur ses liens à s'en arracher les membres, tandis que je poursuis imperturbable ma quête au creux de ses orteils. Ses cris ont envahi la salle, elle supplie, menace, pauvre bête traquée jusque dans ses derniers retranchements. Mais la brosse continue son chemin caressant la peau, explorant les petits plis. Pas un nerf n'échappe à cette stimulation. La pauvre devient complètement hystérique, hurlant comme une folle, donnant de grandes ruades. Elle ne se doutait pas qu'en prenant ce petit job tranquille, elle finirait par être poussée dans ses derniers retranchements par de simples chatouilles. Kylie crie, pleure, appelle le serveur au secours, mais rien n'y fait.



Dans ses sanglots mêlés aux cris et aux éclats de rire, elle manque de s'étouffer. Je marque une courte pause, le temps de prendre mon gant spécial. Un vulgaire gant de cuir doté à l'extrémité du chaque doigt d'un outil bien spécifique destiné à multiplier les sensations cutanées.

Sous l'index, un petit bout de plume assez rigide pour une chatouille très localisée, mais puissante. Le majeur est lui équipé d'un duvet étendu pour stimuler une plus vaste zone. L'annulaire, je l'ai doté d'une boule d'acier froid pour réveiller la peau. L'auriculaire est coiffé d'une tige surmontée d'une brosse très dure pour plonger dans les creux les plus sensibles. Enfin sous le pouce est fixée une petite pointe dont l'usage est de réveiller les sens de la victime par un peu de douleur.



Kylie respire bruyamment, son corps est ruisselant de sueur. Elle supplie encore d'arrêter entre deux hoquets. La femme qui m'avait interrompu intervient de nouveau : " Pitié pour elle !" .

Sans tenir son pied comme auparavant, j'approche ma main gantée de sa peau et commence par caresser la voûte plantaire de la belle du bout de l'index. Sous l'effet du duvet, Kylie glousse de nouveau. Elle tire son pied en arrière pour échapper à mon doigt, ce qui a pour effet d'écarter ses petits orteils. Mon index s'y engouffre chatouillant le creux si sensible. Cette fois, elle crispe son pied qui se referme comme une fleur. Elle gémit. Cette apparence de liberté et l'espoir d'échapper au supplice en agitant sa cheville lui redonne un peu de combativité. Pendant quelques instants encore, je joue comme un chat avec sa proie, attendant de lui donner le coup de grâce. La jeune fille continue de se débattre, croyant qu'elle peut se soustraire à son destin.

Enfin, je m'empare de ce pied. Sentant la dernière heure s 'approcher, elle s'agite, pousse, tire, tente de me faire lâcher prise tout en suppliant et en implorant. Puis petit à petit les soubresauts se font moins violents. Elle attend avec angoisse l'instant crucial où ma main outillée va rentrer en contact avec elle.

C'est l'hallali, mes doigts se ruent sur cette peau offerte, la caressent, la frottent, la cajolent, cherchent le moindre des nerfs pour noyer ce corps de sensations insupportables. Immobilisé, ce pied m'est offert, je me régale. Pendant ce temps là, derrière le miroir, c'est la tempête. Submergée, Kylie, hurle, rit aux éclats, se débat dans ses liens. Tout son corps est arqué comme sous l'effet d'un électrochoc. Sa respiration devient haletante, ses mots incohérents. Elle est en train de perdre pied.



Voilà, je n'ai plus qu'à cueillir ma récompense. Délaissant le pied trop longtemps supplicié, je déchausse brusquement l'autre pied toujours protégé dans sa petite tennis, bien au chaud et vierge de tout contact. Trop occupée à essayer de retrouver ses sens, la belle ne se débat même plus.

Son pied intact est brûlant, humide de sueur. Quelle sublime récompense ! Le tenant à deux mains, je lui offre ma bouche. Ma langue sera l'outil de la libération de Kylie. D'abord, cette voûte plantaire offerte, délicieuse, quel ravissement de laper cette peau chaude si doucement, et de voir le corps de la malheureuse secoué de spasmes à chacun de mes coups de langue. Les cris et les rires se muent en halètement et en râles au fur et à mesure que la pointe de ma langue s'approche de ses orteils ruisselants. Enivré par le parfum de son pied, je n'entends presque plus les gémissements lorsque ma langue atteint les racines de ces orteils, et commencent à explorer l'espace entre chacun d'eux. Le corps de Kylie ne lui appartient plus, son conscient s'est laissé emporter dans le tourbillon des sensations, et c'est directement son pied qui commande à tout le reste du corps.

Enfin quand ma bouche se referme sur ses orteils et que ma langue se roule autour et entre eux, ce sont des soupirs de plaisir que pousse la belle. Moi, je continue à œuvrer, à me délecter de son pied sublime, jusqu'à ce que vaincue, la jeune femme sombre doucement dans l'inconscience.



Lorsque je me relève, range consciencieusement mes outils et emporte les chaussures de ma victime en guise de trophée, la femme qui m'a interrompu par deux fois vient à ma table. Elle porte une combinaison de cuir noir assez décolletée, de longs gants noirs et une paire de magnifiques escarpins.

- Sauriez-vous me donner le même plaisir ?

- Mais tout le plaisir sera pour moi, Cynthia
 
JE trouve cette histoire génial je l'avais déjà lu il y a longtemps sur tickle devil. Y aurai-il une suite ?
 
What's New

3/28/2024
Stop by the TMF Welcome Forum and take a second to say hello!
Tickle Experiment
Door 44
NEST 2024
Register here
The world's largest online clip store
Live Camgirls!
Live Camgirls
Streaming Videos
Pic of the Week
Pic of the Week
Congratulations to
*** brad1701 ***
The winner of our weekly Trivia, held every Sunday night at 11PM EST in our Chat Room
Back
Top