bill2222fr
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FUITE
Moira était à bout de souffle. Cela fait maintenant 2h qu’elle s’est enfui du haut château de la Reine Maléfique qui a lancé des poursuites à sa recherche par une quinzaine de gardiennes armées d’arcs, d’épées et aidées par des chiens.
¨Retrouvez moi cette espionne au plus vite avant qu’elle n’aille révéler des informations ultra secrètes que je la soupçonne d’avoir subtilisé à notre insu dans notre salle stratégique¨, avait dit la Reine à Bertha la responsable de la sécurité du château.
La Reine est à la tête d’un Royaume d’Europe Centrale grand comme l’actuelle Hongrie, Royaume qu’elle dirige d’une main de fer aidée en cela par une armée de femmes soldat toutes dévouées malgré elles à cette redoutable et tyrannique femme de pouvoir. La Reine est d’une beauté magnétique et maléfique à la fois, d’où son nom ¨Maléfique¨. Elle est très grande, plus grande que la moyenne de ses sujets, avec des cheveux noirs jais. Ses yeux verts immenses en amande, ses fins sourcils, sa large bouche aux lèvres rouges bien dessinées, son teint pâle tel un vampire, sa coiffe à 2 cornes et son sourire carnassier lui confèrent une visage diabolique et cruel*: personne n’ose perpétrer la moindre contradiction ou critique à son égard en sa présence. En général, autour d’elle le silence règne en maître. Elle porte toujours une longue robe noire de telle sorte qu’elle semble se mouvoir en glissant sur le sol glacial de son château tel un fantôme pourtant bien présent. Les femmes dans son entourage immédiat sont au nombre de cinq*: sa complice, confidente et responsable de la sécurité du château Catherina, la Grande Commissaire en chef de la milice du pays Sophia, la générale d’armée Augusta, l’intendante du château Julia et la femme de main la terrible Bertha.
Moira est, ce que l’on nomme, une espionne dormante. De taille moyenne, blonde, les yeux bleus, d’aspect fragile, elle semble tout droit sortie d’un conte de fée. Elle fût recrutée il y a quelques mois par le service de la Reine en charge des réceptions et envois des messages vers tous les fiefs de la Reine, le courrier en somme. En réalité, Moira travaille pour une puissance étrangère dont le projet est de renverser puis d’envahir le Royaume. Son rôle secret consistait à lire les lettres importantes destinées à la Reine ou envoyées par elle vers ses nombreuses provinces, et à transmettre les informations à ses complices qui travaillaient dans d’autres services tels que les cuisines ou l’écurie. A charge à ces dernières d’envoyer à leur tour l’information à travers le pays par l’intermédiaire de divers transports de marchandises ou bien à cheval en cas d’information urgente. Bien entendu, les lettres ultra-secrètes ne transitant pas par ce service de courrier pour des raisons évidentes de sécurité, elle devait ruser pour se rapprocher en toute discrétion des appartements de la Reine, si possible à la nuit tombée. Elle réussit ainsi une fois à lire une lettre indiquant la date d’une prochaine visite d’une forteresse ultra-secrète par la Reine en personne. Il ne lui manquait que le lieu de ladite forteresse*: c’est l’information qu’elle avait tenté de subtiliser lorsque, hélas, elle fût prise en flagrant délit par le Reine elle-même. Elle parvint à s’échapper tant bien que mal de l’immense château en parcourant des couloirs plus ou moins secrets qu’elle avait reconnu discrètement durant ses quelques mois au service de la Reine, et grâce à la complicité de certaines personnes qui s’étaient chargée de laisser ouvertes certaines portes de manière opportune.
La voilà donc maintenant cachée dans une espèce de grotte surplombant la vallée, grotte qu elle avait déjà repérée quelques jours auparavant. De là elle observait les gardiennes en train de fouiller chaque buisson, chaque recoin des fermes situées aux alentours du Haut Château.
¨La vue est belle d’ici?¨
Moira sursauta de peur panique en entendant une gardienne avec son chien située juste derrière elle à environ 2 mètres à peine*; elle venait ainsi d’être découverte dans sa cachette, son cœur battant la chamade tel un train lancé à toute allure…
CAPTURE ET INSPECTION
¨Rendez-vous il n’y a aucune issue, vous n’iriez pas très loin de toutes façons, des gardiennes sont en train de monter la colline avec leurs chiens¨, fit la garde qui s’approcha de Moira son chien râlant près à bondir.
En effet, très vite, une, puis deux, puis trois gardes pénétrèrent dans la grotte par une issue secrète que Moira n’avait pas repéré. Découragée et terriblement apeurée elle se laissa attraper par le bras la gardienne pratiquement sans offrir de résistance.
¨Emmenez-là au château. La Reine va être ravie de cette belle prise¨, s’écria la gardienne à l’attention des 3 autres.
Moira fût ainsi attachée par les poignets dans le dos puis emmenée de force par 2 gardiennes qui la maintenaient par les bras. Le chemin vers le château fût long et pénible pour Moira qui sentait la peur puis la panique l’envahir à mesure qu’elles se rapprochaient à pied du Haut Château. Il faut dire que la bâtisse était très intimidante avec ses immenses murailles, ses meurtrières, ses tours, ses créneaux et son pont levis. Elles finirent par arriver au dit pont levis*: les 2 gardiennes postées là les laissèrent passer sans encombre. Puis la petite troupe se dirigea vers une grande salle où se trouvait la Reine assise sur un trône immense*situé sur une estrade en pierre accessible par trois marches. La gardienne poussa la pauvre Moira terrifiée au pied de*cette estrade avant de la forcer à s’agenouiller face à la Reine*; bien qu’assise, celle-ci dominait d’au moins une tête toute personne même debout à fortiori à genoux. Au pied de l’estrade se tenaient déjà debout Catherine et Bertha.
¨Madame la Reine, voici l’espionne que nous recherchions. Nous l’avons trouvée dans la grotte de guet Sud. Elle ne connaissait visiblement le passage secret qui nous a permis de la coincer.¨ raconta la gardienne assez fière de sa prise.
¨Très bien, toutes mes félicitations pour avoir empêcher cette espionne de nous échapper¨, répondit l Reine à la gardienne.
¨Car tu es bien une espionne n’est-ce pas?¨ s’adressa-t-elle ensuite à Moira d’un regards inquisiteur.
Moira était trop terrifiée pour répondre. Toutefois, elle balbutia, le cœur battant à tout rompre
¨Ce...ce n’est pas ce que vous croyez. Je … je ne suis pas une espionne. Je...¨
¨Petite menteuse*!¨, rétorqua la Reine de manière abrupte, ¨Je t’ai vue de mes propres yeux dans la salle stratégique en train de subtiliser des documents ultra secrets¨, continua-t-elle. ¨Tu vas non seulement le payer très cher, mais avant cela tu vas être interrogée*: je vais te laisser entre les mains de Bertha qui se fera un plaisir de te faire parler, et je pense que personne n’aimerait être à ta place en ce moment. Bertha, vous avez le droit de lui faire tout ce que vous voulez pour lui faire avouer ses crimes et pour lui extraire toutes les informations utiles sur ces vols de documents. Je veux tout savoir, absolument tout*: comment elle s’appelle, pour qui elle travaille, depuis combien de temps elle réside au château, quelle était sa profession ici, quels documents a-t-elle subtilisé, qui sont ses complices, etc...¨, ajouta la Reine rouge de colère. Gardes, emmenez-là immédiatement dans la salle d’interrogatoire!¨, hurla-t-elle.
Les gardiennes ne se firent pas prier. Celle qui tenait Moira par les poignets, la releva, et deux autres gardiennes les escorta vers la large porte de la salle du trône. Elle traversèrent le hall d’entrée du donjon puis empruntèrent une porte qui menait à un long escalier en colimaçon qui menait aux étages inférieurs. Après une longue descente, elles se retrouvèrent plusieurs niveaux sous terre, dans un large couloir bordé de part et d’autre par de nombreuses portes en bois. Une des gardienne, ouvrit l’une d’elle à l’aide d’une longue clé, faisant chanter les larges gonds métalliques d’un sinistre grincement. Puis elle alluma quelques torches qui soudain firent danser des ombres sur les murs de la pièce sombre et humide. Au milieu, trônait un équipement inquiétant tout en bois solide avec des anneaux en fer, des chaînes, différents trous et des lanières de cuir. A la lueur des faibles torches, Moira constata également la présence de nombreux anneaux directement fixés aux murs.
¨Déshabillez-là et installez-là sur le chevalet d’inspection!¨, ordonna Bertha aux gardiennes.
A ces mots, Moira voulut s’enfuir à toutes jambes de ce sinistre endroit, mais les gardiennes la maintenaient d’une main ferme. Elle se débattit avec le peu de force qui lui restait mais les trois gardiennes étaient bien plus fortes et efficaces qu’elles. ¨S’il vous plaît je vous en prie laissez-moi je vais vous expliquez, ne me touchez pas, je veux pas que vus me touchiez...¨ essaya-t-elle presque en pleurant mais sans succès.
Les gardiennes, finirent par réussir à lui enlever ses vêtements. Moira se retrouvait ainsi pratiquement nue*: il ne luis restait que ses sous-vêtements. Les gardiennes et Bertha eurent un petit sourire en admirant le corps quasiment parfait de Moira qui tentait de de soustraire de leur regard en couvrant maladroitement ses seins pourtant non dénudés et son ventre avec ses deux bras croisés sur sa poitrine ses coudes au niveau de ses hanches en s’accroupissant de manière pathétique.
Le chevalet d’inspection était donc ce fameux équipement situé au milieu de la pièce. Il s’agissait d’un poteau en bois de section carrée large dans lequel étaient vissés ou cloués à différentes hauteurs des anneaux métalliques et des lanières de cuir ouvertes sur une de ses 4 faces, sa partie ¨avant¨ comme va vite le comprendre Moira. Il y avait également une large planche qui partait du poteau vers l’arrière de celui-ci de manière légèrement inclinée, l’extrémité arrière étant donc légèrement plus haute que l partie avant. Deux autres anneaux étaient fixés au bout arrière de cette planche. Moira fut installée non sans mal*: ses poignets étaient fixés aux anneaux les plus hauts, tirant à l’extrême ses bras parallèles bien au-dessus de sa tête*; puis des anneaux enserraient ses coudes, vissant littéralement les bras au poteau. Son cou était enserré dans un autre anneau*; une lanière de cuir était fixée fermement sur son front au poteau l’empêchant ainsi de tourner et de pencher la tête en avant du moindre millimètre*; une lanière de cuir était également entourée au niveau de son bassin et fixée bien entendue au poteau refusant ainsi tout mouvement de celui-ci ni de droite ni de gauche, ni de haut ni de bas, ni vers l’avant ni vers l’arrière. Ses genoux reposaient sur la fameuse planche inclinée, avec des lanières de cuir fixés derrière eux à la planche et au poteau. Enfin ses chevilles étaient enserrés dans les anneaux métalliques fixés à la planche. Au final, Moira était pratiquement nue complètement vissée à ce chevalet, incapable de bouger d’un millimètre, ¨debout¨ sur ses genoux, avec ses aisselles nues, son visage, son ventre nu et ses pieds nus exposés à des gardiennes armées et à la terrible Bertha qui était là pour l’interroger. Elle était complètement terrorisée tentant de deviner ce qui allait se passer mais n’arrivant pas à tout suivre car seuls ses yeux étaient capables de bouger.
¨Ceci est le chevalet d’inspection¨, commença Bertha. ¨Sais-tu pourquoi il s’appelle ainsi?¨, demanda-t-elle à Moira avec un léger sourire. ¨Tu n’en n’as pas la moindre idée n’est-ce pas?¨
¨Et bien, comme son nom l’indique, il nous permet d’inspecter tes zones les plus sensibles¨ continua-t-elle.
Moira était morte de peur en entendant ces explication. Mais de quelle sorte de sensibilité voulait-elle parler se demanda-t-elle.
Bertha demanda à une gardienne tout en regardant Moira droit dans les yeux*: ¨Apportez-moi la plume!¨
A ces mots, Moira comprit immédiatement ce que cette inspection signifiait*: elle allait être chatouillée*sur tout le corps avec une plume ! Et rien de pire ne pouvait lui arriver car elle se savait horriblement chatouilleuse. Moira, affolée faillit demander pitié, mais décida de ne rien dire. Bertha détecta la panique dans les yeux de Moira et lui lança un sourire carnassier*: ¨Je vais parcourir tout ton corps sans défense à la recherche de toutes tes zones les plus sensibles aux...chatouilles*; tu verra c’est tellement drôle, que tu ne pourra pas t’empêcher de rire¨
La gardienne apporta une longue plume blanche et très effilée au bout. Bertha s’en saisit, et tout en regardant Moira droit dans les yeux, elle passa son extrémité sur tout le pourtour de l’oreille droite de Moira. Moira fût saisie d’un immense frisson. Bertha ne la quittait pas des yeux et continua un lent mouvement de va et vient très délicatement sur le pourtour de l’oreille, puis derrière l’oreille, puis dans le trou de l’oreille. Moira, fit une grimace souriante pour tenter de contrer la démangeaison. Puis, Bertha fit descendre la plume sur la nuque et le cou de Moira qui ne pouvait absolument pas bouger la tête*: ce contact lui procura encore plus de frisson et élargit encore son incontrôlable sourire*; puis Bertha promena la plume sur le contour des lèvres de Moira qui dessinaient un sourire de plus en plus grand. ¨ Alors, ca te démange n’est-ce pas*?, Tu aimerais bien pouvoir bouger la tête mais tu en n’es bien incapable n’est-ce pas? Allez je sens que tu ne vas pas tarder à rire¨ Puis Bertha introduit sans difficulté la pointe très effilée de la plume dans une des narines de Moira avant de la ftourner sur elle même créant ainsi chez Moira une démangeaison insupportable. Pour augmenter un peu plus s’il en fallait la sensation de chatouilles elle ne put s’empêcher de susurrer de légers ¨Guili guili guili…, ca chatouille là hein*? ¨ Moira devint toute rouge et ne put s’empêcher de pousser un gloussement sourd tentant de résister tant qu*‘elle pouvait à l’immense envie de rire qui la secouait. Bertha continua le supplice du visage, en chatouillant l’autre narine, et là Moira explosa littéralement de rire au grand plaisir de Bertha qui ne s’arrêta pas accélérant même les mouvement de la plume dans les narines, sur les joues, sur le pourtour des oreilles, dans le cou de Moira, qui maintenant riait, riait, riait à gorge déployée incapable de bouger la tête pour éviter l’infernale démangeaison de cette plume démoniaque. Les gardiennes étaient comme hypnotisées par la scène, et par ce rire incroyablement contagieux qui emplissait maintenant la salle d’interrogatoire.
Bertha stoppa net le supplice de la plume, laissant Moira haletante, avec des soubresauts de rire résiduels. ¨ C’est assez pour le moment. Tu es particulièrement sensible du visage*; Voyons un peu tes aisselles maintenant¨
Moira, essoufflée tenta de répondre ¨...huf huff, je vous...en supplie...huuff arrêtez de me chatouiller je ne sais rien, je n’ai rien à vous dire...pitié pas les chatouilles...¨
¨Je suis sûre que tu as plein de choses à nous dire, mais pour l’instant je dois t’inspecter de la tête aux pieds*! ¨
Et sans plus attendre, elle se mit à chatouiller délicatement le pourtour des aisselles dénudées immobilisées et sans défense de Moira, avec l’extrémité de la plume. Moira se mit à trembler, tenta de suivre le mouvement de la plume mais sans succès du fait de sa tête complètement immobilisée. Incapable de bouger, Moira se remit à rire, rire, rire et rire et rire encore et encore sous les abominables chatouilles de cette plume sous ses aisselles nues. Une nouvelle fois, le rire résonnait dans la petite pièce hypnotisant les gardiennes témoin de la scène de torture. ¨Il semble que tu craignes les chatouilles sous les aisselles également¨, ajouta amusée Bertha. C’est noté. Passons à ce joli ventre nu¨
Moira tenta de récupérer son souffle lorsque Bertha éloigna la plume de ses aisselles. Elle fit tourner ses yeux dans leur orbites vers le bas tentant de voir son ventre car l’anneau fixé à son cou l’empêchait de baisser la tête.
Le ventre de Moira était plus que plat car légèrement creusé vers l’intérieur avec une peau très douce, un nombril ovale tout en longueur particulièrement profond*; on pouvait de manière très subtile deviner un soupçon ses abdominaux. Ses flancs étaient creusés en forme de guitare, et sa taille fine. La tension extrême de son corps mettait aussi en valeur ses côtes et creusait encore plus l’abdomen.
Bertha, approcha la plume de ce délicieux ventre nu avec un immense sourire et commença à le parcourir en lui faisant faire de larges cercles. Moira fût une fois de plus saisie de frissons mais elle se retint de rire. Bertha spirala sur son ventre nue avec la plume tout en se rapprochant du nombril. Le ventre de Moira fût soudain saisi de spasmes chatouilleux, faisant apparaître ses abdominaux de manière transitoire. Bertha et les gardiennes étaient comme en transe devant cette danse du ventre forcée par la plume. Bertha s’amusa à parcourir toute la surface fine et douce du ventre nu de Moira en insistant sur les zones faisant sursauter les abdominaux, parfois elle remontait et descendait sur le long des flancs avant de revenir sous les côtes, l’abdomen, la taille et les hanches de Moira. Puis Bertha fut irrésistiblement tentée de grattouiller ce ventre nu magnifiquement exposé avec ses ongles qu’elle avait immenses, et elle ne put s’empêcher de dire ¨Guili guili guili guili….guili guili guili….¨ tout en chatouillant. A ce contact inattendu, Moira, rouge comme une tomate à force de maintenir son irrésistible envie de rire, ne put se retenir plus longtemps, et hurla violemment dans une explosion de rire immense. Les ongles incroyablement longs de Bertha continuaient leur ¨promenade¨ sadique sur les muscles chatouilleux du ventre nu de Moira qui se tordait de rire sans rien pouvoir y faire, ces horribles guilis lui étant absolument insupportables.
De nouveau Bertha s’arrêta avant que Moira ne manque de s’étouffer de rire avant de rire ¨Et bien, on peut dire sans se tromper que tu crains incroyablement les chatouilles sur le ventre*; ce doit être terrible pour toi de voir ainsi ton ventre nu chatouilleux complètement sans défense dans cette salle d’interrogatoire avec moi et mes ongles longs comme tortionnaire. Mais ton supplice n’est pas pour autant terminé. J’ai hâte de savoir comment tu vas réagir lorsque je vais te chatouiller la plante des pieds.
Moira mit beaucoup plus de temps à reprendre ses esprits cette fois-ci, puis elle supplia tentant de reprendre son souffle coupé.
INSPECTION DES PIEDS
- huff...hufff...hufff...je...je..vous en prie..huff ar...arretez...de me chatouiller...hufff...c’est une véritable...huufff torture...je vous en supplie...huuufff..pas les chatouilles…
- C’est atroce n’est-ce pas*? Je t’avais dit que tu ne pourrais pas t´empêcher de rire; maintenant voyons si tu crains les chatouilles sous la plante de pieds¨
A la simple évocation du mot PIEDS, Moira crût défaillir, pieds et chatouilles faisant un cocktail de mots explosif.
- Non pitié pas de chatouilles sous la plante des pieds, pas la plante, pas la plante des pieds, je vais devenir folle*; je vous en SUPPLIE, TOUT mais pas les guilis sous la plante des pieds je ne supporterai pas ça.
Moira crispa ses orteils avant même que Bertha se place derrière le poteau. Les pieds de Moira étaient d’une rare élégance*: extrêmement cambrés, relativement longs et fins, pointure 39, avec des orteils de tailles différente le deuxième étant le plus long de tous, suivi du troisième, puis du quatrième et cinquième*; les orteils étaient alignés de manière à former une espèce de pointe dirigée vers le deuxième orteil, le petit orteil étant penché contre le quatrième son extrémité arrivant au milieu de celui-ci; le coussinet était plus large que la base des orteils accentuant encore cette forme de pointe, et constitué de deux subtils mamelons séparés à leur base par le début d’un long sillon qui se prolonge le long de la voûte plantaire jusqu’à la naissance du talon*; l’un des mamelons prolongeait le gros orteil, l’autre les quatre autres*;la plante en elle-même à la peau laiteuse est donc extrêmement cambrée toute en courbes délicieuses, très fine en son centre pour s’élargir ensuite vers le talon ovale plus large*; en plus de cette extraordinaire cambrure entre le coussinet et le talon, elle est parcourue par le sillon creusé en son centre. La cambrure de la plante est telle que lorsque ses orteils sont repliés en arrière, les coussinets sont comme projetés en avant par rapport au talon tout en étant parallèle à ce dernier.
Bertha est comme captivée par l’incroyable beauté des pieds de Moira, de même que les gardiennes qui se trouvent maintenant avec elle à l’arrière du poteau. Dans cette configuration, Moira est complètement incapable de voir quoique ce soit du fait de l’immobilisation complète de sa tête. Les mains de Bertha la démangent terriblement car elle ne peut pas résister plus longtemps à l’ envie immense de chatouiller atrocement ces magnifiques plantes de pieds.
¨Tu as des plantes de pieds magnifiquement cambrées et très attirantes, c’est comme si elles suppliaient qu’on les chatouille. J’ai hâte de voir à quel point elles sont chatouilleuses¨, dit-elle la voie tremblante d’excitation et de sadisme. ¨ Mais je vais bien prendre mon temps pour me délecter de ce supplice¨
¨Nooon, noon, pitiéeee, pitiéeee, non pas sous les pieds, non je vous en supplie pas de chatouilles sous la plante des pieds, c’est horrible, c’est ….hhhhhh….hihihihi…..hihihihi…...hihihihi…...hihihihi…..arreteeeez….hihihihi….ca chaatouiillllle … hahahahaha….hahahahaha….hihihihihi...ca fait des guiliiiis….hihihihi…..¨, Moira ne pût s’empêcher de rire dès le premier contact de l’extrémité de la plume avec la peau incroyablement douce de sa plante de pied.
¨Oh mais en effet, tu es incroyablement chatouilleuse sous la plante des pieds, guili guili guili guili….guili guili guili...sous les pieds¨ répéta Berthe d’une voix très aiguë également avec un très large sourire, sa voix n’arrivant pas à masquer son incroyable excitation à la vue des mouvements du pied nu très flexible de Moira accentuant encore plus l’incroyable cambrure sous l’effet du simple contact de l’extrémité effilée de la longue plume avec la peau fine et douce de la plante des pieds.
Le rire de Moira était absolument délicieux pour les oreilles de Bertha et pour celles des gardiennes également en état d’hypnose face à cette scène de torture. Moira riait, riait, riait et riait encore et encore sous le supplice des chatouilles proféré par cette plume qu’elle essayait en vain d’éviter par des mouvements désespérés de son pied nu. Son rire était très aigu et très excitant par ses ¨...hiiihihihi...hihihi...¨ entrecoupés de silence pendant lesquels elle tentait de reprendre sa respiration. Elle semblait être dans un état second, peut-être une manière de fuir son supplice.
Puis Bertha, s’amusa à faire glisser la plume entre les orteils longs de Moira qui se figea un instant devant ce changement*; Moira prit une immense inspiration puis repris son rire légèrement plus fort et plus saccadé ¨hihihihi….hihihihi….hihihihi….hahahaha….hhaahahaha...hahaha...hiii...ca fait des chatouiiiiilles, arreteez les chatouiiiiiilles...hahahahaha….hihihihihi...je les crains … hahahaha...hihihi...pas là...hahahaha... pas de guilis guilis sous les doigts de pieds pitiéeeeee...hahahahaha….hihiihi ¨ ria-t-elle. Son rire était fort mais pas aussi fort que lorsque Bertha lui avait chatouillé le ventre avec ses ongles longs. C’est vrai que la plume, même maniée d’une main de maître reste moins efficace que des ongles longs. Bertha, voulut en avoir le cœur net.
¨Voyons comment tes pieds réagissent sous de savantes chatouilles prodiguées avec mes ongles longs¨
Aussitôt, Bertha joignit le geste à la parole, en grattouillant légèrement les orteils de Moira avec la pointe de ses ongles*: d’abord le gros orteil, puis le second sur toute sa longueur en effectuant de lents et nombreux va et viens, puis elle continua ainsi sur le troisième*; elle fouilla ensuite de ses ongles l’espace serré situé juste sous la base des quatrièmes et cinquième orteils; lors du tout premier contact du gros orteil avec les ongles longs et pointus de Bertha, Moira se remit rire, un rire qui s’amplifia à mesure que les doigts sadiques et cruels parcouraient les autres orteils, la sensation de chatouille devenat de plus en plus intense.
¨Que ces jolis orteils peuvent être chatouilleux sous les ongles longs...¨ dit Bertha, avant d’ajouter de délicieux ¨...guili guili guili...ca chatouille non*? mes ongles te chatouillent*horriblement les doigts de pieds n’est-ce pas ? Guili guili guili...¨
Moira réussissait un peu à résister en tentant de coincer les ongles vicieux avec ses orteils qu’elle crispait tellement qu’elle arrivait à bloquer la circulation sanguine, les orteils devenant encore plus blancs que leur couleur naturelle. Grâce à cela, les rires de Moira diminuèrent légèrement en intensité, ce que ne manqua pas de remarquer Bertha.
Celle-ci décida alors de changer de technique en passant très délicatement son index le long du délicieux sillon situé au milieu de la plante du pied nu sans défense de Moira, en disant ¨Ah, tu essaies de protéger tes orteils. Mais là tu ne peux absolument rien faire pour m’en empêcher. ¨
Au contact des ongles, Moira fût saisie d’un immense frisson qui lui parcourût tout le corps de la plante du pied jusqu’à sa tête fixée au poteau. Ses yeux s’ouvrirent en grand, elle se figea un instant, devint rouge, crispa sa mâchoire, puis émit un longs gémissement, une complainte à peine audible dans sa bouche fermée crispée, puis elle ouvrit la bouche en grand n’arrivant plus à empêcher l’irrésistible envie de rire qui lui montait du plus profond de son ventre. Un immense ¨Bouuuuuuuuaaaaaahh..aahahah… AAAAAAHAHAHAHA… HAHAHAHA… HHAHAHA… HAAHAHAHAHA… HAHAHAHA… HAHAHAHA... ¨ ininterrompu précédé d’une très longue inspiration sonore par le nez envahit la pièce, rire amplifié par l’écho des murs et du plafond bas du parloir médiéval faisant sursauter Bertha et les gardiennes. Le rire était si fort, qu’il pouvait être entendu jusque dans la salle du trône de la Reine pourtant situé de nombreux étages plus haut, ainsi que pratiquement dans tout le donjon. Les gardiennes et Bertha ne purent s’empêcher de sourire en entendant ce hurlement de rire très contagieux.
Bertha amplifia encore l’horrible supplice en promenant délicatement les ongles longs de son index et de son majeur de ses deux mains sur toute la surface des deux plantes de pieds nues de Moira simultanément, les longs doigts fins se promenant tels les jambes d’un petit cheval du talon vers la base des orteils, dans un sens, dans un autre, sur les bords charnus, sur le coussinets, puis de nouveau dans le creux très profond de la plante. Bertha, un immense sourire sadique aux lèvres, ne pût résister à l’envie de répéter de délicieux ¨guili guili guili...guili guili guili...¨ d’une voix tremblante d’excitation, ¨guilis¨ qui bientôt emplirent toute la pièce accompagnant les hurlements de rire de Moira. Ces ¨guilis guilis¨ répétés arrivant aux oreilles de Moira multipliaient encore l’intensité du supplice car ils éloignaient à ses yeux tout espoir de répit. Moira était au bord de l’agonie*: malgré l’anneau enserrant son cou et la lanière serrant son front au poteau, sa tête effectuait de légers va-et-viens de bas en haut, faisant bouger les sourcils vers le haut et vers le bas, plissant et déplissant la peau de son front, ce qui, couplé au visage hilare avec sa bouche grande ouverte, dessinait sur le visage de Moira des grimaces improbables telles des expressions théâtrales fortement exagérées*; ainsi, le haut du visage suggérait parfois la surprise, parfois le dégoût, parfois la peur ou l’angoisse, parfois une joie intense, parfois des pleurs, tandis que le bas du visage était lui toujours figé dans une infinie tranche de rire incroyablement puissant dévoilant sans pudeur toutes ses dents et sa langue. De la bave s’écoulait de chaque côté de ses lèvres, de la salive était expulsée de sa bouche grande ouverte et des larmes inondaient son visage hilare.
Malgré le terrible état dans lequel se trouvait Moira sous l’effet de cet atroce supplice des chatouilles, la cruelle Bertha continua encore à la torturer en grattouillant cette fois-ci les surfaces horriblement chatouilleuses des deux plantes de pieds nues exposées en utilisant les longs ongles de tous ses doigts longs, fins et experts dans l’art des chatouilles. C’en était trop pour Moira, qui avait déjà atteint ses limites depuis longtemps. Les mouvements de son corps vissé au solide poteau étaient tels que ce dernier se mit à bouger très légèrement malgré la taille importante de sa section. Une des gardienne suggéra gentiment à Bertha d’arrêter le supplice car elle avait peur pour la santé de Moira. Bertha comprit et arrêta sur le champs le mouvement de ses doigts.
Malgré cet arrêt, Moira continua à rire de longues minutes avec une intensité décroissante, rires entrecoupés de tentatives de reprises de respiration, et parfois de sanglots. A la fin, Moira ressentait des douleurs en de nombreux endroits*: dans ses abdominaux à cause de ses rires incessants, ainsi qu’aux différentes parties rougies de son corps fixées au poteau (poignets, coudes, front, bassin, genoux et chevilles).
Lorsque Moira finit par reprendre son souffle, épuisée, elle balbutia quelques mots à peine compréhensibles ¨Arrêtez le supplice des chatouilles, je vous en supplie, je vous en supplie, je , je, je n’en peux plus, c’est insupportable, pas les guilis, je vous en SUPPLIE...¨
- Bien, je pense que nous en avons terminé avec le chevalet d’inspection. J’ai donc noté que tu étais particulièrement chatouilleuse sous la plante des pieds, puis avec presque autant de sensibilité sur le ventre, et enfin à égalité sur le visage et sous les aisselles. Je te laisse imaginer ce que tu ressentirais si tu étais chatouillée en ces divers endroits simultanément. Mais je suis sûre que tu auras avoué bien avant cela. Toutefois, sache qu’une fois que tu auras avoué, la Reine décidera de ton sort; et, la connaissant, pour te punir, je parie qu’elle se fera un malin plaisir de te faire subir encore et encore le supplice des chatouilles...¨ expliqua la très cruelle Bertha.
¨Tu sais, elle et moi, nous avons beaucoup d’imagination en ce qui concerne cet abominablement délicieux supplice. Certaines victimes particulièrement sensibles ont ainsi été chatouillées une journée entière sous leurs points les plus sensibles. Nous avons également des appareils dédiés aux chatouilles pour une seule partie du corps*: par exemple, le ventre*; la victime est enfermée dans un carcan, complètement hermétique, laissant uniquement paraître son ventre nu vers l’extérieur par un large trou échancré*; son ventre est maintenu contre ce trou grâce à un morceau de bois situé derrière son dos et fixé au fond de la boîte. Sache que la Reine apprécie particulièrement cet appareil de torture, car elle adore chatouiller le ventre avec ses ongles, et qu’elle l’utilise parfois dans différentes salles du château comme un amusement public ou bien en privé dans sa propre chambre. Une fois, elle s’en est servie comme ¨avertisseur d’entrée¨*: elle avait fait installer dans cette boite verticalement une pauvre victime évidemment très chatouilleuse sur le ventre, la boite étant située à l’entrée d’une de ses salles de réception, et elle avait fixé un écriteau près de la boite indiquant ¨Chatouillez avant d’entrer*!¨. Ainsi la présence d’invités à la porte de la Reine étaient-elle annoncée par les rires parfois hystériques de la pauvre victime. Je pense que tu n’y échapperas pas. Bien, sur ce je te laisse à tes pensées, car je vais faire mon rapport sur toi à La Reine. Gardes*! Détache-là, et emmenez là dans sa cellule.¨
LE DÉBUT DE L’INTERROGATOIRE*: LES AISSELLES
La Reine était assise dans la salle stratégique en compagnie de Catherina sa confidente, Sophia la chef de la milice, d’Augusta la chef des armées et de Helga la responsable chef des gardiennes, lorsque la porte s’ouvrit, laissant entrer Bertha.
¨Alors comment cela se passe-t-il ma chère Bertha*? Notre espionne a-t-elle parlé*?, s’enquit la Reine dès l’apparition de Bertha.
- Pas encore, Madame La Reine, mais croyez-moi elle parlera. J’ai rarement vu une fille aussi chatouilleuse. Je peux vous garantir qu’elle ne résistera pas longtemps au supplice des chatouilles et qu’elle finira par tout avouer.
- En effet, nous avons pu entendre quelques éclats de rire visiblement forcés monter depuis les bas-fonds des cachots¨, confirma en riant la Reine, accompagné du rire de toutes les autres femmes autour de la table qui ainsi confirmèrent à leur tour qu’elles les avaient également entendus.
- Et dites-moi où est-elle la plus chatouilleuse¨, s’enquit la Reine
- Sous la plante des pieds Madame La Reine¨, répondit Bertha en détachant bien les syllabes, ce qui fit rougir de plaisir Catherina qui avait un faible pour les pieds féminins, surtout les plantes.
- Ensuite vient juste derrière le ventre¨, continua Bertha, ce qui fit sourire La Reine
- Et enfin, les aisselles, même si je n’ai pas testé mes ongles dessus¨, termina Bertha
- Très bien. Je veux donc qu’elle subisse un interrogatoire par supplice des chatouilles. Il faut y aller progressivement*; commencez par les aisselles*; puis le ventre puis la plante des pieds*; je veux à la fois faire parler cette espionne tout en la faisant souffrir.
- Bien Madame La Reine, répondit Bertha en souriante
- Mettez là donc dans le carcan aux aisselles. Je vous accompagne avec Catherina pour lui poser moi-même les questions. Les autres vous pouvez venir si vous le souhaitez. En route¨ finit la Reine.
Tout le monde autour de la table fût intéressé, donc naturellement tout le monde accompagna la Reine et Bertha vers les cachots du donjon.
Arrivées dans les sous-sols les plus profonds du donjon, la petite assemblée se rassembla devant la cellule dans laquelle Moira avait été enfermée. C’était une petite pièce froide et humide, munie d’un semblant de lit en bois, sans aucune fenêtre et munie de barreaux métallique en guise de porte. A la vue de La Reine, Moira se mit a trembler de peur, intimidée également par le monde qui l’accompagnait. Catherina, grande rousse aux yeux verts, presque aussi grande que la Reine, souris à Moira. Augusta, la fière chef des Armée, brune aux yeux noirs de braise et aux cheveux mi-longs, coiffée d’un casque antique avec une crête en crin, la dévisagea. Helga, blonde aux yeux bleus, également coiffée d’un casque militaire, observait Moira avec une certaine excitation dans le regard.
- ¨Alors, tu as eu un avant-goût de ce qui t’attend je crois¨ commença La Reine en s’adressant à Moira, à travers les barreaux de la cellule. ¨Et j’ai cru comprendre que ça t’a beaucoup amusée¨, continua-t-elle, accompagnée du rire de l’assemblée.
- ¨Non, non pitié, laissez-moi tranquille, laissez-moi repartir, je n’ai rien fait*!¨, répondit une Moira apeurée.
- Je te laisse une chance de tout avouer, là maintenant. Je vais faire tourner ce sablier. Si tu n’as pas parlé avant qu’il ait terminé de s’écouler, tu seras interrogée par supplice des chatouilles.
- Non*! pas les chatouilles*! Pitié*! Je les crains ! Je vous en SUPPLIE*! Vous allez me rendre folle*! Pitié, Madame La Reine, tout mais pas les chatouilles…
- Alors parles*!, ordonna La Reine
Moira était face à un dilemme*: tout avouer maintenant et éviter le supplice des chatouilles, mais trahir son pays et ses complices*; ou bien subir l’horrible supplice qui la mettrait à l’agonie. Après réflexion sous ce terrible choix, elle décida de ne pas parler, car elle se rappela des paroles de Bertha qui avait expliqué que la Reine devait de toutes façons la punir une fois interrogée. Elle n’avait donc d’autre choix que de se taire en subissant la torture.
- ¨ On dirait que le sablier s’est vidé de son dernier grain de sable. Alors toujours muette*?¨, demanda la Reine à Moira
- ¨ Je ne dirais rien¨, répondit Moira d’un air de défi, très différent de ses supplications précédentes.
- ¨ C’est ce que nous verrons. Gardes emmenez-là dans la salle d’interrogatoire, et enfermez-là dans le carcan aux aisselles¨, aboya La Reine à l’attention des gardes.
Moira fût emmenée dans une des pièces voisines de la salle dans laquelle elle avait subi les test de sensibilité. La pièce était ici plus grande avec de nombreux appareils de torture tous plus étranges les uns que les autres.
Ses deux poignets furent dans un premier temps liés ensemble. Puis relevés au dessus de sa tête, et enfin ramenés derrière son dos, les bras vers le haut et ses avant bras vers le bas, avec donc les coudes fortement pliés. Les coudes furent ensuite attachés très fortement ensembles, sa tête forcée en avant des bras et avant-bras. Les poignets furent attachés à une corde qui fût attachée entre ses jambes et autour de son bassin de sorte qu’elle ne pouvait plus bouger du tout les bras, et laissant ses aisselles nues complètement sans défense, avec une impression de ridicule car ses 2 bras entourant sa tête ressemblaient à de très grandes oreilles. Ensuite, son corps fût enfermé partiellement dans la boîte, laissant seulement apparaître le haut de son torse depuis la base de ses seins. Ses coudes furent ensuite attachés à un poteau fixé à l’arrière de la boite, ce qui dégageait encore plus l’accès à ses aisselles, et tiraient par la même occasion sur ses coudes. Enfin, une autre boite fut fixée autour de sa tête avec un trou laissant apparaître seulement son visage, le pourtour de son visage affleurant le bord du trou. Cette ¨boite de tête¨, se prolongeait plus bas de manière à couvrir ses seins. Au final, les seules parties visibles du corps de Moira étaient ses bras, ses aisselles nues et son visage. Elle n’avait absolument aucune possibilité de bouger ni de protéger ses aisselles. Il y avait un petit côté drôle et ridicule à cet accoutrement.
¨Bien, bien, bien!¨, chanta presque La Reine. ¨Voilà de magnifiques aisselles complètement sans défense. Oh mais regardez-moi comme elles sont creusées, on dirait des petites grottes. Et quelle peau délicate. Je suis sûre qu’elles sont très très sensibles aux chatouilles. Alors tu ne veux toujours pas parler?¨
Face au mutisme de Moira, La Reine poursuivit*:
¨Bertha*? Faites comprendre à cette espionne qu’elle a tout intérêt à parler¨.
Sur ces mots, Bertha s’approcha de la tête de Moira, la fixa droit dans les yeux, et fit bouger ses doigts dans tous les sens face à son visage, tels de longues pattes d’araignées en train de tisser leur toile. Lors du contact des ongles avec la peau très délicate des bras de Moira, celle-ci fût parcourue d’un immense frisson.
¨Tu crains les chatouilles là ?¨, demanda Bertha avec un large sourire.
Bertha fit effectuer une petite ¨marche¨ à ses index et majeurs depuis le coude jusqu’au bord des aisselles, puis en sens inverse plusieurs fois très très lentement. Moira réussit à résister à l’envie de rire qui commençait à la secouer, en plissant des yeux, remontant ses joues dans un sourire grandissant. Puis un gémissement se fit entendre à travers ses lèvres fermées.
¨Oh*? Qu’est-ce que j’ai entendu?¨ demanda Bertha, ¨Je sens que tu ne vas pas tarder à rire¨
Après une dernière descente du coude vers les bords supérieurs des aisselles, elle continua sa ¨route¨ dans les immenses creux d’aisselles offerts sans défense, en accélérant le rythme des chatouilles avec les index et majeurs tels les petites jambes de chevaux au galop. A ces sensations, le gémissement émis par Moira se fit de plus en plus fort et aigu, puis une bulle de bave se forma entre ses lèvres fermées.
¨...guili guili guili guili...guili guili guili guili¨ ajouta simplement Bertha tout en accélérant le rythme des chatouilles du bout des ongles dans les creux doux et lisses des aisselles nues.
A ces mots, le gémissement de Moira se transforma en rire ¨...hhhhh… hihihihi…. hiiiiihihi… hihi…. hihihihi…. ca...haha...caa..chaatouiiiille...hihihi….ca fait des guilis sous les braaas… hihihihi...pas sous les braaaas...hahahaha...hihihihi...¨.
La vue de ce visage déformé par le rire, coincé et entouré par cette planche de bois et par les deux creux des aisselles nues sans défense en train de se faire chatouiller avait un côté risible, très surprenant, presque ridicule et hypnotique. Cette scène improbable, ajoutée au rire sur-aigu de Moira tout en délicieux ¨...hihihihi...¨ en écho aux ¨guilis guilis¨ également très aigus et délicieux de Bertha, commençait à sérieusement exciter les femmes de l’assistance, qui ne purent s’empêcher de sourire de plaisir, tout en imaginant l’infernal supplice que cela devait représenter pour la pauvre Moira.
- Bien, très bien, continuez, continuez comme cela Bertha, je veux voir cette espionne hurler de rire.
Bertha fouilla le creux des aisselles nues en utilisant tous ses ongles longs tels des coureurs qui galopaient galopaient galopaient, arrachant instantanément un épouvantable cri de la bouche de Moira qui se mit à hurler de rire sous l’atroce sensation de chatouilles.
Ce cri suivi du rire intense, pris par surprise tous les témoins de la scène, qui écarquillèrent les yeux et ouvrirent la bouche en cul-de-poule. Même La Reine fût étonnée par une telle réaction. Mais elle repris vite ses émotions, et s’adressa à Moira en étant obligée à forcer la voix pendant que Moira se tordait de rire*:
¨Si tu veux que Bertha arrête de te faire des chatouilles sous les bras, il te suffit de parler. J’imagine que ce supplice doit être insupportable pour toi tellement tu es chatouilleuse. Alors parles et tout ceci sera terminé¨
Mais hélas, tout ce que pouvait faire Moira était rire, rire, rire et rire encore et encore, rien ne semblant pouvoir l’arrêter. Dans ce concert de rires, elle tenta de balbutier des supplications incompréhensibles tout en bavouillant, de la bave coulant abondamment de la commissure des lèvres, son visage inondé de larmes ¨….ouuuuuaaaahh… AHAHAHAHA… HAHAHAHAHAHA… .HIHIII...hihihihi… HAHAHAHA....HAHAHAHAHA… HHAHAHA…. ca chaaaa...touillleee.. hahahaha….. hahahaha .arreteez les chaaaTOUILLES… hahahaha… arrêtez les chaaatouiilllleee .. paas hahaha caaa ...hahahaha…. paaaas les guilis hihihiihih.. arrêtez les guilis…guilis...hihihi….hahahaha...je vais.. paaarleer… je vais hahahaha...hahaha...HAHAHAHAHAHAHAHAHAHAH….PAARLEEEEEER..HEHEHE...hahahaha¨
- Stop!¨, ordonna La Reine à Bertha
Aussitôt, Bertha interrompit le supplice en retirant ses longs ongles des creux des aisselles nues.
Pourtant Moira continuait de rire, mais son rire diminua petit à petit puis elle repris son souffle ¨...huff...huff..haha..huffhuff...hahaha….hihi...huff..hiiii...hufhuf...arrêtez les chatouilles...huff..huff...haha...¨
- Alors, parles, sinon je demande à Bertha de te chatouiller sans s’arrêter pendant 10 longues minutes.
- Je...hihi..je vais parler, mais arrêtez de me faire des chatouilles
- Nous t’écoutons. Tout d’abord, comment t’appelles-tu
- Moi...hihi...Moira...je, je ne ...hihi, je ne peux pas m’empêcher de riiire..hihi..vous m’avez trop chatouillée..haha
- C’est les nerfs qui lâchent, c’est normal. Quel est ton activité au sein du château*?
- Je..hihi...je suis au courrier..huff
- Au courrier*? Tu avais donc un accès à certaines de mes lettres..
- Et pour qui travailles-tu*?
- Je .. je ne peux pas vous le diiire...hihihi…je vous en prieee..
- Ah non*? Veux-tu que je demande à Bertha de recommencer à te chatouiller sous les bras*?
- Nooonn*! Nooon*! Nooon*! Pitié*! Pitié*! Pitié*! Arretez*! Pas les guilis*! Pas les guilis..*! Pas ca*! Pas les chatouilles*! Pas les chaTOUILLES*! PAS LES CHATOUILLES*! PAS SOUS LES BRAS*! Se mit à crier de plus en plus fort Moira de plus en plus paniquée à mesure que Bertha approchait en les remuant ses longs ongles de ses aisselles lisses nues complètement sans défense, sans toutefois les toucher.
- Je..je...je travaille pour La Reine Helena du Royaume des Atalantes
- Je m’en doutais. Et as-tu des complices*?
- Non*! Non*! Je vous jure que je n’ai pas de complices.
- Je suis sûre du contraire*! Bertha, chatouillez là encore*!
- Pitié*! Pitié*! BuuuuuUUUAAAAHAHAHAHA*! HHHHAHAHAHA*! Hahahaha, ...HAHAHH... HAHAHHHA... HAHAHAHAHAAAA.... AAAAHAHAHAHAHA¨ hurla Moira sous les horribles guilis prodigués par les longs ongles fouillant, refouillant absolument partout les moindres recoins des aisselles creusées de Moira à la recherche des endroits les plus abominablement chatouilleux.
C’en était trop pour Moira, qui soudain...s’évanouit*!
L’INTERROGATOIRE*: LE VISAGE
L’arrêt soudain des rires de Moira, la fermeture de ses yeux et de sa bouche, au final, son évanouissement surprirent toute l’assemblée. Bertha, éloigna ses ongles des aisselles de Moira, une expression de surprise dominant maintenant son visage.
¨Je crois que nous sommes allés trop loin¨, dit-elle, ¨cette espionne est décidément hyper chatouilleuse y compris sous les aisselles. Je ne l’avais pas anticipé à ce point. C’est de ma faute, car lors du test, je n’avais utilisé que la plume. Je vais la réveiller. Gardes*: apportez-moi des sels*!¨
Une des gardiennes quitta la pièce à la recherche des sels demandés.
Pendant ce temps, la Reine, après avoir repris ses esprits s’adressa à Bertha*:
¨Lorsqu’elle sera réveillée, il faudra recommencer le supplice mais s’arrêter juste avant qu’elle ne perde connaissance. Je veux qu’une des gardes la surveille en permanence et n’hésite pas à dire stop en cas de besoin. Je ne tiens pas ni à perdre du temps à la réveiller, ni à perdre tout court cette indéniable source d’information.¨
Puis, s’adressant à une des gardiennes, ¨Toi*! Comment t’appelles-tu*? ¨
¨Diane, Madame La Reine¨
¨Très bien, Diane. Tu surveilleras la prisonnière pendant son interrogatoire. Et gare à toi si elle s’évanouit à nouveau*! Mais je ne veux pas non plus t’entendre crier stop à tout va. Tout est question de dosage*!¨, ajouta Le Reine avec un sourire sadique.
¨Que comptez-vous faire maintenant Madame La Reine?¨ demanda Bertha
¨Je veux qu’elle subisse le supplice des chatouilles sur le visage. Je veux qu’elle supplie, qu’elle rie et qu’elle pleure à la fois. Je sais que ce supplice peut-être absolument abominable¨
¨Bien Madame La Reine. Vous ne serez pas déçue.¨
Et voyant la gardienne revenir avec les sels elle ajouta ¨Ah*! Voilà les sels!¨
Bertha saisi le bloc nauséabond et l’approcha du nez de Moira toujours évanouie. A l’odeur pestilentielle dégagée par ces sels, celle-ci ne tarda pas à faire la grimace puis à se réveiller.
¨Alors*! On s’était endormie?¨ lança Bertha à l’attention de Moira
¨...que...que se..où suis-je..non..non..laissez moi tranquille … laissez moi partir...je...j ne peux pas bouger, je vous en prie¨, balbutia Moira tout en reprenant ses esprits
¨Te voilà à nouveau prête. Je te laisse encore une chance de parler. Je vais tourner ce sablier, et si tu ne parles pas avant qu’il n’ait fini de s’écouler, tu subiras à nouveau le supplice des chatouilles. Mais sur le visage cette-fois. Alors, parles!¨, explique La Reine juste avant de tourner le sablier.
¨Je vous en prie*! Non*! pas ça pas ça*! C’est horrible*! Je ne peux rien vous dire car je ne sais rien. Je n’ai pas de complice et...¨
¨Stop*! Arrêtes de nous raconter n’importe quoi!¨, dit La Reine. ¨Encore quelques temps de réflexion et puis...guili guili!¨
Elle mit le sablier juste en face des yeux de Moira qui devait loucher pour pouvoir l’observer. A la fin de son écoulement, elle ne pût s’empêcher de dire ¨Nooon! Pas ça pas ça, je vous en supplie ayez pitié!¨
Mais bientôt, Bertha s’empara de la longue plume blanche à la pointe effilée et la fit passer devant les yeux de Moira qui la suivait des yeux comme hypnotisée par son mouvement de va-et-viens dans l’air. La scène était plutôt cocasse, car sa tête étant enfermée et bloquée dans cette ¨boîte de tête¨ seuls ses yeux tournaient dans leurs orbites, parfois à l’extrême, laissant apparaître une large partie du blanc. La panique grandissante pouvait se lire sur son visage. Elle commença à respirer de plus en plus vite, le souffle de plus en plus court. Ses joues commençaient à rosir. Les femmes de l’assistance acquiesçaient un léger sourire devant cette scène irréaliste et presque burlesque montrant un visage et surtout des yeux bien vivants, isolés et coincés au milieu d’une planche de bois morte et inerte.
Puis, l’immanquable se produisit*: la pointe de la plume entra en contact avec le bord de la lèvre du côté droit juste au niveau de la commissure. Ce premier contact fît légèrement tressaillir Moira, et sa lèvre, par pur réflexe, se contracta en un léger sourire asymétrique, avant de revenir aussi vite à son point de départ. Moira maintenait les dents serrées, résolue à résister le plus longtemps possible. La plume poursuivit sa lente route sadique le long de la joue droite, avant de redescendre lentement vers le menton, puis sous le menton*; elle remonta ensuite vers la joue gauche puis rejoignit la commissure de la lèvre gauche, qui elle aussi se contracta/décontracta par pur réflexe.
Le rythme de la respiration de Moira augmentait*; et comme elle respirait par le nez, le passage de l’air inspiré et expiré se faisait de plus en plus bruyant. Bertha, insista avec la pointe effilée de la plume sur la commissure des lèvres en effectuant de très légers va-et-viens. La respiration de Moira s’accéléra, la tête devint de plus en plus rouge, et surtout la joue droite était sujette à des tressaillements incontrôlables de plus en plus violents. Le visage de Moira se mit à trembler*comme si elle grelottait de froid en claquant des dents; Moira gardait les dents très serrées, entraînant une douleur de plus en plus intense des muscles de sa mâchoire.
¨ Alors que penses-tu de mes petites taquineries? Tu ne parles toujours pas*? ¨ demanda une Bertha de plus en plus excitée
Le visage de Moira semblait subir une pression interne croissante, comme une cocotte minute qui lentement monte en ébullition. La plume continua sur tout le pourtour des lèvres serrées, procurant à Moira une infernale démangeaison. Le tremblement de son visage se fit de plus en plus fort. Le rougissement de ses joues aussi..
Puis un sourire incontrôlable se dessina progressivement sur son visage tandis que l’air entrant et sortant de son nez pinçait et élargissait de manière successive les bords de ses narines. Bientôt, ses yeux se plissèrent en un rictus et un immense sourire couvrait presque toute la largeur de son visage. Moira était au bord de l’explosion de rire, juste sous l’effet de cette plume infernale qui chatouillait ses lèvres.
Bertha insista, insista le mouvement de va-et-viens de la plume sur les lèvres et décida d’ajouter de délicieux et très aigus ¨guili guili¨. A ces mots, Moira avait plus de mal à résister et, elle se mit à gémir puis à pousser de petits rires très aigus¨...hihihi...hihihi¨ en écho aux*¨guili guili¨ proférés par Bertha. L’assistance restait hypnotisée par cet ¨échange verbal¨, et par ce visage hilare qui semblait sortir de nulle part. Les rires sur-aigus se firent de plus en plus intenses ¨..hihihi...hihihi…. hihihi… hihihi….¨
Soudain, Bertha, décida de faire pénétrer la longue plume dans une des narines de Moira jusqu’au fond puis de la faire tourner sur elle même. C’était la goutte d’eau qui fit déborder le vase de Moira qui explosa de rire, un rire d’une violence inouïe, ¨UUUUUUAAAAAHHAAAAAH… HAAAAHA… HAHAHAHA… UUUUUUHAHAHAHAHA… AHAHAHAHAHA… UUUAHAHAHAHAHA… AAAHHHH… AAAAHAHAHAHA… hiiiihihihi… hhahahaha… hihihihihihihihihihi… hahahahahahahahahahahahahahahahaha...¨, la longue plume effilée tournoyant dans sa narine lui procurant un chatouillement absolument IN-SUP-POR-TABLE.
Bertha ne s’arrêta pas pour autant et poursuivit le supplice de la plume dans la narine en lui faisant faire des mouvements de va-et-viens en plus des tournoiements, enfonçant la plume de plus en plus profondément jusqu’au fond de celle-ci. Moira riait, riait, riait, sans cesse, sous l’infernale démangeaison*; son visage était couvert de larmes abondantes, sa bouche était grande ouverte dévoilant toutes ses dents, sa gorge, sa langue et sa luette. Quand soudain Bertha s’arrêta.
Moira continuait malgré tout à rire, d’un rire nerveux, toutes ses joues tremblantes, de la bave coulant de sa bouche couvrant tout son menton.
Tout en lui laissant un peu de répit, Bertha ouvrit des trappes secrètes situées de chaque côté de la ¨boîte de tête¨, dévoilant ainsi les deux oreilles et le cou de Moira.
Moira crût comprendre ce qui allait se passer, car elle pouvait maintenant beaucoup mieux entendre les sons de la salle de torture.
¨Catherina, voulez-vous m’aider? Placez-vous derrière sa tête, et chatouillez-lui ses deux oreilles avec vos ongles longs, comme vous savez si bien le faire sur la plante des pieds¨, demanda Bertha à Catherina qui ne se fit pas prier deux fois devant une telle occasion.
Après s’être positionnée derrière la boîte de tête, Catherina approcha les ongles immenses de ses index et majeurs des oreilles nues de Moira*; elle les frôla ce qui produisit un immense frisson le long de la colonne vertébrale de Moira, puis elle parcourut délicatement et simultanément les pourtours des deux oreilles obligeant Moira à plisser les yeux, à sourire et à émettre un long gémissement à la limite entre pleurs et rire.
Catherina, fort excitée, ne pût s’empêcher d’exciter verbalement la pauvre Moira au supplice ¨Alors, ca chatouille*? ca fait des guilis guilis*? ¨ tout en souriant et en parcourant toute la surface complexe des oreilles, ainsi que son pourtour très chatouilleux, et l’arrière également très sensible.
Au même moment, Bertha, s’empara de deux plumes et les enfonça très profondément dans les deux narines de Moira et les fît tourner, tout en lui répetant ¨guili guili guili guili….guili guili guili guili...¨ C’en était trop pour Moira qui se mit à hurler de rire jusqu’à s´étouffer, suivi d’un long silence pendant lequel elle continait à rire mais sans bruit car elle manquait d’air, puis une reprise très rapide de respiration, puis à nouveau un immense rire suivi d’un rire silencieux, puis une reprise de respiration très courte et puis parfois un énorme cri incontrôlable lorsque Catherina chatouillait un endroit particulièrement sensible avec ses longs ongles, ou que l’une des plumes touchait le fond de ses narines.
Les rires et les cris incessants de Moira se muèrent progressivement en pleurs. Moira se mit à pleurer à chaudes larmes sous l’infernale démangeaison de la plume dans ses narines et l’effroyable supplice des chatouilles de ses oreilles procuré par ces ongles longs et fins. Ses sourcils frémissaient, tremblaient dans une expression de grande détresse, avec leur centre plus haut que les bords.
Dans sa folle excitation, Catherina lui chatouilla le cou en y faisant galoper galoper galoper les longs ongles de tous ses doigts longs et fins ce qui fit exploser de rire une fois de plus Moira au beau milieu de ses pleurs tout en lui générant un immense frisson*; cela fît rire Catherina qui, ivre d’excitation, continuait à lui susurrer ¨guiiiiili guili guili guili...¨ d’une voix de plus en plus grave sur trois tons, phrase qu’elle répétait sans cesse en repartant dans les aigus sur le premier ¨guili¨ de la phrase...tout en lui chatouillant atrocement le cou et la nuque.
La gardienne Diane intervint et demanda immédiatement l’arrêt du supplice des chatouilles car elle crût percevoir un voile dans les yeux de Moira qui soudain fixait le vide d’un air absent tandis que sa respiration se coupait, un large sourire sur ses lèvres, la bouche grande ouverte, la bave coulant de sa bouche sur la planche de bois.
Aussitôt, les deux tortionnaires arrêtèrent de la torturer.
Moira était à bout de souffle. Cela fait maintenant 2h qu’elle s’est enfui du haut château de la Reine Maléfique qui a lancé des poursuites à sa recherche par une quinzaine de gardiennes armées d’arcs, d’épées et aidées par des chiens.
¨Retrouvez moi cette espionne au plus vite avant qu’elle n’aille révéler des informations ultra secrètes que je la soupçonne d’avoir subtilisé à notre insu dans notre salle stratégique¨, avait dit la Reine à Bertha la responsable de la sécurité du château.
La Reine est à la tête d’un Royaume d’Europe Centrale grand comme l’actuelle Hongrie, Royaume qu’elle dirige d’une main de fer aidée en cela par une armée de femmes soldat toutes dévouées malgré elles à cette redoutable et tyrannique femme de pouvoir. La Reine est d’une beauté magnétique et maléfique à la fois, d’où son nom ¨Maléfique¨. Elle est très grande, plus grande que la moyenne de ses sujets, avec des cheveux noirs jais. Ses yeux verts immenses en amande, ses fins sourcils, sa large bouche aux lèvres rouges bien dessinées, son teint pâle tel un vampire, sa coiffe à 2 cornes et son sourire carnassier lui confèrent une visage diabolique et cruel*: personne n’ose perpétrer la moindre contradiction ou critique à son égard en sa présence. En général, autour d’elle le silence règne en maître. Elle porte toujours une longue robe noire de telle sorte qu’elle semble se mouvoir en glissant sur le sol glacial de son château tel un fantôme pourtant bien présent. Les femmes dans son entourage immédiat sont au nombre de cinq*: sa complice, confidente et responsable de la sécurité du château Catherina, la Grande Commissaire en chef de la milice du pays Sophia, la générale d’armée Augusta, l’intendante du château Julia et la femme de main la terrible Bertha.
Moira est, ce que l’on nomme, une espionne dormante. De taille moyenne, blonde, les yeux bleus, d’aspect fragile, elle semble tout droit sortie d’un conte de fée. Elle fût recrutée il y a quelques mois par le service de la Reine en charge des réceptions et envois des messages vers tous les fiefs de la Reine, le courrier en somme. En réalité, Moira travaille pour une puissance étrangère dont le projet est de renverser puis d’envahir le Royaume. Son rôle secret consistait à lire les lettres importantes destinées à la Reine ou envoyées par elle vers ses nombreuses provinces, et à transmettre les informations à ses complices qui travaillaient dans d’autres services tels que les cuisines ou l’écurie. A charge à ces dernières d’envoyer à leur tour l’information à travers le pays par l’intermédiaire de divers transports de marchandises ou bien à cheval en cas d’information urgente. Bien entendu, les lettres ultra-secrètes ne transitant pas par ce service de courrier pour des raisons évidentes de sécurité, elle devait ruser pour se rapprocher en toute discrétion des appartements de la Reine, si possible à la nuit tombée. Elle réussit ainsi une fois à lire une lettre indiquant la date d’une prochaine visite d’une forteresse ultra-secrète par la Reine en personne. Il ne lui manquait que le lieu de ladite forteresse*: c’est l’information qu’elle avait tenté de subtiliser lorsque, hélas, elle fût prise en flagrant délit par le Reine elle-même. Elle parvint à s’échapper tant bien que mal de l’immense château en parcourant des couloirs plus ou moins secrets qu’elle avait reconnu discrètement durant ses quelques mois au service de la Reine, et grâce à la complicité de certaines personnes qui s’étaient chargée de laisser ouvertes certaines portes de manière opportune.
La voilà donc maintenant cachée dans une espèce de grotte surplombant la vallée, grotte qu elle avait déjà repérée quelques jours auparavant. De là elle observait les gardiennes en train de fouiller chaque buisson, chaque recoin des fermes situées aux alentours du Haut Château.
¨La vue est belle d’ici?¨
Moira sursauta de peur panique en entendant une gardienne avec son chien située juste derrière elle à environ 2 mètres à peine*; elle venait ainsi d’être découverte dans sa cachette, son cœur battant la chamade tel un train lancé à toute allure…
CAPTURE ET INSPECTION
¨Rendez-vous il n’y a aucune issue, vous n’iriez pas très loin de toutes façons, des gardiennes sont en train de monter la colline avec leurs chiens¨, fit la garde qui s’approcha de Moira son chien râlant près à bondir.
En effet, très vite, une, puis deux, puis trois gardes pénétrèrent dans la grotte par une issue secrète que Moira n’avait pas repéré. Découragée et terriblement apeurée elle se laissa attraper par le bras la gardienne pratiquement sans offrir de résistance.
¨Emmenez-là au château. La Reine va être ravie de cette belle prise¨, s’écria la gardienne à l’attention des 3 autres.
Moira fût ainsi attachée par les poignets dans le dos puis emmenée de force par 2 gardiennes qui la maintenaient par les bras. Le chemin vers le château fût long et pénible pour Moira qui sentait la peur puis la panique l’envahir à mesure qu’elles se rapprochaient à pied du Haut Château. Il faut dire que la bâtisse était très intimidante avec ses immenses murailles, ses meurtrières, ses tours, ses créneaux et son pont levis. Elles finirent par arriver au dit pont levis*: les 2 gardiennes postées là les laissèrent passer sans encombre. Puis la petite troupe se dirigea vers une grande salle où se trouvait la Reine assise sur un trône immense*situé sur une estrade en pierre accessible par trois marches. La gardienne poussa la pauvre Moira terrifiée au pied de*cette estrade avant de la forcer à s’agenouiller face à la Reine*; bien qu’assise, celle-ci dominait d’au moins une tête toute personne même debout à fortiori à genoux. Au pied de l’estrade se tenaient déjà debout Catherine et Bertha.
¨Madame la Reine, voici l’espionne que nous recherchions. Nous l’avons trouvée dans la grotte de guet Sud. Elle ne connaissait visiblement le passage secret qui nous a permis de la coincer.¨ raconta la gardienne assez fière de sa prise.
¨Très bien, toutes mes félicitations pour avoir empêcher cette espionne de nous échapper¨, répondit l Reine à la gardienne.
¨Car tu es bien une espionne n’est-ce pas?¨ s’adressa-t-elle ensuite à Moira d’un regards inquisiteur.
Moira était trop terrifiée pour répondre. Toutefois, elle balbutia, le cœur battant à tout rompre
¨Ce...ce n’est pas ce que vous croyez. Je … je ne suis pas une espionne. Je...¨
¨Petite menteuse*!¨, rétorqua la Reine de manière abrupte, ¨Je t’ai vue de mes propres yeux dans la salle stratégique en train de subtiliser des documents ultra secrets¨, continua-t-elle. ¨Tu vas non seulement le payer très cher, mais avant cela tu vas être interrogée*: je vais te laisser entre les mains de Bertha qui se fera un plaisir de te faire parler, et je pense que personne n’aimerait être à ta place en ce moment. Bertha, vous avez le droit de lui faire tout ce que vous voulez pour lui faire avouer ses crimes et pour lui extraire toutes les informations utiles sur ces vols de documents. Je veux tout savoir, absolument tout*: comment elle s’appelle, pour qui elle travaille, depuis combien de temps elle réside au château, quelle était sa profession ici, quels documents a-t-elle subtilisé, qui sont ses complices, etc...¨, ajouta la Reine rouge de colère. Gardes, emmenez-là immédiatement dans la salle d’interrogatoire!¨, hurla-t-elle.
Les gardiennes ne se firent pas prier. Celle qui tenait Moira par les poignets, la releva, et deux autres gardiennes les escorta vers la large porte de la salle du trône. Elle traversèrent le hall d’entrée du donjon puis empruntèrent une porte qui menait à un long escalier en colimaçon qui menait aux étages inférieurs. Après une longue descente, elles se retrouvèrent plusieurs niveaux sous terre, dans un large couloir bordé de part et d’autre par de nombreuses portes en bois. Une des gardienne, ouvrit l’une d’elle à l’aide d’une longue clé, faisant chanter les larges gonds métalliques d’un sinistre grincement. Puis elle alluma quelques torches qui soudain firent danser des ombres sur les murs de la pièce sombre et humide. Au milieu, trônait un équipement inquiétant tout en bois solide avec des anneaux en fer, des chaînes, différents trous et des lanières de cuir. A la lueur des faibles torches, Moira constata également la présence de nombreux anneaux directement fixés aux murs.
¨Déshabillez-là et installez-là sur le chevalet d’inspection!¨, ordonna Bertha aux gardiennes.
A ces mots, Moira voulut s’enfuir à toutes jambes de ce sinistre endroit, mais les gardiennes la maintenaient d’une main ferme. Elle se débattit avec le peu de force qui lui restait mais les trois gardiennes étaient bien plus fortes et efficaces qu’elles. ¨S’il vous plaît je vous en prie laissez-moi je vais vous expliquez, ne me touchez pas, je veux pas que vus me touchiez...¨ essaya-t-elle presque en pleurant mais sans succès.
Les gardiennes, finirent par réussir à lui enlever ses vêtements. Moira se retrouvait ainsi pratiquement nue*: il ne luis restait que ses sous-vêtements. Les gardiennes et Bertha eurent un petit sourire en admirant le corps quasiment parfait de Moira qui tentait de de soustraire de leur regard en couvrant maladroitement ses seins pourtant non dénudés et son ventre avec ses deux bras croisés sur sa poitrine ses coudes au niveau de ses hanches en s’accroupissant de manière pathétique.
Le chevalet d’inspection était donc ce fameux équipement situé au milieu de la pièce. Il s’agissait d’un poteau en bois de section carrée large dans lequel étaient vissés ou cloués à différentes hauteurs des anneaux métalliques et des lanières de cuir ouvertes sur une de ses 4 faces, sa partie ¨avant¨ comme va vite le comprendre Moira. Il y avait également une large planche qui partait du poteau vers l’arrière de celui-ci de manière légèrement inclinée, l’extrémité arrière étant donc légèrement plus haute que l partie avant. Deux autres anneaux étaient fixés au bout arrière de cette planche. Moira fut installée non sans mal*: ses poignets étaient fixés aux anneaux les plus hauts, tirant à l’extrême ses bras parallèles bien au-dessus de sa tête*; puis des anneaux enserraient ses coudes, vissant littéralement les bras au poteau. Son cou était enserré dans un autre anneau*; une lanière de cuir était fixée fermement sur son front au poteau l’empêchant ainsi de tourner et de pencher la tête en avant du moindre millimètre*; une lanière de cuir était également entourée au niveau de son bassin et fixée bien entendue au poteau refusant ainsi tout mouvement de celui-ci ni de droite ni de gauche, ni de haut ni de bas, ni vers l’avant ni vers l’arrière. Ses genoux reposaient sur la fameuse planche inclinée, avec des lanières de cuir fixés derrière eux à la planche et au poteau. Enfin ses chevilles étaient enserrés dans les anneaux métalliques fixés à la planche. Au final, Moira était pratiquement nue complètement vissée à ce chevalet, incapable de bouger d’un millimètre, ¨debout¨ sur ses genoux, avec ses aisselles nues, son visage, son ventre nu et ses pieds nus exposés à des gardiennes armées et à la terrible Bertha qui était là pour l’interroger. Elle était complètement terrorisée tentant de deviner ce qui allait se passer mais n’arrivant pas à tout suivre car seuls ses yeux étaient capables de bouger.
¨Ceci est le chevalet d’inspection¨, commença Bertha. ¨Sais-tu pourquoi il s’appelle ainsi?¨, demanda-t-elle à Moira avec un léger sourire. ¨Tu n’en n’as pas la moindre idée n’est-ce pas?¨
¨Et bien, comme son nom l’indique, il nous permet d’inspecter tes zones les plus sensibles¨ continua-t-elle.
Moira était morte de peur en entendant ces explication. Mais de quelle sorte de sensibilité voulait-elle parler se demanda-t-elle.
Bertha demanda à une gardienne tout en regardant Moira droit dans les yeux*: ¨Apportez-moi la plume!¨
A ces mots, Moira comprit immédiatement ce que cette inspection signifiait*: elle allait être chatouillée*sur tout le corps avec une plume ! Et rien de pire ne pouvait lui arriver car elle se savait horriblement chatouilleuse. Moira, affolée faillit demander pitié, mais décida de ne rien dire. Bertha détecta la panique dans les yeux de Moira et lui lança un sourire carnassier*: ¨Je vais parcourir tout ton corps sans défense à la recherche de toutes tes zones les plus sensibles aux...chatouilles*; tu verra c’est tellement drôle, que tu ne pourra pas t’empêcher de rire¨
La gardienne apporta une longue plume blanche et très effilée au bout. Bertha s’en saisit, et tout en regardant Moira droit dans les yeux, elle passa son extrémité sur tout le pourtour de l’oreille droite de Moira. Moira fût saisie d’un immense frisson. Bertha ne la quittait pas des yeux et continua un lent mouvement de va et vient très délicatement sur le pourtour de l’oreille, puis derrière l’oreille, puis dans le trou de l’oreille. Moira, fit une grimace souriante pour tenter de contrer la démangeaison. Puis, Bertha fit descendre la plume sur la nuque et le cou de Moira qui ne pouvait absolument pas bouger la tête*: ce contact lui procura encore plus de frisson et élargit encore son incontrôlable sourire*; puis Bertha promena la plume sur le contour des lèvres de Moira qui dessinaient un sourire de plus en plus grand. ¨ Alors, ca te démange n’est-ce pas*?, Tu aimerais bien pouvoir bouger la tête mais tu en n’es bien incapable n’est-ce pas? Allez je sens que tu ne vas pas tarder à rire¨ Puis Bertha introduit sans difficulté la pointe très effilée de la plume dans une des narines de Moira avant de la ftourner sur elle même créant ainsi chez Moira une démangeaison insupportable. Pour augmenter un peu plus s’il en fallait la sensation de chatouilles elle ne put s’empêcher de susurrer de légers ¨Guili guili guili…, ca chatouille là hein*? ¨ Moira devint toute rouge et ne put s’empêcher de pousser un gloussement sourd tentant de résister tant qu*‘elle pouvait à l’immense envie de rire qui la secouait. Bertha continua le supplice du visage, en chatouillant l’autre narine, et là Moira explosa littéralement de rire au grand plaisir de Bertha qui ne s’arrêta pas accélérant même les mouvement de la plume dans les narines, sur les joues, sur le pourtour des oreilles, dans le cou de Moira, qui maintenant riait, riait, riait à gorge déployée incapable de bouger la tête pour éviter l’infernale démangeaison de cette plume démoniaque. Les gardiennes étaient comme hypnotisées par la scène, et par ce rire incroyablement contagieux qui emplissait maintenant la salle d’interrogatoire.
Bertha stoppa net le supplice de la plume, laissant Moira haletante, avec des soubresauts de rire résiduels. ¨ C’est assez pour le moment. Tu es particulièrement sensible du visage*; Voyons un peu tes aisselles maintenant¨
Moira, essoufflée tenta de répondre ¨...huf huff, je vous...en supplie...huuff arrêtez de me chatouiller je ne sais rien, je n’ai rien à vous dire...pitié pas les chatouilles...¨
¨Je suis sûre que tu as plein de choses à nous dire, mais pour l’instant je dois t’inspecter de la tête aux pieds*! ¨
Et sans plus attendre, elle se mit à chatouiller délicatement le pourtour des aisselles dénudées immobilisées et sans défense de Moira, avec l’extrémité de la plume. Moira se mit à trembler, tenta de suivre le mouvement de la plume mais sans succès du fait de sa tête complètement immobilisée. Incapable de bouger, Moira se remit à rire, rire, rire et rire et rire encore et encore sous les abominables chatouilles de cette plume sous ses aisselles nues. Une nouvelle fois, le rire résonnait dans la petite pièce hypnotisant les gardiennes témoin de la scène de torture. ¨Il semble que tu craignes les chatouilles sous les aisselles également¨, ajouta amusée Bertha. C’est noté. Passons à ce joli ventre nu¨
Moira tenta de récupérer son souffle lorsque Bertha éloigna la plume de ses aisselles. Elle fit tourner ses yeux dans leur orbites vers le bas tentant de voir son ventre car l’anneau fixé à son cou l’empêchait de baisser la tête.
Le ventre de Moira était plus que plat car légèrement creusé vers l’intérieur avec une peau très douce, un nombril ovale tout en longueur particulièrement profond*; on pouvait de manière très subtile deviner un soupçon ses abdominaux. Ses flancs étaient creusés en forme de guitare, et sa taille fine. La tension extrême de son corps mettait aussi en valeur ses côtes et creusait encore plus l’abdomen.
Bertha, approcha la plume de ce délicieux ventre nu avec un immense sourire et commença à le parcourir en lui faisant faire de larges cercles. Moira fût une fois de plus saisie de frissons mais elle se retint de rire. Bertha spirala sur son ventre nue avec la plume tout en se rapprochant du nombril. Le ventre de Moira fût soudain saisi de spasmes chatouilleux, faisant apparaître ses abdominaux de manière transitoire. Bertha et les gardiennes étaient comme en transe devant cette danse du ventre forcée par la plume. Bertha s’amusa à parcourir toute la surface fine et douce du ventre nu de Moira en insistant sur les zones faisant sursauter les abdominaux, parfois elle remontait et descendait sur le long des flancs avant de revenir sous les côtes, l’abdomen, la taille et les hanches de Moira. Puis Bertha fut irrésistiblement tentée de grattouiller ce ventre nu magnifiquement exposé avec ses ongles qu’elle avait immenses, et elle ne put s’empêcher de dire ¨Guili guili guili guili….guili guili guili….¨ tout en chatouillant. A ce contact inattendu, Moira, rouge comme une tomate à force de maintenir son irrésistible envie de rire, ne put se retenir plus longtemps, et hurla violemment dans une explosion de rire immense. Les ongles incroyablement longs de Bertha continuaient leur ¨promenade¨ sadique sur les muscles chatouilleux du ventre nu de Moira qui se tordait de rire sans rien pouvoir y faire, ces horribles guilis lui étant absolument insupportables.
De nouveau Bertha s’arrêta avant que Moira ne manque de s’étouffer de rire avant de rire ¨Et bien, on peut dire sans se tromper que tu crains incroyablement les chatouilles sur le ventre*; ce doit être terrible pour toi de voir ainsi ton ventre nu chatouilleux complètement sans défense dans cette salle d’interrogatoire avec moi et mes ongles longs comme tortionnaire. Mais ton supplice n’est pas pour autant terminé. J’ai hâte de savoir comment tu vas réagir lorsque je vais te chatouiller la plante des pieds.
Moira mit beaucoup plus de temps à reprendre ses esprits cette fois-ci, puis elle supplia tentant de reprendre son souffle coupé.
INSPECTION DES PIEDS
- huff...hufff...hufff...je...je..vous en prie..huff ar...arretez...de me chatouiller...hufff...c’est une véritable...huufff torture...je vous en supplie...huuufff..pas les chatouilles…
- C’est atroce n’est-ce pas*? Je t’avais dit que tu ne pourrais pas t´empêcher de rire; maintenant voyons si tu crains les chatouilles sous la plante de pieds¨
A la simple évocation du mot PIEDS, Moira crût défaillir, pieds et chatouilles faisant un cocktail de mots explosif.
- Non pitié pas de chatouilles sous la plante des pieds, pas la plante, pas la plante des pieds, je vais devenir folle*; je vous en SUPPLIE, TOUT mais pas les guilis sous la plante des pieds je ne supporterai pas ça.
Moira crispa ses orteils avant même que Bertha se place derrière le poteau. Les pieds de Moira étaient d’une rare élégance*: extrêmement cambrés, relativement longs et fins, pointure 39, avec des orteils de tailles différente le deuxième étant le plus long de tous, suivi du troisième, puis du quatrième et cinquième*; les orteils étaient alignés de manière à former une espèce de pointe dirigée vers le deuxième orteil, le petit orteil étant penché contre le quatrième son extrémité arrivant au milieu de celui-ci; le coussinet était plus large que la base des orteils accentuant encore cette forme de pointe, et constitué de deux subtils mamelons séparés à leur base par le début d’un long sillon qui se prolonge le long de la voûte plantaire jusqu’à la naissance du talon*; l’un des mamelons prolongeait le gros orteil, l’autre les quatre autres*;la plante en elle-même à la peau laiteuse est donc extrêmement cambrée toute en courbes délicieuses, très fine en son centre pour s’élargir ensuite vers le talon ovale plus large*; en plus de cette extraordinaire cambrure entre le coussinet et le talon, elle est parcourue par le sillon creusé en son centre. La cambrure de la plante est telle que lorsque ses orteils sont repliés en arrière, les coussinets sont comme projetés en avant par rapport au talon tout en étant parallèle à ce dernier.
Bertha est comme captivée par l’incroyable beauté des pieds de Moira, de même que les gardiennes qui se trouvent maintenant avec elle à l’arrière du poteau. Dans cette configuration, Moira est complètement incapable de voir quoique ce soit du fait de l’immobilisation complète de sa tête. Les mains de Bertha la démangent terriblement car elle ne peut pas résister plus longtemps à l’ envie immense de chatouiller atrocement ces magnifiques plantes de pieds.
¨Tu as des plantes de pieds magnifiquement cambrées et très attirantes, c’est comme si elles suppliaient qu’on les chatouille. J’ai hâte de voir à quel point elles sont chatouilleuses¨, dit-elle la voie tremblante d’excitation et de sadisme. ¨ Mais je vais bien prendre mon temps pour me délecter de ce supplice¨
¨Nooon, noon, pitiéeee, pitiéeee, non pas sous les pieds, non je vous en supplie pas de chatouilles sous la plante des pieds, c’est horrible, c’est ….hhhhhh….hihihihi…..hihihihi…...hihihihi…...hihihihi…..arreteeeez….hihihihi….ca chaatouiillllle … hahahahaha….hahahahaha….hihihihihi...ca fait des guiliiiis….hihihihi…..¨, Moira ne pût s’empêcher de rire dès le premier contact de l’extrémité de la plume avec la peau incroyablement douce de sa plante de pied.
¨Oh mais en effet, tu es incroyablement chatouilleuse sous la plante des pieds, guili guili guili guili….guili guili guili...sous les pieds¨ répéta Berthe d’une voix très aiguë également avec un très large sourire, sa voix n’arrivant pas à masquer son incroyable excitation à la vue des mouvements du pied nu très flexible de Moira accentuant encore plus l’incroyable cambrure sous l’effet du simple contact de l’extrémité effilée de la longue plume avec la peau fine et douce de la plante des pieds.
Le rire de Moira était absolument délicieux pour les oreilles de Bertha et pour celles des gardiennes également en état d’hypnose face à cette scène de torture. Moira riait, riait, riait et riait encore et encore sous le supplice des chatouilles proféré par cette plume qu’elle essayait en vain d’éviter par des mouvements désespérés de son pied nu. Son rire était très aigu et très excitant par ses ¨...hiiihihihi...hihihi...¨ entrecoupés de silence pendant lesquels elle tentait de reprendre sa respiration. Elle semblait être dans un état second, peut-être une manière de fuir son supplice.
Puis Bertha, s’amusa à faire glisser la plume entre les orteils longs de Moira qui se figea un instant devant ce changement*; Moira prit une immense inspiration puis repris son rire légèrement plus fort et plus saccadé ¨hihihihi….hihihihi….hihihihi….hahahaha….hhaahahaha...hahaha...hiii...ca fait des chatouiiiiilles, arreteez les chatouiiiiiilles...hahahahaha….hihihihihi...je les crains … hahahaha...hihihi...pas là...hahahaha... pas de guilis guilis sous les doigts de pieds pitiéeeeee...hahahahaha….hihiihi ¨ ria-t-elle. Son rire était fort mais pas aussi fort que lorsque Bertha lui avait chatouillé le ventre avec ses ongles longs. C’est vrai que la plume, même maniée d’une main de maître reste moins efficace que des ongles longs. Bertha, voulut en avoir le cœur net.
¨Voyons comment tes pieds réagissent sous de savantes chatouilles prodiguées avec mes ongles longs¨
Aussitôt, Bertha joignit le geste à la parole, en grattouillant légèrement les orteils de Moira avec la pointe de ses ongles*: d’abord le gros orteil, puis le second sur toute sa longueur en effectuant de lents et nombreux va et viens, puis elle continua ainsi sur le troisième*; elle fouilla ensuite de ses ongles l’espace serré situé juste sous la base des quatrièmes et cinquième orteils; lors du tout premier contact du gros orteil avec les ongles longs et pointus de Bertha, Moira se remit rire, un rire qui s’amplifia à mesure que les doigts sadiques et cruels parcouraient les autres orteils, la sensation de chatouille devenat de plus en plus intense.
¨Que ces jolis orteils peuvent être chatouilleux sous les ongles longs...¨ dit Bertha, avant d’ajouter de délicieux ¨...guili guili guili...ca chatouille non*? mes ongles te chatouillent*horriblement les doigts de pieds n’est-ce pas ? Guili guili guili...¨
Moira réussissait un peu à résister en tentant de coincer les ongles vicieux avec ses orteils qu’elle crispait tellement qu’elle arrivait à bloquer la circulation sanguine, les orteils devenant encore plus blancs que leur couleur naturelle. Grâce à cela, les rires de Moira diminuèrent légèrement en intensité, ce que ne manqua pas de remarquer Bertha.
Celle-ci décida alors de changer de technique en passant très délicatement son index le long du délicieux sillon situé au milieu de la plante du pied nu sans défense de Moira, en disant ¨Ah, tu essaies de protéger tes orteils. Mais là tu ne peux absolument rien faire pour m’en empêcher. ¨
Au contact des ongles, Moira fût saisie d’un immense frisson qui lui parcourût tout le corps de la plante du pied jusqu’à sa tête fixée au poteau. Ses yeux s’ouvrirent en grand, elle se figea un instant, devint rouge, crispa sa mâchoire, puis émit un longs gémissement, une complainte à peine audible dans sa bouche fermée crispée, puis elle ouvrit la bouche en grand n’arrivant plus à empêcher l’irrésistible envie de rire qui lui montait du plus profond de son ventre. Un immense ¨Bouuuuuuuuaaaaaahh..aahahah… AAAAAAHAHAHAHA… HAHAHAHA… HHAHAHA… HAAHAHAHAHA… HAHAHAHA… HAHAHAHA... ¨ ininterrompu précédé d’une très longue inspiration sonore par le nez envahit la pièce, rire amplifié par l’écho des murs et du plafond bas du parloir médiéval faisant sursauter Bertha et les gardiennes. Le rire était si fort, qu’il pouvait être entendu jusque dans la salle du trône de la Reine pourtant situé de nombreux étages plus haut, ainsi que pratiquement dans tout le donjon. Les gardiennes et Bertha ne purent s’empêcher de sourire en entendant ce hurlement de rire très contagieux.
Bertha amplifia encore l’horrible supplice en promenant délicatement les ongles longs de son index et de son majeur de ses deux mains sur toute la surface des deux plantes de pieds nues de Moira simultanément, les longs doigts fins se promenant tels les jambes d’un petit cheval du talon vers la base des orteils, dans un sens, dans un autre, sur les bords charnus, sur le coussinets, puis de nouveau dans le creux très profond de la plante. Bertha, un immense sourire sadique aux lèvres, ne pût résister à l’envie de répéter de délicieux ¨guili guili guili...guili guili guili...¨ d’une voix tremblante d’excitation, ¨guilis¨ qui bientôt emplirent toute la pièce accompagnant les hurlements de rire de Moira. Ces ¨guilis guilis¨ répétés arrivant aux oreilles de Moira multipliaient encore l’intensité du supplice car ils éloignaient à ses yeux tout espoir de répit. Moira était au bord de l’agonie*: malgré l’anneau enserrant son cou et la lanière serrant son front au poteau, sa tête effectuait de légers va-et-viens de bas en haut, faisant bouger les sourcils vers le haut et vers le bas, plissant et déplissant la peau de son front, ce qui, couplé au visage hilare avec sa bouche grande ouverte, dessinait sur le visage de Moira des grimaces improbables telles des expressions théâtrales fortement exagérées*; ainsi, le haut du visage suggérait parfois la surprise, parfois le dégoût, parfois la peur ou l’angoisse, parfois une joie intense, parfois des pleurs, tandis que le bas du visage était lui toujours figé dans une infinie tranche de rire incroyablement puissant dévoilant sans pudeur toutes ses dents et sa langue. De la bave s’écoulait de chaque côté de ses lèvres, de la salive était expulsée de sa bouche grande ouverte et des larmes inondaient son visage hilare.
Malgré le terrible état dans lequel se trouvait Moira sous l’effet de cet atroce supplice des chatouilles, la cruelle Bertha continua encore à la torturer en grattouillant cette fois-ci les surfaces horriblement chatouilleuses des deux plantes de pieds nues exposées en utilisant les longs ongles de tous ses doigts longs, fins et experts dans l’art des chatouilles. C’en était trop pour Moira, qui avait déjà atteint ses limites depuis longtemps. Les mouvements de son corps vissé au solide poteau étaient tels que ce dernier se mit à bouger très légèrement malgré la taille importante de sa section. Une des gardienne suggéra gentiment à Bertha d’arrêter le supplice car elle avait peur pour la santé de Moira. Bertha comprit et arrêta sur le champs le mouvement de ses doigts.
Malgré cet arrêt, Moira continua à rire de longues minutes avec une intensité décroissante, rires entrecoupés de tentatives de reprises de respiration, et parfois de sanglots. A la fin, Moira ressentait des douleurs en de nombreux endroits*: dans ses abdominaux à cause de ses rires incessants, ainsi qu’aux différentes parties rougies de son corps fixées au poteau (poignets, coudes, front, bassin, genoux et chevilles).
Lorsque Moira finit par reprendre son souffle, épuisée, elle balbutia quelques mots à peine compréhensibles ¨Arrêtez le supplice des chatouilles, je vous en supplie, je vous en supplie, je , je, je n’en peux plus, c’est insupportable, pas les guilis, je vous en SUPPLIE...¨
- Bien, je pense que nous en avons terminé avec le chevalet d’inspection. J’ai donc noté que tu étais particulièrement chatouilleuse sous la plante des pieds, puis avec presque autant de sensibilité sur le ventre, et enfin à égalité sur le visage et sous les aisselles. Je te laisse imaginer ce que tu ressentirais si tu étais chatouillée en ces divers endroits simultanément. Mais je suis sûre que tu auras avoué bien avant cela. Toutefois, sache qu’une fois que tu auras avoué, la Reine décidera de ton sort; et, la connaissant, pour te punir, je parie qu’elle se fera un malin plaisir de te faire subir encore et encore le supplice des chatouilles...¨ expliqua la très cruelle Bertha.
¨Tu sais, elle et moi, nous avons beaucoup d’imagination en ce qui concerne cet abominablement délicieux supplice. Certaines victimes particulièrement sensibles ont ainsi été chatouillées une journée entière sous leurs points les plus sensibles. Nous avons également des appareils dédiés aux chatouilles pour une seule partie du corps*: par exemple, le ventre*; la victime est enfermée dans un carcan, complètement hermétique, laissant uniquement paraître son ventre nu vers l’extérieur par un large trou échancré*; son ventre est maintenu contre ce trou grâce à un morceau de bois situé derrière son dos et fixé au fond de la boîte. Sache que la Reine apprécie particulièrement cet appareil de torture, car elle adore chatouiller le ventre avec ses ongles, et qu’elle l’utilise parfois dans différentes salles du château comme un amusement public ou bien en privé dans sa propre chambre. Une fois, elle s’en est servie comme ¨avertisseur d’entrée¨*: elle avait fait installer dans cette boite verticalement une pauvre victime évidemment très chatouilleuse sur le ventre, la boite étant située à l’entrée d’une de ses salles de réception, et elle avait fixé un écriteau près de la boite indiquant ¨Chatouillez avant d’entrer*!¨. Ainsi la présence d’invités à la porte de la Reine étaient-elle annoncée par les rires parfois hystériques de la pauvre victime. Je pense que tu n’y échapperas pas. Bien, sur ce je te laisse à tes pensées, car je vais faire mon rapport sur toi à La Reine. Gardes*! Détache-là, et emmenez là dans sa cellule.¨
LE DÉBUT DE L’INTERROGATOIRE*: LES AISSELLES
La Reine était assise dans la salle stratégique en compagnie de Catherina sa confidente, Sophia la chef de la milice, d’Augusta la chef des armées et de Helga la responsable chef des gardiennes, lorsque la porte s’ouvrit, laissant entrer Bertha.
¨Alors comment cela se passe-t-il ma chère Bertha*? Notre espionne a-t-elle parlé*?, s’enquit la Reine dès l’apparition de Bertha.
- Pas encore, Madame La Reine, mais croyez-moi elle parlera. J’ai rarement vu une fille aussi chatouilleuse. Je peux vous garantir qu’elle ne résistera pas longtemps au supplice des chatouilles et qu’elle finira par tout avouer.
- En effet, nous avons pu entendre quelques éclats de rire visiblement forcés monter depuis les bas-fonds des cachots¨, confirma en riant la Reine, accompagné du rire de toutes les autres femmes autour de la table qui ainsi confirmèrent à leur tour qu’elles les avaient également entendus.
- Et dites-moi où est-elle la plus chatouilleuse¨, s’enquit la Reine
- Sous la plante des pieds Madame La Reine¨, répondit Bertha en détachant bien les syllabes, ce qui fit rougir de plaisir Catherina qui avait un faible pour les pieds féminins, surtout les plantes.
- Ensuite vient juste derrière le ventre¨, continua Bertha, ce qui fit sourire La Reine
- Et enfin, les aisselles, même si je n’ai pas testé mes ongles dessus¨, termina Bertha
- Très bien. Je veux donc qu’elle subisse un interrogatoire par supplice des chatouilles. Il faut y aller progressivement*; commencez par les aisselles*; puis le ventre puis la plante des pieds*; je veux à la fois faire parler cette espionne tout en la faisant souffrir.
- Bien Madame La Reine, répondit Bertha en souriante
- Mettez là donc dans le carcan aux aisselles. Je vous accompagne avec Catherina pour lui poser moi-même les questions. Les autres vous pouvez venir si vous le souhaitez. En route¨ finit la Reine.
Tout le monde autour de la table fût intéressé, donc naturellement tout le monde accompagna la Reine et Bertha vers les cachots du donjon.
Arrivées dans les sous-sols les plus profonds du donjon, la petite assemblée se rassembla devant la cellule dans laquelle Moira avait été enfermée. C’était une petite pièce froide et humide, munie d’un semblant de lit en bois, sans aucune fenêtre et munie de barreaux métallique en guise de porte. A la vue de La Reine, Moira se mit a trembler de peur, intimidée également par le monde qui l’accompagnait. Catherina, grande rousse aux yeux verts, presque aussi grande que la Reine, souris à Moira. Augusta, la fière chef des Armée, brune aux yeux noirs de braise et aux cheveux mi-longs, coiffée d’un casque antique avec une crête en crin, la dévisagea. Helga, blonde aux yeux bleus, également coiffée d’un casque militaire, observait Moira avec une certaine excitation dans le regard.
- ¨Alors, tu as eu un avant-goût de ce qui t’attend je crois¨ commença La Reine en s’adressant à Moira, à travers les barreaux de la cellule. ¨Et j’ai cru comprendre que ça t’a beaucoup amusée¨, continua-t-elle, accompagnée du rire de l’assemblée.
- ¨Non, non pitié, laissez-moi tranquille, laissez-moi repartir, je n’ai rien fait*!¨, répondit une Moira apeurée.
- Je te laisse une chance de tout avouer, là maintenant. Je vais faire tourner ce sablier. Si tu n’as pas parlé avant qu’il ait terminé de s’écouler, tu seras interrogée par supplice des chatouilles.
- Non*! pas les chatouilles*! Pitié*! Je les crains ! Je vous en SUPPLIE*! Vous allez me rendre folle*! Pitié, Madame La Reine, tout mais pas les chatouilles…
- Alors parles*!, ordonna La Reine
Moira était face à un dilemme*: tout avouer maintenant et éviter le supplice des chatouilles, mais trahir son pays et ses complices*; ou bien subir l’horrible supplice qui la mettrait à l’agonie. Après réflexion sous ce terrible choix, elle décida de ne pas parler, car elle se rappela des paroles de Bertha qui avait expliqué que la Reine devait de toutes façons la punir une fois interrogée. Elle n’avait donc d’autre choix que de se taire en subissant la torture.
- ¨ On dirait que le sablier s’est vidé de son dernier grain de sable. Alors toujours muette*?¨, demanda la Reine à Moira
- ¨ Je ne dirais rien¨, répondit Moira d’un air de défi, très différent de ses supplications précédentes.
- ¨ C’est ce que nous verrons. Gardes emmenez-là dans la salle d’interrogatoire, et enfermez-là dans le carcan aux aisselles¨, aboya La Reine à l’attention des gardes.
Moira fût emmenée dans une des pièces voisines de la salle dans laquelle elle avait subi les test de sensibilité. La pièce était ici plus grande avec de nombreux appareils de torture tous plus étranges les uns que les autres.
Ses deux poignets furent dans un premier temps liés ensemble. Puis relevés au dessus de sa tête, et enfin ramenés derrière son dos, les bras vers le haut et ses avant bras vers le bas, avec donc les coudes fortement pliés. Les coudes furent ensuite attachés très fortement ensembles, sa tête forcée en avant des bras et avant-bras. Les poignets furent attachés à une corde qui fût attachée entre ses jambes et autour de son bassin de sorte qu’elle ne pouvait plus bouger du tout les bras, et laissant ses aisselles nues complètement sans défense, avec une impression de ridicule car ses 2 bras entourant sa tête ressemblaient à de très grandes oreilles. Ensuite, son corps fût enfermé partiellement dans la boîte, laissant seulement apparaître le haut de son torse depuis la base de ses seins. Ses coudes furent ensuite attachés à un poteau fixé à l’arrière de la boite, ce qui dégageait encore plus l’accès à ses aisselles, et tiraient par la même occasion sur ses coudes. Enfin, une autre boite fut fixée autour de sa tête avec un trou laissant apparaître seulement son visage, le pourtour de son visage affleurant le bord du trou. Cette ¨boite de tête¨, se prolongeait plus bas de manière à couvrir ses seins. Au final, les seules parties visibles du corps de Moira étaient ses bras, ses aisselles nues et son visage. Elle n’avait absolument aucune possibilité de bouger ni de protéger ses aisselles. Il y avait un petit côté drôle et ridicule à cet accoutrement.
¨Bien, bien, bien!¨, chanta presque La Reine. ¨Voilà de magnifiques aisselles complètement sans défense. Oh mais regardez-moi comme elles sont creusées, on dirait des petites grottes. Et quelle peau délicate. Je suis sûre qu’elles sont très très sensibles aux chatouilles. Alors tu ne veux toujours pas parler?¨
Face au mutisme de Moira, La Reine poursuivit*:
¨Bertha*? Faites comprendre à cette espionne qu’elle a tout intérêt à parler¨.
Sur ces mots, Bertha s’approcha de la tête de Moira, la fixa droit dans les yeux, et fit bouger ses doigts dans tous les sens face à son visage, tels de longues pattes d’araignées en train de tisser leur toile. Lors du contact des ongles avec la peau très délicate des bras de Moira, celle-ci fût parcourue d’un immense frisson.
¨Tu crains les chatouilles là ?¨, demanda Bertha avec un large sourire.
Bertha fit effectuer une petite ¨marche¨ à ses index et majeurs depuis le coude jusqu’au bord des aisselles, puis en sens inverse plusieurs fois très très lentement. Moira réussit à résister à l’envie de rire qui commençait à la secouer, en plissant des yeux, remontant ses joues dans un sourire grandissant. Puis un gémissement se fit entendre à travers ses lèvres fermées.
¨Oh*? Qu’est-ce que j’ai entendu?¨ demanda Bertha, ¨Je sens que tu ne vas pas tarder à rire¨
Après une dernière descente du coude vers les bords supérieurs des aisselles, elle continua sa ¨route¨ dans les immenses creux d’aisselles offerts sans défense, en accélérant le rythme des chatouilles avec les index et majeurs tels les petites jambes de chevaux au galop. A ces sensations, le gémissement émis par Moira se fit de plus en plus fort et aigu, puis une bulle de bave se forma entre ses lèvres fermées.
¨...guili guili guili guili...guili guili guili guili¨ ajouta simplement Bertha tout en accélérant le rythme des chatouilles du bout des ongles dans les creux doux et lisses des aisselles nues.
A ces mots, le gémissement de Moira se transforma en rire ¨...hhhhh… hihihihi…. hiiiiihihi… hihi…. hihihihi…. ca...haha...caa..chaatouiiiille...hihihi….ca fait des guilis sous les braaas… hihihihi...pas sous les braaaas...hahahaha...hihihihi...¨.
La vue de ce visage déformé par le rire, coincé et entouré par cette planche de bois et par les deux creux des aisselles nues sans défense en train de se faire chatouiller avait un côté risible, très surprenant, presque ridicule et hypnotique. Cette scène improbable, ajoutée au rire sur-aigu de Moira tout en délicieux ¨...hihihihi...¨ en écho aux ¨guilis guilis¨ également très aigus et délicieux de Bertha, commençait à sérieusement exciter les femmes de l’assistance, qui ne purent s’empêcher de sourire de plaisir, tout en imaginant l’infernal supplice que cela devait représenter pour la pauvre Moira.
- Bien, très bien, continuez, continuez comme cela Bertha, je veux voir cette espionne hurler de rire.
Bertha fouilla le creux des aisselles nues en utilisant tous ses ongles longs tels des coureurs qui galopaient galopaient galopaient, arrachant instantanément un épouvantable cri de la bouche de Moira qui se mit à hurler de rire sous l’atroce sensation de chatouilles.
Ce cri suivi du rire intense, pris par surprise tous les témoins de la scène, qui écarquillèrent les yeux et ouvrirent la bouche en cul-de-poule. Même La Reine fût étonnée par une telle réaction. Mais elle repris vite ses émotions, et s’adressa à Moira en étant obligée à forcer la voix pendant que Moira se tordait de rire*:
¨Si tu veux que Bertha arrête de te faire des chatouilles sous les bras, il te suffit de parler. J’imagine que ce supplice doit être insupportable pour toi tellement tu es chatouilleuse. Alors parles et tout ceci sera terminé¨
Mais hélas, tout ce que pouvait faire Moira était rire, rire, rire et rire encore et encore, rien ne semblant pouvoir l’arrêter. Dans ce concert de rires, elle tenta de balbutier des supplications incompréhensibles tout en bavouillant, de la bave coulant abondamment de la commissure des lèvres, son visage inondé de larmes ¨….ouuuuuaaaahh… AHAHAHAHA… HAHAHAHAHAHA… .HIHIII...hihihihi… HAHAHAHA....HAHAHAHAHA… HHAHAHA…. ca chaaaa...touillleee.. hahahaha….. hahahaha .arreteez les chaaaTOUILLES… hahahaha… arrêtez les chaaatouiilllleee .. paas hahaha caaa ...hahahaha…. paaaas les guilis hihihiihih.. arrêtez les guilis…guilis...hihihi….hahahaha...je vais.. paaarleer… je vais hahahaha...hahaha...HAHAHAHAHAHAHAHAHAHAH….PAARLEEEEEER..HEHEHE...hahahaha¨
- Stop!¨, ordonna La Reine à Bertha
Aussitôt, Bertha interrompit le supplice en retirant ses longs ongles des creux des aisselles nues.
Pourtant Moira continuait de rire, mais son rire diminua petit à petit puis elle repris son souffle ¨...huff...huff..haha..huffhuff...hahaha….hihi...huff..hiiii...hufhuf...arrêtez les chatouilles...huff..huff...haha...¨
- Alors, parles, sinon je demande à Bertha de te chatouiller sans s’arrêter pendant 10 longues minutes.
- Je...hihi..je vais parler, mais arrêtez de me faire des chatouilles
- Nous t’écoutons. Tout d’abord, comment t’appelles-tu
- Moi...hihi...Moira...je, je ne ...hihi, je ne peux pas m’empêcher de riiire..hihi..vous m’avez trop chatouillée..haha
- C’est les nerfs qui lâchent, c’est normal. Quel est ton activité au sein du château*?
- Je..hihi...je suis au courrier..huff
- Au courrier*? Tu avais donc un accès à certaines de mes lettres..
- Et pour qui travailles-tu*?
- Je .. je ne peux pas vous le diiire...hihihi…je vous en prieee..
- Ah non*? Veux-tu que je demande à Bertha de recommencer à te chatouiller sous les bras*?
- Nooonn*! Nooon*! Nooon*! Pitié*! Pitié*! Pitié*! Arretez*! Pas les guilis*! Pas les guilis..*! Pas ca*! Pas les chatouilles*! Pas les chaTOUILLES*! PAS LES CHATOUILLES*! PAS SOUS LES BRAS*! Se mit à crier de plus en plus fort Moira de plus en plus paniquée à mesure que Bertha approchait en les remuant ses longs ongles de ses aisselles lisses nues complètement sans défense, sans toutefois les toucher.
- Je..je...je travaille pour La Reine Helena du Royaume des Atalantes
- Je m’en doutais. Et as-tu des complices*?
- Non*! Non*! Je vous jure que je n’ai pas de complices.
- Je suis sûre du contraire*! Bertha, chatouillez là encore*!
- Pitié*! Pitié*! BuuuuuUUUAAAAHAHAHAHA*! HHHHAHAHAHA*! Hahahaha, ...HAHAHH... HAHAHHHA... HAHAHAHAHAAAA.... AAAAHAHAHAHAHA¨ hurla Moira sous les horribles guilis prodigués par les longs ongles fouillant, refouillant absolument partout les moindres recoins des aisselles creusées de Moira à la recherche des endroits les plus abominablement chatouilleux.
C’en était trop pour Moira, qui soudain...s’évanouit*!
L’INTERROGATOIRE*: LE VISAGE
L’arrêt soudain des rires de Moira, la fermeture de ses yeux et de sa bouche, au final, son évanouissement surprirent toute l’assemblée. Bertha, éloigna ses ongles des aisselles de Moira, une expression de surprise dominant maintenant son visage.
¨Je crois que nous sommes allés trop loin¨, dit-elle, ¨cette espionne est décidément hyper chatouilleuse y compris sous les aisselles. Je ne l’avais pas anticipé à ce point. C’est de ma faute, car lors du test, je n’avais utilisé que la plume. Je vais la réveiller. Gardes*: apportez-moi des sels*!¨
Une des gardiennes quitta la pièce à la recherche des sels demandés.
Pendant ce temps, la Reine, après avoir repris ses esprits s’adressa à Bertha*:
¨Lorsqu’elle sera réveillée, il faudra recommencer le supplice mais s’arrêter juste avant qu’elle ne perde connaissance. Je veux qu’une des gardes la surveille en permanence et n’hésite pas à dire stop en cas de besoin. Je ne tiens pas ni à perdre du temps à la réveiller, ni à perdre tout court cette indéniable source d’information.¨
Puis, s’adressant à une des gardiennes, ¨Toi*! Comment t’appelles-tu*? ¨
¨Diane, Madame La Reine¨
¨Très bien, Diane. Tu surveilleras la prisonnière pendant son interrogatoire. Et gare à toi si elle s’évanouit à nouveau*! Mais je ne veux pas non plus t’entendre crier stop à tout va. Tout est question de dosage*!¨, ajouta Le Reine avec un sourire sadique.
¨Que comptez-vous faire maintenant Madame La Reine?¨ demanda Bertha
¨Je veux qu’elle subisse le supplice des chatouilles sur le visage. Je veux qu’elle supplie, qu’elle rie et qu’elle pleure à la fois. Je sais que ce supplice peut-être absolument abominable¨
¨Bien Madame La Reine. Vous ne serez pas déçue.¨
Et voyant la gardienne revenir avec les sels elle ajouta ¨Ah*! Voilà les sels!¨
Bertha saisi le bloc nauséabond et l’approcha du nez de Moira toujours évanouie. A l’odeur pestilentielle dégagée par ces sels, celle-ci ne tarda pas à faire la grimace puis à se réveiller.
¨Alors*! On s’était endormie?¨ lança Bertha à l’attention de Moira
¨...que...que se..où suis-je..non..non..laissez moi tranquille … laissez moi partir...je...j ne peux pas bouger, je vous en prie¨, balbutia Moira tout en reprenant ses esprits
¨Te voilà à nouveau prête. Je te laisse encore une chance de parler. Je vais tourner ce sablier, et si tu ne parles pas avant qu’il n’ait fini de s’écouler, tu subiras à nouveau le supplice des chatouilles. Mais sur le visage cette-fois. Alors, parles!¨, explique La Reine juste avant de tourner le sablier.
¨Je vous en prie*! Non*! pas ça pas ça*! C’est horrible*! Je ne peux rien vous dire car je ne sais rien. Je n’ai pas de complice et...¨
¨Stop*! Arrêtes de nous raconter n’importe quoi!¨, dit La Reine. ¨Encore quelques temps de réflexion et puis...guili guili!¨
Elle mit le sablier juste en face des yeux de Moira qui devait loucher pour pouvoir l’observer. A la fin de son écoulement, elle ne pût s’empêcher de dire ¨Nooon! Pas ça pas ça, je vous en supplie ayez pitié!¨
Mais bientôt, Bertha s’empara de la longue plume blanche à la pointe effilée et la fit passer devant les yeux de Moira qui la suivait des yeux comme hypnotisée par son mouvement de va-et-viens dans l’air. La scène était plutôt cocasse, car sa tête étant enfermée et bloquée dans cette ¨boîte de tête¨ seuls ses yeux tournaient dans leurs orbites, parfois à l’extrême, laissant apparaître une large partie du blanc. La panique grandissante pouvait se lire sur son visage. Elle commença à respirer de plus en plus vite, le souffle de plus en plus court. Ses joues commençaient à rosir. Les femmes de l’assistance acquiesçaient un léger sourire devant cette scène irréaliste et presque burlesque montrant un visage et surtout des yeux bien vivants, isolés et coincés au milieu d’une planche de bois morte et inerte.
Puis, l’immanquable se produisit*: la pointe de la plume entra en contact avec le bord de la lèvre du côté droit juste au niveau de la commissure. Ce premier contact fît légèrement tressaillir Moira, et sa lèvre, par pur réflexe, se contracta en un léger sourire asymétrique, avant de revenir aussi vite à son point de départ. Moira maintenait les dents serrées, résolue à résister le plus longtemps possible. La plume poursuivit sa lente route sadique le long de la joue droite, avant de redescendre lentement vers le menton, puis sous le menton*; elle remonta ensuite vers la joue gauche puis rejoignit la commissure de la lèvre gauche, qui elle aussi se contracta/décontracta par pur réflexe.
Le rythme de la respiration de Moira augmentait*; et comme elle respirait par le nez, le passage de l’air inspiré et expiré se faisait de plus en plus bruyant. Bertha, insista avec la pointe effilée de la plume sur la commissure des lèvres en effectuant de très légers va-et-viens. La respiration de Moira s’accéléra, la tête devint de plus en plus rouge, et surtout la joue droite était sujette à des tressaillements incontrôlables de plus en plus violents. Le visage de Moira se mit à trembler*comme si elle grelottait de froid en claquant des dents; Moira gardait les dents très serrées, entraînant une douleur de plus en plus intense des muscles de sa mâchoire.
¨ Alors que penses-tu de mes petites taquineries? Tu ne parles toujours pas*? ¨ demanda une Bertha de plus en plus excitée
Le visage de Moira semblait subir une pression interne croissante, comme une cocotte minute qui lentement monte en ébullition. La plume continua sur tout le pourtour des lèvres serrées, procurant à Moira une infernale démangeaison. Le tremblement de son visage se fit de plus en plus fort. Le rougissement de ses joues aussi..
Puis un sourire incontrôlable se dessina progressivement sur son visage tandis que l’air entrant et sortant de son nez pinçait et élargissait de manière successive les bords de ses narines. Bientôt, ses yeux se plissèrent en un rictus et un immense sourire couvrait presque toute la largeur de son visage. Moira était au bord de l’explosion de rire, juste sous l’effet de cette plume infernale qui chatouillait ses lèvres.
Bertha insista, insista le mouvement de va-et-viens de la plume sur les lèvres et décida d’ajouter de délicieux et très aigus ¨guili guili¨. A ces mots, Moira avait plus de mal à résister et, elle se mit à gémir puis à pousser de petits rires très aigus¨...hihihi...hihihi¨ en écho aux*¨guili guili¨ proférés par Bertha. L’assistance restait hypnotisée par cet ¨échange verbal¨, et par ce visage hilare qui semblait sortir de nulle part. Les rires sur-aigus se firent de plus en plus intenses ¨..hihihi...hihihi…. hihihi… hihihi….¨
Soudain, Bertha, décida de faire pénétrer la longue plume dans une des narines de Moira jusqu’au fond puis de la faire tourner sur elle même. C’était la goutte d’eau qui fit déborder le vase de Moira qui explosa de rire, un rire d’une violence inouïe, ¨UUUUUUAAAAAHHAAAAAH… HAAAAHA… HAHAHAHA… UUUUUUHAHAHAHAHA… AHAHAHAHAHA… UUUAHAHAHAHAHA… AAAHHHH… AAAAHAHAHAHA… hiiiihihihi… hhahahaha… hihihihihihihihihihi… hahahahahahahahahahahahahahahahaha...¨, la longue plume effilée tournoyant dans sa narine lui procurant un chatouillement absolument IN-SUP-POR-TABLE.
Bertha ne s’arrêta pas pour autant et poursuivit le supplice de la plume dans la narine en lui faisant faire des mouvements de va-et-viens en plus des tournoiements, enfonçant la plume de plus en plus profondément jusqu’au fond de celle-ci. Moira riait, riait, riait, sans cesse, sous l’infernale démangeaison*; son visage était couvert de larmes abondantes, sa bouche était grande ouverte dévoilant toutes ses dents, sa gorge, sa langue et sa luette. Quand soudain Bertha s’arrêta.
Moira continuait malgré tout à rire, d’un rire nerveux, toutes ses joues tremblantes, de la bave coulant de sa bouche couvrant tout son menton.
Tout en lui laissant un peu de répit, Bertha ouvrit des trappes secrètes situées de chaque côté de la ¨boîte de tête¨, dévoilant ainsi les deux oreilles et le cou de Moira.
Moira crût comprendre ce qui allait se passer, car elle pouvait maintenant beaucoup mieux entendre les sons de la salle de torture.
¨Catherina, voulez-vous m’aider? Placez-vous derrière sa tête, et chatouillez-lui ses deux oreilles avec vos ongles longs, comme vous savez si bien le faire sur la plante des pieds¨, demanda Bertha à Catherina qui ne se fit pas prier deux fois devant une telle occasion.
Après s’être positionnée derrière la boîte de tête, Catherina approcha les ongles immenses de ses index et majeurs des oreilles nues de Moira*; elle les frôla ce qui produisit un immense frisson le long de la colonne vertébrale de Moira, puis elle parcourut délicatement et simultanément les pourtours des deux oreilles obligeant Moira à plisser les yeux, à sourire et à émettre un long gémissement à la limite entre pleurs et rire.
Catherina, fort excitée, ne pût s’empêcher d’exciter verbalement la pauvre Moira au supplice ¨Alors, ca chatouille*? ca fait des guilis guilis*? ¨ tout en souriant et en parcourant toute la surface complexe des oreilles, ainsi que son pourtour très chatouilleux, et l’arrière également très sensible.
Au même moment, Bertha, s’empara de deux plumes et les enfonça très profondément dans les deux narines de Moira et les fît tourner, tout en lui répetant ¨guili guili guili guili….guili guili guili guili...¨ C’en était trop pour Moira qui se mit à hurler de rire jusqu’à s´étouffer, suivi d’un long silence pendant lequel elle continait à rire mais sans bruit car elle manquait d’air, puis une reprise très rapide de respiration, puis à nouveau un immense rire suivi d’un rire silencieux, puis une reprise de respiration très courte et puis parfois un énorme cri incontrôlable lorsque Catherina chatouillait un endroit particulièrement sensible avec ses longs ongles, ou que l’une des plumes touchait le fond de ses narines.
Les rires et les cris incessants de Moira se muèrent progressivement en pleurs. Moira se mit à pleurer à chaudes larmes sous l’infernale démangeaison de la plume dans ses narines et l’effroyable supplice des chatouilles de ses oreilles procuré par ces ongles longs et fins. Ses sourcils frémissaient, tremblaient dans une expression de grande détresse, avec leur centre plus haut que les bords.
Dans sa folle excitation, Catherina lui chatouilla le cou en y faisant galoper galoper galoper les longs ongles de tous ses doigts longs et fins ce qui fit exploser de rire une fois de plus Moira au beau milieu de ses pleurs tout en lui générant un immense frisson*; cela fît rire Catherina qui, ivre d’excitation, continuait à lui susurrer ¨guiiiiili guili guili guili...¨ d’une voix de plus en plus grave sur trois tons, phrase qu’elle répétait sans cesse en repartant dans les aigus sur le premier ¨guili¨ de la phrase...tout en lui chatouillant atrocement le cou et la nuque.
La gardienne Diane intervint et demanda immédiatement l’arrêt du supplice des chatouilles car elle crût percevoir un voile dans les yeux de Moira qui soudain fixait le vide d’un air absent tandis que sa respiration se coupait, un large sourire sur ses lèvres, la bouche grande ouverte, la bave coulant de sa bouche sur la planche de bois.
Aussitôt, les deux tortionnaires arrêtèrent de la torturer.
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