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La Transformation (Part I à IV)

tickleuse

TMF Poster
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Aug 11, 2005
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LA TRANSFORMATION.

Part I.
Marc montait les marches de l’escalier quatre à quatre.
Il avait beau approcher de la quarantaine, sans être un sportif assidu, il prenait soin de son corps et conservait encore un bon souffle.

Il était assez grand et bien proportionné.
Ses cheveux courts mais drus commençaient déjà à devenir « poivre et sel », mais la gente féminine lui certifiait que cela le rendait encore plus charmant.
Bref, Marc était un bel homme.

Justement, les femmes. Un vaste sujet qui le rendait aux files des années de plus en plus perplexe.
Bien sur il y eu les « amours de sa vie » et de nombreuses aventures ; mais à prêt de 40 ans, il devait s’avouer qu’il était toujours seul et sans avoir trouver la perle rare.
Il demandait trop. Il le sait. Mais il a une passion qui le dévore. Et cette passion est soit incomprise, soit tolérée mais jamais partagée.

Marc arrive enfin au palier où se trouve son appartement. Et là, son visage se décompose.
Sa porte d’entrée a été forcée. Une partie du montant est arrachée et la poignée pend tristement vers le bas.
Il se précipite chez lui. Et il ne comprend plus. Rien n’a été bougé, rien ne fut fouillé, rien ne fut cassé.
Marc travaille au Muséum d’Histoire Naturelle de Paris. C’est un passionné d’Histoire et d’Art.
De nombreux objets avaient une grande valeur ou même avaient juste une valeur sentimentale. Et rien ne manquait.

Enfin si, en fin de compte, une seule chose manquait : son ordinateur.

Curieux vol. Son ordinateur était banal. Il ne travaille pas sur des sujets sensibles pouvant intéresser des concurrents.
Une seule chose l’ennui dans ce vol : sans tenir un véritable journal, il avait créé un fichier ne traitant que de sa passion. Ce fichier comportait des photos, des dessins, ses commentaires, il y avait retranscrit ses expériences et ses fantasmes.

LES CHATOUILLES… Sa grande passion qui lui fut révélée déjà dès sa plus tendre enfance.
Il était incapable de l’expliquer.
En vieillissant, elle devenait plus ciblée.
Il était surtout attiré comme un aimant par les chatouilles appliquées comme une torture.
Pour lui, le plus terrible des supplices.
La moindre photo ou dessin d’une femme attachée à une table de torture ou un chevalet, entourée de son ou ses bourreaux, attentifs à ses hurlements et réactions de son corps, fut toujours un régal pour ses yeux et sa libido.
Il tenta plusieurs fois de réaliser ses rêves avec certaines de ses maîtresses, mais souvent sans grand succès.

Enfin la vie continue, et il se décida à aller porter plainte à la police sans grande conviction.
Depuis, plusieurs semaines sont passées, et le vol fut vite oublié. Jusqu’au jour où…



PART II.

Marc devait se rendre à Munich ce jour pour assiter à une vente aux enchères d’objets Néolithiques.
Il avait l’aval du Muséum et un certain budget à respecter pour cette vente.

Il descendis en bas de chez lui et appela un taxi. Chose étonnante, pour une fois, un taxi s’arrêta immédiatement prêt de lui.

Le taxi l’amusa. Son propriétaire avait du l’acheter en Grande Bretagne. Il était comme ceux de Londres mais avec quelques modifications.
La conduite était bien sur passée à gauche, toutes les glaces arrières étaient teintées et une vitre séparait le conducteur du passager.

Il monta, donna sa destination pour l’aéroport de Roissy et commença à apprécier le confort de ce véhicule en contemplant le spectacle des rues de Paris.

Soudain, il sentit une légère odeur envahir l’habitacle arrière du véhicule accompagné d’un bruit semblable à du gaz qui s’échappe. Sa vue se brouilla et ce fut vite la descente dans un puit sans fond.
Il s’évanouie.



PART III

Marc se réveilla brutalement en sursaut, comme sorti d’un cauchemar.
La première chose qu’il ressentit fut la chaleur.
Lorsque sa vue fut plus claire, il vit un plafond voûté en pierres. On devinait des arches plus loin. La lumière de la pièce était douce et mouvante.

Il voulu bouger et là stupeur : on l’avait attaché. Pas vraiment attaché mais plutôt soudé à une table.
Il paniqua, continua à se débattre, mais rien ne bougea plus.
Il cria au secours pour qu’on le libère. Rien.
Il était seul et totalement immobile.

Il se força à se calmer. Sa respiration redevint plus régulière et il commença à réaliser sa situation.
Il était sur une table en forme de Y inversé.
Ses jambes étaient écartées et bloquées à chacun des prolongements de ce Y par de solides sangles en cuir aux niveaux des chevilles et au dessus des genoux.
Ses mains étaient aux dessus de sa tête. Mais autant que le bas de son corps était dans une position « confortable », que pour le haut du corps il subissait une traction.
On lui avait étiré les bras le long de la table. La tension était supportable mais le solidarisait totalement à la table. Cet étirement rendait son torse complètement immobile, son ventre se creusait un peu et faisait saillir ses côtes.
Il était presque nu. On ne lui avait laissé que son sous-vêtement : un boxer.

Il avait chaud. Très chaud. Il tourna la tête. Il vit une magnifique cheminée dans le fonds de la salle.
Elle fonctionnait à plein régime, diffusant sa chaleur comme pour lutter contre une journée hivernale qui n’existait pas.
A la lumière de ce feu, il vit d’autres tables et des chevalets. Tous portaient des sangles, cordes, ferres et chaînes.
Une boule d’angoisse contracta son estomac.
Il était dans une salle de torture !
Son fantasme !
A part qu’il était la victime.
Mais bon, qui pouvait savoir cela ? et surtout la passion qui allait avec cet environnement.
Et là, il n’était pas en position d’apprécier le spectacle, il avait bien trop peur.

Il tourna son visage de l’autre côté cette fois.
Et ce qu’il découvrit le laissa sans voix.
A une bonne dizaine de mètres de lui, une seconde table identique à la sienne lui apparue.
Une femme entièrement nue y était attachée de la même manière que lui.
Mais en y prêtant plus attention, il y avait des variantes à ses attaches. Il devinait qu’elle portait une astreinte au niveau de sa bouche. Un bâillon boule peut-être.
Une large sangle bloquait sa tête entre ses avant bras, lui empêchant de la tourner ou de la relever.
Et surtout ses chevilles étaient bloquées dans des carcans individuels et chacun de ses orteils étaient étirés en arrière par une fine lanière à des petits cliquets situés en haut des carcans.
Ses plantes de pied et orteils étaient parfaitement immobilisés par cette tension.
Sa position et son mutisme forcé expliquent son manque de réaction lorsque Marc avait appelé à l’aide tout à l’heure.
Il se sentait moins seul dans son désarroi mais encore plus inquiet.

D’où il était, il pouvait assez peu distinguer la femme attachée. Elle semblait assez sportive, d’une constitution solide, brune, peut-être les cheveux courts.
De profil, il pouvait admirer sa poitrine qui semblait bien plantée et ferme.
Elle devait l’entendre sans pouvoir le voir et lui répondre. Troublant.

Soudain, il fut sorti de sa rêverie par de nombreux bruits de pas qui s’approchaient d’eux. Cela raisonnait ; on descendait un escalier. Il était dans une salle de torture en sous-sol, dans des soupiraux ou anciens cachots.
Il se sentait désespérément isolé du monde réel.
Un bruit de serrure métallique et ancienne confirma ses craintes. Une porte qu’il ne pouvait voir d’où il était s’ouvrit. Lourde, épaisse. Il sentit une légère fraîcheur entrer dans cette salle surchauffée.
Il entendit trois démarches différentes dont une avec des talons.

« Je constate avec plaisir que vous êtes enfin réveillé Marc ! » dit une voix de femme.



PART IV

Et là, il les vit enfin. Ils étaient arrivés à hauteur de sa table.

Deux hommes avec le torse nu, puissant, ne portant qu’un pantalon en cuir et une cagoule qui ne leur couvre que le haut du visage. La caricature du bourreau.
Leurs visages étaient impassibles, durs.

Ils encadraient une magnifique créature. Grande, svelte, les cheveux noirs, des yeux splendides s’ils n’y avait cette petite étincelle de méchanceté, de roublardise, derrière, qui instinctivement vous faisiez vous méfier.
Elle était presque féline, ses yeux, ses mains fines aux ongles parfaitement entretenus…une sauvagerie domptée.
Elle portait une longue robe noire qui cachait bien peu de chose de sa belle silhouette.
Une gorgone, une amazone, une mangeuse d’homme, une beauté inquiétante.
Sa voix était décidée, autoritaire et on devinait qu’elle pouvait aussi feuler comme une lionne pour amadouer n’importe quel homme.

« Appréciez vous ce décors et votre position forte attrayant pour moi ? »

C’est vrai que le spectacle qu’elle admirait était de qualité. Cet homme était très attirant. Elle l’admira en détail.

Son visage est énergique. Ses yeux soutenaient son regard…l’impertinent.
Musclé, mais sans plus, racé plutôt. Un torse large mais élégant. Légèrement velu à la poitrine et d’où partait une petite ligne discrète de poils qui descendaient pour devenir un fin duvet recouvrant le ventre.
Son boxer cachait son intimité tout en mettant en valeur des formes pleines de promesses.
Ses jambes sont plus velues, puissantes.
Ses pieds sont beaux, bien entretenus, le dessous bi-color comme tout pied sensible digne de ce nom.

En résumé, c’était une très belle proie. Cela va être un véritable plaisir de le tourmenter des manières des plus sadiques qu’il soit.

« Je vous ai appelé par votre prénom pour la première et dernière fois ! Sachez que maintenant vous n’êtes plus qu’un simple mâle bon à supplicier, soumettre et commander ! ».

Cette femme est folle !! Dangereusement folle !
Elle va le torturer et ses aides vont la seconder…qu’allait-il lui arriver ? Le brûler, le taillader, l’écraser ?
Soudain, il pensa au vol de son ordinateur, aux conséquences que cela a peut-être eu avec sa situation actuelle.
Non, tout de même pas. Il refusait de croire à cela. Sa passion fut toujours pour chatouiller des femmes, pas pour être lui-même chatouillé !
Il se sait très chatouilleux. Sa position d’homme et ses muscles l’ont toujours protégé naturellement aux petites chatouilles suite à des jeux avec quelques maîtresses. De gentilles bagarres entre amants.
Mais là, presque nu, totalement immobilisé et offert à cette femme dont sa capacité ne fait aucun doute, il sait qu’il ne tiendrai pas longtemps.

A son plus grand soulagement, les trois bourreaux se dirigèrent vers la table voisine à la sienne.

La Lionne (surnom qu’il donna immédiatement à cette femme terrible) se dirigea vers les pieds de la femme immobilisée.

Cette dernière, même bâillonnée, sa panique est palpable. Elle sait se qui l’attend.

Et ses plus grandes craintes et fantasmes se déroulèrent devant les yeux de Marc. Il ne pouvait plus quitter la scène des yeux.

La Lionne approcha ses mains d’un des pieds de sa victime et ses ongles commencèrent à gratter délicatement le creux de la plante du pied. Méticuleusement.

La réaction fut immédiate, malgré le bâillon, des gémissements pathétiques se font entendre.

Un des aides bourreau s’installa devant l’autre pied ; et le bal commença.
Une danse immobile, où la victime hurle intérieurement, panique, perd totalement le contrôle de son corps.
La Lionne semble se nourrir de ces hurlements étouffés.

Marc est fasciné par ce spectacle, plaint de tout cœur sa voisine et en même temps il sent son sexe durcir de désire.
Il a honte, il voudrait disparaître sous terre pour cacher cette réaction.
Pourvu que la Lionne ne remarque pas cela.

Mais pour l’instant, elle est bien trop occupée. On sent son plaisir à tourmenter sa proie
Cette dernière devient vite couverte de sueur. Elle n’en semblait que plus belle pour Marc.
Elle vivait l’enfer, mais lui continuait à la contempler.

Le 3ème bourreau, sur un signe de tête de sa maîtresse la Lionne, se positionna sur le côté de la victime, celui qui ne gênait pas la vue de Marc.

La Lionne et son aide arrêtèrent soudainement de chatouiller les pieds de la jeune femme.
On l’entendait souffler, tenter de reprendre sa respiration. Elle semblait épuisée et cela sans faire un seul mouvement.

Et le 3ème bourreau commença son office seul. Il caressa les aisselles de la femme, tout doucement, de la pulpe des doigts. Commença à accélérer ses mouvements de doigts, y mettant un peu plus de pression. Il souriait tout en taquinant cette peau offerte.

A ce moment, Marc constata un détail qu’il n’avait pas remarqué à son réveil : on lui avait rasé les dessous de bras… « Mon Dieu, je serai bien la prochaine victime !! ».

L’officiant commença à attaquer plus sérieusement le torse de sa victime.
Par un regroupement de 3 doigts, il palpa de chaque côté la base de des seins. L’effet fut ravageur. Les hurlements étouffés reprirent de plus belle. Enfin, il lui fit subir la pire des craintes pour Marc : le bourreau pris à pleines mains les flancs et les côtes de sa proie.
Ses doigts fouillèrent tout les muscles de cette zone, suivirent les dessins des ses côtes, descendirent sur son ventre, pour revenir de plus belles sur les seins ou aisselles. Et cela dans un éternel recommencement.
La pauvre fille n’en pouvait plus de hurler.
Et tout cessa brutalement.

La Lionne et ses aides regardèrent la femme, tous satisfaits du résultat qu’ils contemplaient.

Et leurs 3 visages se tournèrent ensemble lentement vers Marc, dont l’un le terrifiait d’avance tant qu’il montrait un appétit féroce…
 
Pourquoi Marc aurait-il honte et voudrait-il cacher son excitation à la Lionne ? Comme si le spectacle qu'elle lui offrait n'était pas de qualité. Son excitation ne le rend-il pas infiniment plus attirant aux yeux de sa tortionnaire ? Si Marc est ce qu'il est, alors il fera tout pour que la Lionne se montre impitoyable et cruelle. Cruelle au point de jouer subtilement à faire durer son supplice, n'est-ce pas tickleuse ?
 
Peheff said:
Pourquoi Marc aurait-il honte et voudrait-il cacher son excitation à la Lionne ? Comme si le spectacle qu'elle lui offrait n'était pas de qualité. Son excitation ne le rend-il pas infiniment plus attirant aux yeux de sa tortionnaire ? Si Marc est ce qu'il est, alors il fera tout pour que la Lionne se montre impitoyable et cruelle. Cruelle au point de jouer subtilement à faire durer son supplice, n'est-ce pas tickleuse ?

Tiens donc...un invité surprise...je sais recevoir.
Dans certain cas, il vaut mieux ne pas attiser la "roublardise" naturelle d'une femme.
La suite vers Pâques. L'histoire est là, offerte, tentante, couvrant plusieurs pages et ne demandant que les regards des passionnés.
Je suis une joueuse...pas une allumeuse...donc la suite arrive dès que je serai libre non pas de mes liens mais que de mon temps.

Cordialement.
 
tickleuse said:
Dans certain cas, il vaut mieux ne pas attiser la "roublardise" naturelle d'une femme.

Vous bottez en touche. Cela ne vous ressemble pas. Aurais-je touché plus juste que je ne l'aurais pensé ?

Je vous relance donc : Marc n'est-il pas justement plongé dans un de ces cas certains (l'ordre des mots est essentiel) où il convient précisément de l'attiser ?

Mon adolescence est imprégnée par "Dune". Une scène me reste toujours à l'esprit aujourd'hui. Celle où Paul est initié et boit l'épice pour la première fois. Il tente d'abord de ne boire qu'une infime partie du breuvage, avant d'être repris. Il ne peut y avoir de demie mesure. Essayer, c'est le contraire de réussir.
 
Peheff said:
Vous bottez en touche. Cela ne vous ressemble pas. Aurais-je touché plus juste que je ne l'aurais pensé ?

Je vous relance donc : Marc n'est-il pas justement plongé dans un de ces cas certains (l'ordre des mots est essentiel) où il convient précisément de l'attiser ?

Mon adolescence est imprégnée par "Dune". Une scène me reste toujours à l'esprit aujourd'hui. Celle où Paul est initié et boit l'épice pour la première fois. Il tente d'abord de ne boire qu'une infime partie du breuvage, avant d'être repris. Il ne peut y avoir de demie mesure. Essayer, c'est le contraire de réussir.

Un peu provocateur...où je me trompe???

Deux choses me font rester sur ma réserve.

La première est que je ne désire aucunement révèler mon histoire.
Mais le titre de celle-ci devrait pourtant vous donner matière à quelques suppositions.

La seconde est le lieu, ma réponse serait visible à tout public.

Il y a des cas où il faut savoir tenir sa langue. Et là, j'avoue que c'est même la retenir. Je reste en touche...momentanéement.
 
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4/16/2024
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