PART V
« La Lionne » s’approcha lentement de lui. Ses deux aides restèrent en arrière, en spectateur.
Elle le contempla, sourit lorsque son regard s’arrêta sur son entre jambes. Son excitation se voyait encore. Sa peur le calmait un peu, mais pas encore assez vite pour échapper à cet examen de contrôle.
« Je constate que le spectacle vous a plu, mais maintenant cela va être à vous de chanter un peu.
Comme vous pouvez le remarquer, vous n’êtes pas bâillonné. Je veux vous entendre crier, rire, hurler, me supplier d’arrêter. Ne connaissant pas encore votre corps ; vous entendre me servira de repère pour les autres séances à venir ».
« Aujourd’hui, je vais juste explorer votre potentiel, et seule, sans mes aides ».
Une vague de mécontentement se fit sentir derrière elle. « Seule, j’ai dit ! ».
Un silence absolu régna dans la salle. Seul le feu crépitant et la respiration encore irrégulière de la jeune femme torturée venaient rompre ce vide.
« La lionne » vient calmement se rapprocher de Marc. Du bout des doigts, elle effleura sa poitrine, son ventre, remonta le long d’un des flancs et finit son mouvement dans le creux d’une aisselle.
Ses ongles commencèrent à titiller ce creux, en même temps, elle fit de même pour l’autre aisselle.
La peau tendre et fragile des aisselles rasées de Marc fut soumise à des frôlements et grattements qui devinrent vite difficiles à supporter.
Il serrait les dents, prit sur lui, banda tous ses muscles pour tenir.
Son effort amusa beaucoup « la Lionne ». Elle commença à promener ses doigts le long des côtes.
A se demander si elle ne savait pas d’avance l’endroit où il ne fallait surtout pas aller !
Ses doigts caressaient doucement ses flancs, la respiration de Marc devient plus rapide, c’est à celui qui guettait le plus l’autre.
Ses doigts se firent de plus en plus pressant, attendant les premiers signes où la muraille allait se fissurer.
Marc tenait désespérément sous ces caresses irrégulières, il tentait d’étouffer le gémissement qui le trahirait définitivement aux yeux de son bourreau.
Mais ces maudits doigts n’arrêtaient pas. Maintenant, ils le fouillèrent, le palpèrent, puis à pleines mains, massant les muscles, les nerfs….et …il craqua…
Ce fut un véritable hurlement de bête. Sa vaine résistance avait amplifié ce premier cri.
Comme un enfant à la naissance, mais le monde qu’il découvrait était un enfer.
« La Lionne » n’arrêtait pas de lui chatouiller les côtes, les aisselles. Il criait, suppliait déjà, rien n’y faisait.
Cette immobilité le rendait fou, la torture était intense et son univers s’effondrait.
Elle cessa enfin sa torture. Il soufflait comme un poisson sortit hors de l’eau de son bocal. Les deux aides le regardaient en souriant devant le spectacle qu’il devait leur offrir.
« La Lionne » s’approcha de son oreille et lui murmura :
« Bon. C’est bien. Un très bon début pour l’avenir. Calmez vous. Ce n’est pas bien méchant…calme, tout doux. Voyons voir votre sensibilité sous les pieds maintenant ».
Marc reprenait confiance. Il se savait modérément sensible à cet endroit, pourquoi cela changerait ?
Il avait oublié quelques détails : la chatouille intense de son torse l’avait fragilisé, sa température avait augmenté et la chaleur étouffante de la salle. Tous cela allait le rendre bien plus réceptif.
Et « la Lionne » le savait.
Elle s’installa devant le pied droit de Marc. Elle appela un des ses servants pour l’autre pied.
Et là, elle prit son temps. Elle frôlait le côté du pied, revenant sur le dessus des orteils, pour encore revenir sur les côtés du pied. Jamais aucun de ses deux bourreaux ne le touchèrent réellement sous les plantes de pied.
Mais ce petit jeu était déjà assez sournois. Marc s’aperçu vite qu’il était déjà très sensible. Ces secteurs bourrés de nerfs étaient entrain de lui jouer de mauvais tours.
Les réflexes devinrent impossibles à contrôler.
Enfin la « Lionne » bloqua son pied au niveau de ses orteils et commença à frotter doucement sa plante de pied avec ses ongles. Son aide fit de même.
Marc reçu comme une décharge électrique. Il était terriblement chatouilleux sous les pieds. Ses nerfs étaient entrain de frire sous d’atroces chatouilles. Il rit, à pleine gorge, un mélange de cris, de rires, de mots incompréhensibles envahirent la salle. Mais comme cette dernière, ses bourreaux en avaient déjà entendu d’autres.
Sa peau fut testée avec minutie, ses orteils écartés pour découvrir des zones encore plus insupportables.
Marc tentait d’éloigner ses pieds de ces vingt doigts intransigeants. Mais dès qu’il plissait ses plantes pour tenter de se protéger, on le chatouillait sur le dessus ou sur les côtés du pied. Il tentait de retirer ses pieds en arrière, on se glissait entre ses orteils.
Après un siècle, ses bourreaux stoppèrent leur travail. Il était en sueur. Epuisé.
La « Lionne » le contempla. Très calme, sure d’elle, imperturbable. Elle préparait une suite…
« Messieurs, j’ai à faire avec notre invité, je vous confie donc notre jeune femme. Amusez vous un peu avec elle, mais je vous le rappel : je ne vous autorise que ses pieds ! »
Les deux servants ne se firent pas répéter deux fois leur ordre et laissa la « Lionne » seule avec : son invité.
La « Lionne » quitta momentanément le champ de vision de Marc.
Ce dernier vit une scène qui restera longtemps dans sa mémoire. Il était épuisé, mais il suivit des yeux les deux servants. Ils s’étaient installés chacun sur un tabouret près des pieds de la jeune femme.
Marc sentait la nervosité de cette dernière.
Et les deux servants commencèrent à lécher les pieds de leur victime. Comme de petits animaux, mais avec le vice d’un homme.
Marc n’eu pas le temps de contempler d’avantage le calvaire de sa voisine, la « Lionne » revenait auprès de lui.
Elle tenait un ciseau à la main. Il craignait le pire. Et le pire arriva.
La « Lionne » découpa délicatement son boxer. Il se retrouva totalement nu devant cette créature infernale.
La « Lionne » le caressa machinalement près du sexe. Ce contact l’empli d’effroi car il sentit tout de suite qu’on l’avait également rasé à cet endroit. Il était aussi imberbe qu’un enfant.
Elle montra deux belles plumes devant le visage de Marc qui devina sans problème son futur supplice.
Des plumes d’une dizaine de centimètres, très souples, avec une point un peu arrondie.
Elle se positionna entre ses jambes et commença à promener les plumes sur son sexe. Patiemment.
Marc aurait trouvé en d’autre circonstance ce jeu certainement très érotique et provoquant. Sa partenaire de jeu n’aurait guère attendu pour subir les conséquences de son acte, mais là, le jeu devient redoutable.
Il était soudé à cette table, il se sentit à merci de cette femme qui allait manipuler son désir comme une marionnette.
Mais il découvrit aussi un autre mélange. Plus le moindre poil le protégeait des passages des plumes.
Ses hanches totalement bloquées augmentaient la sensation d’excitation et de chatouilles. Un subtile mélange. Enfin une autre chose vint attiser son supplice, il entendait les gémissements de sa voisine et savait la torture qu’elle subissait. Les langues de ses bourreaux entre ses orteils, ses plantes de pied devenues brillantes de salive.
Son supplice devait être bien pire que le sien, mais il se doutait très bien que son sexe devait être autant en feu que le sien en ce moment.
La « Lionne » continuait son office, elle savait que ce supplice allait vite être insupportable.
Le sexe de Marc en devient douloureux de désir. Mais il était entre des « mains expertes ». Les plumes venaient varier le supplice en s’attaquant plus particulièrement à ses testicules. L’effet de chatouilles prit le pas sur l’excitation.
Ces plumes avaient leur vie propre, jamais de mouvements coordonnés, jamais prévisibles, l’une passait le long de sa verge, l’autre taquinait l’arrière de ses testicules.
Son sexe devenait en éternel désir, un désir immobile et sans espoir d’explosion.
Les chatouilles prenaient de plus en plus d’importance. Il ne pouvait soupçonner qu’on pouvait devenir aussi chatouilleux à cet endroit. Ses testicules, l’intérieur de ses cuisses, les chairs tendres du pourtour immédiat de son sexe devenaient aussi sensible qu’un corps de femme.
Il haletait, poussait de petits rires incontrôlables. Il aurait donné n’importe quoi pour qu’elle s’arrête ou qu’elle le laisse au moins jouir.
Elle appela ses aides. Sur un signe de tête, ils commencèrent à chatouiller Marc sans aucune recherche, ils exécutaient leur office sans état d’âme. Ils se mirent de chaque côté de lui et quatre mains malaxèrent ses flancs. L’un s’occupait plus des flancs et du ventre, l’autre pour les côtes, la poitrine et les aisselles.
Marc hurla comme jamais il hurla, des cris de panique totale, d’impuissance.
La « Lionne » rangea ses plumes car comme prévu avec des chatouilles aussi violentes de la part de ses aides, plus aucune trace ne subsistait de sa précédente prestation.
« Arrêtez Messieurs. Détachez nos deux prisonniers, enfermez les dans deux cellules bien séparées et prenez soin d’eux. Demain une longue journée les attend »
Marc remarqua que son statu « d’invité » était devenu celui de « prisonnier ».
….à suivre Part VI
« La Lionne » s’approcha lentement de lui. Ses deux aides restèrent en arrière, en spectateur.
Elle le contempla, sourit lorsque son regard s’arrêta sur son entre jambes. Son excitation se voyait encore. Sa peur le calmait un peu, mais pas encore assez vite pour échapper à cet examen de contrôle.
« Je constate que le spectacle vous a plu, mais maintenant cela va être à vous de chanter un peu.
Comme vous pouvez le remarquer, vous n’êtes pas bâillonné. Je veux vous entendre crier, rire, hurler, me supplier d’arrêter. Ne connaissant pas encore votre corps ; vous entendre me servira de repère pour les autres séances à venir ».
« Aujourd’hui, je vais juste explorer votre potentiel, et seule, sans mes aides ».
Une vague de mécontentement se fit sentir derrière elle. « Seule, j’ai dit ! ».
Un silence absolu régna dans la salle. Seul le feu crépitant et la respiration encore irrégulière de la jeune femme torturée venaient rompre ce vide.
« La lionne » vient calmement se rapprocher de Marc. Du bout des doigts, elle effleura sa poitrine, son ventre, remonta le long d’un des flancs et finit son mouvement dans le creux d’une aisselle.
Ses ongles commencèrent à titiller ce creux, en même temps, elle fit de même pour l’autre aisselle.
La peau tendre et fragile des aisselles rasées de Marc fut soumise à des frôlements et grattements qui devinrent vite difficiles à supporter.
Il serrait les dents, prit sur lui, banda tous ses muscles pour tenir.
Son effort amusa beaucoup « la Lionne ». Elle commença à promener ses doigts le long des côtes.
A se demander si elle ne savait pas d’avance l’endroit où il ne fallait surtout pas aller !
Ses doigts caressaient doucement ses flancs, la respiration de Marc devient plus rapide, c’est à celui qui guettait le plus l’autre.
Ses doigts se firent de plus en plus pressant, attendant les premiers signes où la muraille allait se fissurer.
Marc tenait désespérément sous ces caresses irrégulières, il tentait d’étouffer le gémissement qui le trahirait définitivement aux yeux de son bourreau.
Mais ces maudits doigts n’arrêtaient pas. Maintenant, ils le fouillèrent, le palpèrent, puis à pleines mains, massant les muscles, les nerfs….et …il craqua…
Ce fut un véritable hurlement de bête. Sa vaine résistance avait amplifié ce premier cri.
Comme un enfant à la naissance, mais le monde qu’il découvrait était un enfer.
« La Lionne » n’arrêtait pas de lui chatouiller les côtes, les aisselles. Il criait, suppliait déjà, rien n’y faisait.
Cette immobilité le rendait fou, la torture était intense et son univers s’effondrait.
Elle cessa enfin sa torture. Il soufflait comme un poisson sortit hors de l’eau de son bocal. Les deux aides le regardaient en souriant devant le spectacle qu’il devait leur offrir.
« La Lionne » s’approcha de son oreille et lui murmura :
« Bon. C’est bien. Un très bon début pour l’avenir. Calmez vous. Ce n’est pas bien méchant…calme, tout doux. Voyons voir votre sensibilité sous les pieds maintenant ».
Marc reprenait confiance. Il se savait modérément sensible à cet endroit, pourquoi cela changerait ?
Il avait oublié quelques détails : la chatouille intense de son torse l’avait fragilisé, sa température avait augmenté et la chaleur étouffante de la salle. Tous cela allait le rendre bien plus réceptif.
Et « la Lionne » le savait.
Elle s’installa devant le pied droit de Marc. Elle appela un des ses servants pour l’autre pied.
Et là, elle prit son temps. Elle frôlait le côté du pied, revenant sur le dessus des orteils, pour encore revenir sur les côtés du pied. Jamais aucun de ses deux bourreaux ne le touchèrent réellement sous les plantes de pied.
Mais ce petit jeu était déjà assez sournois. Marc s’aperçu vite qu’il était déjà très sensible. Ces secteurs bourrés de nerfs étaient entrain de lui jouer de mauvais tours.
Les réflexes devinrent impossibles à contrôler.
Enfin la « Lionne » bloqua son pied au niveau de ses orteils et commença à frotter doucement sa plante de pied avec ses ongles. Son aide fit de même.
Marc reçu comme une décharge électrique. Il était terriblement chatouilleux sous les pieds. Ses nerfs étaient entrain de frire sous d’atroces chatouilles. Il rit, à pleine gorge, un mélange de cris, de rires, de mots incompréhensibles envahirent la salle. Mais comme cette dernière, ses bourreaux en avaient déjà entendu d’autres.
Sa peau fut testée avec minutie, ses orteils écartés pour découvrir des zones encore plus insupportables.
Marc tentait d’éloigner ses pieds de ces vingt doigts intransigeants. Mais dès qu’il plissait ses plantes pour tenter de se protéger, on le chatouillait sur le dessus ou sur les côtés du pied. Il tentait de retirer ses pieds en arrière, on se glissait entre ses orteils.
Après un siècle, ses bourreaux stoppèrent leur travail. Il était en sueur. Epuisé.
La « Lionne » le contempla. Très calme, sure d’elle, imperturbable. Elle préparait une suite…
« Messieurs, j’ai à faire avec notre invité, je vous confie donc notre jeune femme. Amusez vous un peu avec elle, mais je vous le rappel : je ne vous autorise que ses pieds ! »
Les deux servants ne se firent pas répéter deux fois leur ordre et laissa la « Lionne » seule avec : son invité.
La « Lionne » quitta momentanément le champ de vision de Marc.
Ce dernier vit une scène qui restera longtemps dans sa mémoire. Il était épuisé, mais il suivit des yeux les deux servants. Ils s’étaient installés chacun sur un tabouret près des pieds de la jeune femme.
Marc sentait la nervosité de cette dernière.
Et les deux servants commencèrent à lécher les pieds de leur victime. Comme de petits animaux, mais avec le vice d’un homme.
Marc n’eu pas le temps de contempler d’avantage le calvaire de sa voisine, la « Lionne » revenait auprès de lui.
Elle tenait un ciseau à la main. Il craignait le pire. Et le pire arriva.
La « Lionne » découpa délicatement son boxer. Il se retrouva totalement nu devant cette créature infernale.
La « Lionne » le caressa machinalement près du sexe. Ce contact l’empli d’effroi car il sentit tout de suite qu’on l’avait également rasé à cet endroit. Il était aussi imberbe qu’un enfant.
Elle montra deux belles plumes devant le visage de Marc qui devina sans problème son futur supplice.
Des plumes d’une dizaine de centimètres, très souples, avec une point un peu arrondie.
Elle se positionna entre ses jambes et commença à promener les plumes sur son sexe. Patiemment.
Marc aurait trouvé en d’autre circonstance ce jeu certainement très érotique et provoquant. Sa partenaire de jeu n’aurait guère attendu pour subir les conséquences de son acte, mais là, le jeu devient redoutable.
Il était soudé à cette table, il se sentit à merci de cette femme qui allait manipuler son désir comme une marionnette.
Mais il découvrit aussi un autre mélange. Plus le moindre poil le protégeait des passages des plumes.
Ses hanches totalement bloquées augmentaient la sensation d’excitation et de chatouilles. Un subtile mélange. Enfin une autre chose vint attiser son supplice, il entendait les gémissements de sa voisine et savait la torture qu’elle subissait. Les langues de ses bourreaux entre ses orteils, ses plantes de pied devenues brillantes de salive.
Son supplice devait être bien pire que le sien, mais il se doutait très bien que son sexe devait être autant en feu que le sien en ce moment.
La « Lionne » continuait son office, elle savait que ce supplice allait vite être insupportable.
Le sexe de Marc en devient douloureux de désir. Mais il était entre des « mains expertes ». Les plumes venaient varier le supplice en s’attaquant plus particulièrement à ses testicules. L’effet de chatouilles prit le pas sur l’excitation.
Ces plumes avaient leur vie propre, jamais de mouvements coordonnés, jamais prévisibles, l’une passait le long de sa verge, l’autre taquinait l’arrière de ses testicules.
Son sexe devenait en éternel désir, un désir immobile et sans espoir d’explosion.
Les chatouilles prenaient de plus en plus d’importance. Il ne pouvait soupçonner qu’on pouvait devenir aussi chatouilleux à cet endroit. Ses testicules, l’intérieur de ses cuisses, les chairs tendres du pourtour immédiat de son sexe devenaient aussi sensible qu’un corps de femme.
Il haletait, poussait de petits rires incontrôlables. Il aurait donné n’importe quoi pour qu’elle s’arrête ou qu’elle le laisse au moins jouir.
Elle appela ses aides. Sur un signe de tête, ils commencèrent à chatouiller Marc sans aucune recherche, ils exécutaient leur office sans état d’âme. Ils se mirent de chaque côté de lui et quatre mains malaxèrent ses flancs. L’un s’occupait plus des flancs et du ventre, l’autre pour les côtes, la poitrine et les aisselles.
Marc hurla comme jamais il hurla, des cris de panique totale, d’impuissance.
La « Lionne » rangea ses plumes car comme prévu avec des chatouilles aussi violentes de la part de ses aides, plus aucune trace ne subsistait de sa précédente prestation.
« Arrêtez Messieurs. Détachez nos deux prisonniers, enfermez les dans deux cellules bien séparées et prenez soin d’eux. Demain une longue journée les attend »
Marc remarqua que son statu « d’invité » était devenu celui de « prisonnier ».
….à suivre Part VI