PART VI
Marc fut emmenait par les deux servants, chaînes aux chevilles et poignets…humiliant, et toujours nu.
Ils sortirent par une porte différente de celle par laquelle la « Lionne » était arrivée.
Le seuil franchi, ils traversèrent une autre salle qui donna un frisson d’angoisse à Marc.
La salle était plus petite, plus intime, ses parois capitonnées. Tous les bruits semblaient absorbés. Toute une série de fauteuils confortables longeait un des murs. Il y régnait une odeur indéfinissable. Animal presque.
Dans cette salle seul trois tables de supplices étaient présentes.
Une magnifique croix très basse à l’horizontal, en bois massif et poli. Cette croix était surmontée d’un appui tête capitonné.
Des sangles tombaient au sol à différent niveau de leur support, n’attendant que leur prochaine victime. Seules les attaches des chevilles étaient différentes : des ferres capitonnés en métal, mais avec un système qui devait remonter sur le coup de pied. Ce système enclenché, Marc supposa qu’il devenait impossible de tendre ses pieds en arrière pour échapper à un supplice.
Les deux autres tables étaient identiques. Rectangulaires toutes deux avec des courroies en haut, en bas ainsi qu’une autre plus large en son centre.
Leur originalité était qu’elles étaient trouées. Un trou en haut et un trou plus étroit au centre.
Marc ne sut pas leurs utilités et ne chercha pas à savoir plus.
Cette petite salle traversée, il arriva sur un long couloir donnant accès aux cellules.
Il fut libéré de ses ferres, mais toujours nu, fut enfermé dans la première de ses cellules. Et la porte claqua derrière lui.
Un copieux repas l’attendait sur une table, sinon une chaise, un lit et un coin salle d’eau complétaient la pièce.
Froid et fonctionnel.
Il n’y avait aucune vue sur l’extérieur, mais par contre il remarqua immédiatement le système de caméras. Aucun rideau de douche, aucun drap, aucune possibilité d’intimité. Tout ses faits et gestes seront visibles.
Il en prit son parti. Il se nettoya. La douche le remis un peu de ses émotions. Mangea les premières bouchés de son repas du bout des lèvres, lorsqu’il sentit l’appétit revenir. Son dernier repas était de…de quant en fait ?…depuis combien de temps l’avaient ils enlevé ?…
Il s’allongea, le moral en baisse…se mit sur le coté, tentant de garder l’intimité de son repos.
Malgré sa fatigue, il revit défiler les scènes troublantes du supplice de la jeune femme…mon Dieu que c’était attirant, excitant. Il n’arrivait pas à penser à autre chose. Même son propre supplice lui laisse un goût inexplicable, une terrible peur concernant la journée de demain et en même temps cette poussée d’adrénaline lui plaisait.
Ses pensées firent vite réagir son corps, il commença être très excité. Il pensa aux caméras…il était hors de question de leur donner la vision d’un plaisir solitaire, il avait son orgueil.
Qu’ils en trouvent un autre pour faire les voyeurs !
Finalement le sommeil l’emporta.
Marc fut emmenait par les deux servants, chaînes aux chevilles et poignets…humiliant, et toujours nu.
Ils sortirent par une porte différente de celle par laquelle la « Lionne » était arrivée.
Le seuil franchi, ils traversèrent une autre salle qui donna un frisson d’angoisse à Marc.
La salle était plus petite, plus intime, ses parois capitonnées. Tous les bruits semblaient absorbés. Toute une série de fauteuils confortables longeait un des murs. Il y régnait une odeur indéfinissable. Animal presque.
Dans cette salle seul trois tables de supplices étaient présentes.
Une magnifique croix très basse à l’horizontal, en bois massif et poli. Cette croix était surmontée d’un appui tête capitonné.
Des sangles tombaient au sol à différent niveau de leur support, n’attendant que leur prochaine victime. Seules les attaches des chevilles étaient différentes : des ferres capitonnés en métal, mais avec un système qui devait remonter sur le coup de pied. Ce système enclenché, Marc supposa qu’il devenait impossible de tendre ses pieds en arrière pour échapper à un supplice.
Les deux autres tables étaient identiques. Rectangulaires toutes deux avec des courroies en haut, en bas ainsi qu’une autre plus large en son centre.
Leur originalité était qu’elles étaient trouées. Un trou en haut et un trou plus étroit au centre.
Marc ne sut pas leurs utilités et ne chercha pas à savoir plus.
Cette petite salle traversée, il arriva sur un long couloir donnant accès aux cellules.
Il fut libéré de ses ferres, mais toujours nu, fut enfermé dans la première de ses cellules. Et la porte claqua derrière lui.
Un copieux repas l’attendait sur une table, sinon une chaise, un lit et un coin salle d’eau complétaient la pièce.
Froid et fonctionnel.
Il n’y avait aucune vue sur l’extérieur, mais par contre il remarqua immédiatement le système de caméras. Aucun rideau de douche, aucun drap, aucune possibilité d’intimité. Tout ses faits et gestes seront visibles.
Il en prit son parti. Il se nettoya. La douche le remis un peu de ses émotions. Mangea les premières bouchés de son repas du bout des lèvres, lorsqu’il sentit l’appétit revenir. Son dernier repas était de…de quant en fait ?…depuis combien de temps l’avaient ils enlevé ?…
Il s’allongea, le moral en baisse…se mit sur le coté, tentant de garder l’intimité de son repos.
Malgré sa fatigue, il revit défiler les scènes troublantes du supplice de la jeune femme…mon Dieu que c’était attirant, excitant. Il n’arrivait pas à penser à autre chose. Même son propre supplice lui laisse un goût inexplicable, une terrible peur concernant la journée de demain et en même temps cette poussée d’adrénaline lui plaisait.
Ses pensées firent vite réagir son corps, il commença être très excité. Il pensa aux caméras…il était hors de question de leur donner la vision d’un plaisir solitaire, il avait son orgueil.
Qu’ils en trouvent un autre pour faire les voyeurs !
Finalement le sommeil l’emporta.