1759, L'armée Britannique est aux portes de Québec. La guerre s'annonce féroce entre les deux nations pour le contrôle de la colonisation et pour la création de l'empire. Au petit matin du 5 septembre, les troupes de Montcalm se dressent mal organisés toutefois pour défendre ce qu'il reste de l'honneur des français en amérique du nord. les anglais, beaucoup mieux organisés semblent déjà certains de la victoire. Ce qui se concrétisera dans la demie-heure qui suivra.
L'extrait suivant relate l'entente intervenue entre les anglais et les français lors de la capitulation de la france. cet extrait a disparu et personne n'a revu des traces de l'historique entente entre les deux peuples:
"Par la présente, le roi d'Angleterre prend possession des terres de la nouvelle france en son nom. La population est sommée de se conformer aux nouvelles règles et coutumes en fonctions dans les colonisations de la nouvelle angleterre. Toutefois, la population peut conserver sa langue et sa culture à l'exception des soldats qui doivent désormais parler anglais et prêter allégeance au roi d'Angleterre. Aussi, la population et les prisonniers de guerre seront progressivement amenés à l'esclavage au bénéfice des nouveaux conquérants et ceux-ci devront servir comme du bétail afin de cultiver la terre et assouvir les besoins des nouveaux conquérants."
Manuel, qui servait dans l'armée de france essaya d'échapper à cette difficile défaite et ne pouvait accepter les clauses de cet acte qui détruisait tout ce dont il s'était battu auparavant. Les valeurs de liberté qui lui étaient si chères, venaient de s'écrouler comme un château de carte. Néanmoins, pris comme prisonnier de guerre, il fut amené à la citadelle afin d'y être jugé personnellement par le général Phips qui dirigeait désormais les cordons de l'armée d'une main de fer.
"Vous serez personnellement jugez par moi monsieur..... quel est donc votre nom?"
"Manuel... espèce de salaud...."
"Général. On me nomme général... espèce d'insolent. Et en tant que conquis, vous devriez avoir plus de respect. Vous n'êtes sûrement pas sans savoir que nous avons le parfait contrôle sur vos terres et sur la population en vertu de ce traité et que nous avons donc à cet égard, le pouvoir de vie ou de mort sur la population. Vous serez donc M. Manuel, mon prisonnier personnel. je vous en fait le serment".
Le général s'esclaffa alors d'un rire machiavélique qui fit peur à la garde présente dans le dongeon.
"Salaud... Nous nous reprendrons c'est certain et vous mangerez les pissenlits par la racine je vous le jure."
"Autant de fougue après une défaite... Ma foi vous êtes vraiment coriace. Pourquoi tant de haine. Je ne vous voulais pas de mal après tout. Mais à force de m'insulter de la sorte, je devrai vous ramener au rang." Ce après quoi le général ordonna:
"Guard. Please tie him solidely arms up. And make sure he cant move. I will give him some humility lesson he will not be about to forget. And make sure his ankles are spread out and tied down to this pole. this way he will be spread like a cross. Be sure the ropes around his hands are linked to that pulley in order for me to lift him up as I wish. then go all outside this room. I wil take care of him personnaly."
L'extrait suivant relate l'entente intervenue entre les anglais et les français lors de la capitulation de la france. cet extrait a disparu et personne n'a revu des traces de l'historique entente entre les deux peuples:
"Par la présente, le roi d'Angleterre prend possession des terres de la nouvelle france en son nom. La population est sommée de se conformer aux nouvelles règles et coutumes en fonctions dans les colonisations de la nouvelle angleterre. Toutefois, la population peut conserver sa langue et sa culture à l'exception des soldats qui doivent désormais parler anglais et prêter allégeance au roi d'Angleterre. Aussi, la population et les prisonniers de guerre seront progressivement amenés à l'esclavage au bénéfice des nouveaux conquérants et ceux-ci devront servir comme du bétail afin de cultiver la terre et assouvir les besoins des nouveaux conquérants."
Manuel, qui servait dans l'armée de france essaya d'échapper à cette difficile défaite et ne pouvait accepter les clauses de cet acte qui détruisait tout ce dont il s'était battu auparavant. Les valeurs de liberté qui lui étaient si chères, venaient de s'écrouler comme un château de carte. Néanmoins, pris comme prisonnier de guerre, il fut amené à la citadelle afin d'y être jugé personnellement par le général Phips qui dirigeait désormais les cordons de l'armée d'une main de fer.
"Vous serez personnellement jugez par moi monsieur..... quel est donc votre nom?"
"Manuel... espèce de salaud...."
"Général. On me nomme général... espèce d'insolent. Et en tant que conquis, vous devriez avoir plus de respect. Vous n'êtes sûrement pas sans savoir que nous avons le parfait contrôle sur vos terres et sur la population en vertu de ce traité et que nous avons donc à cet égard, le pouvoir de vie ou de mort sur la population. Vous serez donc M. Manuel, mon prisonnier personnel. je vous en fait le serment".
Le général s'esclaffa alors d'un rire machiavélique qui fit peur à la garde présente dans le dongeon.
"Salaud... Nous nous reprendrons c'est certain et vous mangerez les pissenlits par la racine je vous le jure."
"Autant de fougue après une défaite... Ma foi vous êtes vraiment coriace. Pourquoi tant de haine. Je ne vous voulais pas de mal après tout. Mais à force de m'insulter de la sorte, je devrai vous ramener au rang." Ce après quoi le général ordonna:
"Guard. Please tie him solidely arms up. And make sure he cant move. I will give him some humility lesson he will not be about to forget. And make sure his ankles are spread out and tied down to this pole. this way he will be spread like a cross. Be sure the ropes around his hands are linked to that pulley in order for me to lift him up as I wish. then go all outside this room. I wil take care of him personnaly."
