Chapitre 4:
Léa, 21 ans, est une belle brune en étude dans le domaine paramédical. Dans le cadre de ses études, elle est amenée à réaliser des stages rémunérés au sein des hôpitaux. C'est ainsi qu'en cette soirée d'avril 2025, en lieu et place de la chasse aux œufs, Léa est amenée à s'occuper de patients âgés. Sa mission consiste à venir les visiter en soirée afin de s'assurer qu'ils disposent du parfait confort mais aussi pour les inciter, au-delà des 23 heures, à se coucher. Passé 23h12, Léa avait presque terminé de souhaiter une bonne nuitée à ses patients. Il lui restait Roberta, une dame âgée de 74 ans. Malgré son âge avancé, cette patiente prenait grand soin de son corps, n'hésitant pas à sortir de la maison de retraite pour profiter des manucures et pédicures. Roberta était de loin la patiente que préfèrait Léa. Toujours de bonne humeur, Roberta se démarquait de ses voisines d'étage par sa joie de vivre et ses conversations très diversifiées. Ainsi, en entrant sourire, Léa ne fut pas surprise de la voir lui adresser son meilleur. Elle tenait à la main son téléphone portable et semblait être enclin à dialoguer avec Léa sur le contenu qu'elle était en train de visualiser.
Roberta : "Ah, ma petite Léa. Vous tombez bien, je suis en train de regarder une vidéo passionnante et j'avais besoin de la partager avec quelqu'un.
Léa s'approche et observe le contenu affiché sur le téléphone de sa patiente. Elle ne se rend pas compte que son attention fut pleinement captivée par ce qui s'affichait sur la chaîne Youtube "Fort Boyard". Pendant 10 longues minutes, Léa et Roberta regardèrent ensemble avec un sourire non dissimulé cette vidéo.
On y voyageait un homme avec une tête de tigre, typique des gardiens de Fort Boyard. Assis sur un tabouret, il était en train d'écrire sur un parchemin avec une plume en oie. En haut de sa feuille était réalisé "A Tickle Test,cellule 219". D'une voie caverneuse, le gardien du fort explique son dessein...
Le gardien du fort : "En des temps lointains résonnait des cris stridents. Ces bruits provenaient de la souffrance des candidats qui disputaient nos épreuves. Pour gagner une nouvelle clé et repartir avec le trésor, ces voleurs étaient prêts à endurer les pires tourments inventés par nos soins et l'hôte de ces lieux : le Père Fouras. Poussé dans un élan de magnanimité, le Père Fouras ne supportait plus ces actes de tortures inutiles. Les combats dans la boue, les appels dans la cabine téléphonique où l'on vous déverse un torrent d'insectes, le saut dans le vide ? Ces épreuves sont-elles condamnées ?
[Rire gitural du gardien du fort]
Non bien sûr, elles seront mêmes complexifiées. Cependant une nouvelle épreuve va faire son entrée. Le Père Fouras et mon ordre étaient très peinés de ne voir se dessiner des sourires chez les candidats qu'au moment où nous perdions les épreuves. Nous voulons aussi partager leur bonheur... ou leur malheur. C'est ainsi que nous nous sommes plongés dans de vieux grimoires laissés par le précédent du Père Fouras. Un mystérieux mage ayant vécu des siècles plus tôt. Dans une liaison de parchemin était divulgué une information précieuse, une épreuve dont nous n'aurions même pas imaginé l'existence tant elle était enfantine. Au lieu de l'effort physique, de la concentration mentale ou du dépassement de ces peurs, ce jeu allait combiner ces trois facteurs. Vous vous demandez sans doute de quoi il s'agit ? Nous vous avons concocté une mise en pratique digne de ce que nous ferons subir aux candidats du fort. Bourreaux, faites les entrer.
Soudainement, la porte de la cellule s'ouvre. Deux femmes étaient menottées, accompagnées de prêt par un autre homme avec une tête de tigre. Les deux femmes étaient reconnaissables par les téléspectateurs. La première était nulle autre qu'Alexia Laroche-Joubert. Âgée d'une cinququantaine d'années, fine et blanche de peau, elle était la productrice du jeu de Fort Boyard. Vêtue d'une robe bleu ciel, elle portait de fines basket noire qui contrastait avec le reste de ses habitudes. Jambes nues, elle affichait un sourire crispée. À l'inverse, sa co-détenue essayait de s'accrocher à la porte, refusant d'entrer dans la cellule 219. Elle portait une tenue de dompteuse de tigres noirs et rouges, assertie de bottes noires qui remontaient jusqu'à ses genoux. Noir de peau, elle portait des boucles d'oreille en forme de demi-lune et avait ses cheveux bruns plaqués. Il s'agissait de Monique Angeon, alias Felindra.
Le gardien du fort : "Mes amies, vous entrez dans la cellule 219. Le principe de cette nouvelle épreuve consiste à rester le plus longtemps parmi nous. Chacunes d'entre vous possède une clepsydre qui nous permet de quantifier le temps de votre tourment. Parlons justement de ce tourment. Il consiste à ce que vous vous fassiez chatouiller sous les pieds jusqu'à ce que l'une d'entre vous n'en puisse plus. Il vous suffira de donner votre code, "rouge" ici et votre adversaire remportera l'épreuve Maintenant bourreaux, à votre œuvre.
Le bourreau s'exécute. Il a commencé par attacher Alexia Laroche-Joubert à une table médiévale, lui retirant uniquement ses paniers noirs et ses fines socquettes. La productrice de Fort Boyard ne parvenait plus à maintenir son sourire de façade. Ses chevilles étaient enserrées dans des anneaux métalliques. Ses soutiens-gorge étaient laissés libres mais ne pouvaient qu'effleurer au maximum la pointe de ses orteils. Quant à ses pieds, ils étaient blancs laiteux. Elle disposait de fins mais de longs orteils, sa plante de pied était douce au toucher. Sans verni, ses pieds avaient un charme fou bien rendu par la caméra.
Un autre bourreau est apparu pour aider le premier à positionner Felindra sur la table médiévale. La dompteuse de tigre essaya de résister mais la force combinée des deux hommes eut raison de sa volonté. Une fois ses chevilles enfoncées sur le bois, le bourreau lui retira ses bottes, laissant apparaître une pointure 41, noire ébène avec du vernis rouge foncé s'affirme à sa tenue. Sa plante de pied était singulièrement ridée, charnue et avec des orteils larges.
Puis, les deux bourreaux s'ouvrant une porte de placard et en sortant des plumes en oie, de l'huile pour bébé et des brosses à cheveux. À l'unisson, ils retrouvèrent les deux clepsydres en même temps et commencèrent à passer les plumes d'oie sous les pieds des deux femmes. Alexia Laroche-Joubert semble être celle qui manifestait le plus de réaction. Ses orteils bougeaient frénétiquement à chaque passage de la plume et elle ne mettait pas en attente sa respiration qui était de plus en plus saccadée. Quant à Felindra, à l'exception d'un regard foudroyant à la rencontre de son bourreau, aucune réaction n'émanait de son corps.
Les deux clepsydres se vidèrent pour un tiers avant que les hommes aux masques de tigre ne s'arrêtèrent brusquement. En lieu et place de plumes, ils se huilèrent les mains puis les passèrent vigoureusement sur les plantes de pieds des deux victimes. Si Alexia Laroche-Joubert est une nouvelle fois, Felindra reste impassible. À ce stade, son bourreau craignait de ne pouvoir rien tirer de la situation, risquant de mettre fin rapidement à la compétition avec Alexia Laroche-Joubert.
Roberta : "Oh non, ils auraient dû choisir une autre personne de fort Boyard, la vidéo perd de son intérêt".
Léa regardait davantage Roberta que la vidéo en elle-même. Elle notait comment Roberta avait des yeux pétillants depuis le début de l'épreuve et ne pouvait s'empêcher de penser que cette drôle de grand-mère semblait apprécier les chatouilles.
Roberta : 'Il faut qu'il lui passe les brosses sur les pieds, si cela n'a marche pas alors au moins nous en serons tout à fait".
Les deux bourreaux se regardèrent puis commencèrent à gratter les pieds des deux femmes. Alexia Laroche-Joubert ne mit pas longtemps avant de lâcher ses premières rires. Elle était très réceptive au niveau des orteils. Felindra restait toujours impassible, même si le bourreau notait quelques légers frémissements de sourcils de sa victime. Il prend alors l'initiative de chatouiller non pas le dessous mais le dessus des pieds. Cette action a eu pour conséquence immédiate de briser les nerfs de Felindra qui ria aux éclats, atteignant dans ce domaine la productrice de Fort Boyard. À ce stade les deux femmes ne parvenaient plus à résister. Les deux tiers des clepsydres s'égoutèrent alors, annonçant l'heure des brosses à cheveux. Le bourreau d'Alexandra Laroche-Joubert se mit alors à brosser les serres de la productrice, la poussant à verser plusieurs larmes de rire. Elle suppliait d'arrêter cette torture, qu'elle ne pouvait plus le supporter. Ainsi,lorsque le gardien des clés s'attarda davantage sur sa plante des pieds, la partie semblait être terminée. Cependant, à la surprise des spectateurs ce fut Felindra qui supplia d'arrêter et prononça le mot rouge. Son bourreau avait parfaitement compris que Monique Angeon parvenait à résister tant qu'il ne sortait pas des sentiers battus. Lui chatouiller le dessus du pied avait suffi à la faire rire aux éclats. Il décide donc de lui détacher les pieds puis de les tenir fermement avec son bras gauche tandis qu'il frottait simultanément les deux pieds de Felindra. La dompteuse de tigre faillit s'étouffer de rire devant cet assaut brutal et original. Au moment de prononcer le code, les chatouilles cessèrent et Alexia Laroche-Joubert fut déclarée vainqueur de cette épreuve. De gros plans filmèrent le visage des deux victimes dont le maquillage s'estompait avec leurs larmes de rire. Un message apparu en bas de la vidéo, indiquant aux spectateurs qu'ils pourront retrouver la nouvelle épreuve de la cellule 219 lors de la première émission prévue au début du mois de juillet 2025.
Roberta affichait un grand sourire, elle était impatiente de pouvoir observer une nouvelle séquence de cette épreuve. Elle se tourna alors vers Léa pour lui demander son avis sur le contenu de la vidéo mais s'aperçut que personne n'était à ses côtés. Brusquement elle sentit un léger contact sur son pied droit, puis un léger gratouillement sur son talon. Elle profite de ce court moment pour laisser échapper son rire, avant que Léa n'apparaisse au bout du lit. Les deux femmes se mirent d'accord pour regarder ensemble les épisodes de Fort Boyard cet été, toutes les deux ayant apprécié la présentation de la cellule 219.
Léa, 21 ans, est une belle brune en étude dans le domaine paramédical. Dans le cadre de ses études, elle est amenée à réaliser des stages rémunérés au sein des hôpitaux. C'est ainsi qu'en cette soirée d'avril 2025, en lieu et place de la chasse aux œufs, Léa est amenée à s'occuper de patients âgés. Sa mission consiste à venir les visiter en soirée afin de s'assurer qu'ils disposent du parfait confort mais aussi pour les inciter, au-delà des 23 heures, à se coucher. Passé 23h12, Léa avait presque terminé de souhaiter une bonne nuitée à ses patients. Il lui restait Roberta, une dame âgée de 74 ans. Malgré son âge avancé, cette patiente prenait grand soin de son corps, n'hésitant pas à sortir de la maison de retraite pour profiter des manucures et pédicures. Roberta était de loin la patiente que préfèrait Léa. Toujours de bonne humeur, Roberta se démarquait de ses voisines d'étage par sa joie de vivre et ses conversations très diversifiées. Ainsi, en entrant sourire, Léa ne fut pas surprise de la voir lui adresser son meilleur. Elle tenait à la main son téléphone portable et semblait être enclin à dialoguer avec Léa sur le contenu qu'elle était en train de visualiser.
Roberta : "Ah, ma petite Léa. Vous tombez bien, je suis en train de regarder une vidéo passionnante et j'avais besoin de la partager avec quelqu'un.
Léa s'approche et observe le contenu affiché sur le téléphone de sa patiente. Elle ne se rend pas compte que son attention fut pleinement captivée par ce qui s'affichait sur la chaîne Youtube "Fort Boyard". Pendant 10 longues minutes, Léa et Roberta regardèrent ensemble avec un sourire non dissimulé cette vidéo.
On y voyageait un homme avec une tête de tigre, typique des gardiens de Fort Boyard. Assis sur un tabouret, il était en train d'écrire sur un parchemin avec une plume en oie. En haut de sa feuille était réalisé "A Tickle Test,cellule 219". D'une voie caverneuse, le gardien du fort explique son dessein...
Le gardien du fort : "En des temps lointains résonnait des cris stridents. Ces bruits provenaient de la souffrance des candidats qui disputaient nos épreuves. Pour gagner une nouvelle clé et repartir avec le trésor, ces voleurs étaient prêts à endurer les pires tourments inventés par nos soins et l'hôte de ces lieux : le Père Fouras. Poussé dans un élan de magnanimité, le Père Fouras ne supportait plus ces actes de tortures inutiles. Les combats dans la boue, les appels dans la cabine téléphonique où l'on vous déverse un torrent d'insectes, le saut dans le vide ? Ces épreuves sont-elles condamnées ?
[Rire gitural du gardien du fort]
Non bien sûr, elles seront mêmes complexifiées. Cependant une nouvelle épreuve va faire son entrée. Le Père Fouras et mon ordre étaient très peinés de ne voir se dessiner des sourires chez les candidats qu'au moment où nous perdions les épreuves. Nous voulons aussi partager leur bonheur... ou leur malheur. C'est ainsi que nous nous sommes plongés dans de vieux grimoires laissés par le précédent du Père Fouras. Un mystérieux mage ayant vécu des siècles plus tôt. Dans une liaison de parchemin était divulgué une information précieuse, une épreuve dont nous n'aurions même pas imaginé l'existence tant elle était enfantine. Au lieu de l'effort physique, de la concentration mentale ou du dépassement de ces peurs, ce jeu allait combiner ces trois facteurs. Vous vous demandez sans doute de quoi il s'agit ? Nous vous avons concocté une mise en pratique digne de ce que nous ferons subir aux candidats du fort. Bourreaux, faites les entrer.
Soudainement, la porte de la cellule s'ouvre. Deux femmes étaient menottées, accompagnées de prêt par un autre homme avec une tête de tigre. Les deux femmes étaient reconnaissables par les téléspectateurs. La première était nulle autre qu'Alexia Laroche-Joubert. Âgée d'une cinququantaine d'années, fine et blanche de peau, elle était la productrice du jeu de Fort Boyard. Vêtue d'une robe bleu ciel, elle portait de fines basket noire qui contrastait avec le reste de ses habitudes. Jambes nues, elle affichait un sourire crispée. À l'inverse, sa co-détenue essayait de s'accrocher à la porte, refusant d'entrer dans la cellule 219. Elle portait une tenue de dompteuse de tigres noirs et rouges, assertie de bottes noires qui remontaient jusqu'à ses genoux. Noir de peau, elle portait des boucles d'oreille en forme de demi-lune et avait ses cheveux bruns plaqués. Il s'agissait de Monique Angeon, alias Felindra.
Le gardien du fort : "Mes amies, vous entrez dans la cellule 219. Le principe de cette nouvelle épreuve consiste à rester le plus longtemps parmi nous. Chacunes d'entre vous possède une clepsydre qui nous permet de quantifier le temps de votre tourment. Parlons justement de ce tourment. Il consiste à ce que vous vous fassiez chatouiller sous les pieds jusqu'à ce que l'une d'entre vous n'en puisse plus. Il vous suffira de donner votre code, "rouge" ici et votre adversaire remportera l'épreuve Maintenant bourreaux, à votre œuvre.
Le bourreau s'exécute. Il a commencé par attacher Alexia Laroche-Joubert à une table médiévale, lui retirant uniquement ses paniers noirs et ses fines socquettes. La productrice de Fort Boyard ne parvenait plus à maintenir son sourire de façade. Ses chevilles étaient enserrées dans des anneaux métalliques. Ses soutiens-gorge étaient laissés libres mais ne pouvaient qu'effleurer au maximum la pointe de ses orteils. Quant à ses pieds, ils étaient blancs laiteux. Elle disposait de fins mais de longs orteils, sa plante de pied était douce au toucher. Sans verni, ses pieds avaient un charme fou bien rendu par la caméra.
Un autre bourreau est apparu pour aider le premier à positionner Felindra sur la table médiévale. La dompteuse de tigre essaya de résister mais la force combinée des deux hommes eut raison de sa volonté. Une fois ses chevilles enfoncées sur le bois, le bourreau lui retira ses bottes, laissant apparaître une pointure 41, noire ébène avec du vernis rouge foncé s'affirme à sa tenue. Sa plante de pied était singulièrement ridée, charnue et avec des orteils larges.
Puis, les deux bourreaux s'ouvrant une porte de placard et en sortant des plumes en oie, de l'huile pour bébé et des brosses à cheveux. À l'unisson, ils retrouvèrent les deux clepsydres en même temps et commencèrent à passer les plumes d'oie sous les pieds des deux femmes. Alexia Laroche-Joubert semble être celle qui manifestait le plus de réaction. Ses orteils bougeaient frénétiquement à chaque passage de la plume et elle ne mettait pas en attente sa respiration qui était de plus en plus saccadée. Quant à Felindra, à l'exception d'un regard foudroyant à la rencontre de son bourreau, aucune réaction n'émanait de son corps.
Les deux clepsydres se vidèrent pour un tiers avant que les hommes aux masques de tigre ne s'arrêtèrent brusquement. En lieu et place de plumes, ils se huilèrent les mains puis les passèrent vigoureusement sur les plantes de pieds des deux victimes. Si Alexia Laroche-Joubert est une nouvelle fois, Felindra reste impassible. À ce stade, son bourreau craignait de ne pouvoir rien tirer de la situation, risquant de mettre fin rapidement à la compétition avec Alexia Laroche-Joubert.
Roberta : "Oh non, ils auraient dû choisir une autre personne de fort Boyard, la vidéo perd de son intérêt".
Léa regardait davantage Roberta que la vidéo en elle-même. Elle notait comment Roberta avait des yeux pétillants depuis le début de l'épreuve et ne pouvait s'empêcher de penser que cette drôle de grand-mère semblait apprécier les chatouilles.
Roberta : 'Il faut qu'il lui passe les brosses sur les pieds, si cela n'a marche pas alors au moins nous en serons tout à fait".
Les deux bourreaux se regardèrent puis commencèrent à gratter les pieds des deux femmes. Alexia Laroche-Joubert ne mit pas longtemps avant de lâcher ses premières rires. Elle était très réceptive au niveau des orteils. Felindra restait toujours impassible, même si le bourreau notait quelques légers frémissements de sourcils de sa victime. Il prend alors l'initiative de chatouiller non pas le dessous mais le dessus des pieds. Cette action a eu pour conséquence immédiate de briser les nerfs de Felindra qui ria aux éclats, atteignant dans ce domaine la productrice de Fort Boyard. À ce stade les deux femmes ne parvenaient plus à résister. Les deux tiers des clepsydres s'égoutèrent alors, annonçant l'heure des brosses à cheveux. Le bourreau d'Alexandra Laroche-Joubert se mit alors à brosser les serres de la productrice, la poussant à verser plusieurs larmes de rire. Elle suppliait d'arrêter cette torture, qu'elle ne pouvait plus le supporter. Ainsi,lorsque le gardien des clés s'attarda davantage sur sa plante des pieds, la partie semblait être terminée. Cependant, à la surprise des spectateurs ce fut Felindra qui supplia d'arrêter et prononça le mot rouge. Son bourreau avait parfaitement compris que Monique Angeon parvenait à résister tant qu'il ne sortait pas des sentiers battus. Lui chatouiller le dessus du pied avait suffi à la faire rire aux éclats. Il décide donc de lui détacher les pieds puis de les tenir fermement avec son bras gauche tandis qu'il frottait simultanément les deux pieds de Felindra. La dompteuse de tigre faillit s'étouffer de rire devant cet assaut brutal et original. Au moment de prononcer le code, les chatouilles cessèrent et Alexia Laroche-Joubert fut déclarée vainqueur de cette épreuve. De gros plans filmèrent le visage des deux victimes dont le maquillage s'estompait avec leurs larmes de rire. Un message apparu en bas de la vidéo, indiquant aux spectateurs qu'ils pourront retrouver la nouvelle épreuve de la cellule 219 lors de la première émission prévue au début du mois de juillet 2025.
Roberta affichait un grand sourire, elle était impatiente de pouvoir observer une nouvelle séquence de cette épreuve. Elle se tourna alors vers Léa pour lui demander son avis sur le contenu de la vidéo mais s'aperçut que personne n'était à ses côtés. Brusquement elle sentit un léger contact sur son pied droit, puis un léger gratouillement sur son talon. Elle profite de ce court moment pour laisser échapper son rire, avant que Léa n'apparaisse au bout du lit. Les deux femmes se mirent d'accord pour regarder ensemble les épisodes de Fort Boyard cet été, toutes les deux ayant apprécié la présentation de la cellule 219.