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Je ne suis pas schizophrène… moi non plus

rijl

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Une petite histoire sans prétention que je suis encore en train d'ecrire...

A savoir, pour tout les francophones qui fréquentent ce forum, je voudrais juste vous informer qu'il existe une communauté francophone plus grande ( plus grande = plus d'abruti, de crétins, de gamins, de floodeurs ect... mais aussi plus de gens bien :) ) voila, pour ceux qui ne conaisse pas encore: www.ticklingfr.com







Je ne suis pas schizophrène… moi non plus


Chapitre1: Cellule 42




29 Décembre 1998... un matin très froid.
9h30
Elise est loin de profiter de l'insouciance de cette période de fêtes: c'est aujourd’hui qu'elle intègre la prison pour femmes de la région pour les 4ans à venir, peut être moins si tout ce passe bien... Pleine de remords, elle ne peu qu'essayer de ne pas ce laisser envahir par cet atroce sentiment de gachi qui avait même presque effacé celui d'injustice. A seulement 26 ans...Elle s'était enfoncé dans cette routine... et n'avais plus l'impression de "mal faire"... Mais cela avait mal tourné .Pourtant tellement d'individus s'en sortaient mieux qu'elle pour des crimes bien plus graves! Bref, peux importe! Elise c'était promit d'aller de l'avant, et de tout faire pour écourter son séjour et reprendre une vie "normale" de jeune femme. Malgré cela, elle ne pu s'empêcher de lâcher quelques larmes en pénétrant dans l' enceinte de l'établissement.
C’était un vieux bâtiment qui avait presque des allures moyenâgeuses. Elise s’amusa même quelques secondes à s’imaginer un donjon, et même pourquoi pas une salle de torture..Un peu de dérision ne lui faisait pas de mal.
Apres quelques formalités.. elle fut accompagner par une garde jusqu'a la grande salle principale de l'établissement.
Christa, travaillait ici comme gardienne depuis des années et elle allait même bientôt prendre ça retraite. Assez forte, les cheveux très clairs.. elle avait une vraie bouille de grand-mère. Exactement le cliché de la doyenne gentille, attentionnée et juste, mais qui sais ce montré ferme quand il le faut.
Elle donna quelque dernières indication à Elise, et lui indiqua la direction de sa cellule.

Elise commença a traverser la grande salle, dévisagée par quelque prisonnières, qui deux seconde plutôt étaient plongées dans des discutions et bavardages intenses.. mais qui laissèrent place à un silence malsain quand Elise arriva à leur hauteur. Elles lui lancèrent quelque regards provocateurs, et Elise qui n'était pas du tout du genre à se laisser faire s'arrêta leur faisant face. Juste au moment où elle allait prononcer un mot, elle senti qu’on lui saisi le bras, et le tira en arrière. Elle se retourna et vis une jeune fille plutôt jolie, surement d’origine orientale, qui l’entrainait avec elle un peu plus loin…
« Ne fais pas attention à elles! C’est un peu les caïds ici… elles s’en prennent souvent aux nouvelles. Jm’apelle sarah et toi ? »
Elise savait qu’elle devrait le plus vite possible se faire des amies dans ce milieu, elle sauta donc sur l’occasion, et elles commencerent a discuter…
Sarah lui dit : « il y a beaucoup de filles plutôt coriaces ici! évites de te faire embêter, tu risques de te faires des ennemies… surtout belle comme tu es, tu risque de faire des jalouses »
En effet, Elise était très jolies : grande et mince elle avait des cheveux brun mi-long qui couvraient de façon sensuelle un visage fin, et des yeux noisettes qui tiraient sur le vert.

Apres quelque bavardages.. sarah demanda malicieusement :
« Alors ils t’ont ranger où ? »
Elise répondit : « je dort dans la cellule n°42 »
Sarah eu presque un mouvement de recul, ecarquilla les yeux et semblait terrifiée:
« Quoi ? ils t’on mis avec elle ! et bien t’as vraiment pas de chance ma pauvre
-Pourquoi ? qu’est-ce qu’il y a là bas ? arrête de me regarder comme ça, tu me fais peur !
-ya déjà une fille dans cette piaule ! et elle est… »
A ce moment une voix retenti dans un haut parleur et fis sursauté Elise :
« Visite pour Sarah ! »
Sarah retrouva le sourire et lui dit : « jte laisse, jdois y aller, bon courage et à la prochaine. »
Une fois seule, Elise ne se sentais plus du tout rassurée…
« Et ben ! ça promet ! » pensa t’elle. »
Elle se rendit quand même, jusqu’à cette fameuse cellule 42.
Elle eu un peu d’apréhension avant d’y pénétrer, mais ce décida… de toute façon, elle n’était pas du genre à ce laisser impressioner

Dans la chambre il y avait deux lits superposés et sur celui du bas, elle vit une petite silhouette en train de lire, emmitouflée sous une grosse couette blanche
C’était une jeune fille, elle devait avoir au plus 22ans et était tres mignone :
Des cheveux mi-longs châtain-clairs mal attachés, une petite bouille d’ange et surtout des petit yeux bleu magnifiques.
Elle était assise les jambes croisées en tailleur ne laissant dépasser de ses pieds que deux petit talons tout rond et tous nus, la couverture epaisse posée sur ses épaules, elle était habillée assez légèrement
Elise fut perplexe ! Elle ne s’attendais pas à trouver une petite créature comme cela.
Elle lança un « salut »
La fille sursauta innocemment, et bondit hors du lit se tenant debout face a élise.
Elle était très fine, portait un petit débardeur mauve qui laissait apparaitre une silhouette élancée et un petit bidon à croquer. Un pantalon de pyjama qui semblait très doux,mais juste un peu trop large était posé sur ses hanches laissant aparaitre l’os gauche de son bassin, couvrait ses jambes et laissait dépasser deux petits pieds tout roses.
Une main dans le dos, l’autre remettant fébrilement ses cheveux en arrière elle dit :
« bonjours! moi c’est virginie, t’es nouvelle ? »
Elise encore étonnée de trouvé un petit ange quand elle s’attendait limite à rencontrer une camioneuse terrifiante, tatouée et grogneuse…se présenta en bafouillant.
Apres quelques politesses, virginie retourna se creuser un terrier sous sa couette et élise commença à installer ses affaires.
Elle se pencha pour ouvrir un sac laissant apparaitre le bas de son dos et sa taille..
Soudain elle senti deux petites main lui lacher quelque chatouilles très furtive de chaques cotés, ce qui la fit sursauté et pousser un cri.
Elle se retourna d’un coup : « pourquoi t’ as fais ça ?! »
Virginie toujours sous sa couette son livre entre les jambes ne semblait même pas avoir bougé…et ne répondis pas
Elise retourna alors dans ses affaires, pensant : « et ben tu parle de familiarités ! on se connait a peine et elle me chatouille déjà… elle n’a vraiment pas l’air si terrible que ça, on dirait une gamine»
Mais a peine 10 seconde plus tard, élise senti a nouveaux deux mains lui saisir les côtes et les gratouiller un tout petit peu moins furtivement que précédement.
Prise au jeux elle essaya de se retourner encore plus vite pour la surprendre en criant : « hééé ! arrete jsuis tres chatouilleuse ! », mais une fois son demi tours effectué, elle se rendit compte que cette fois ci elle était seule dans la cellule, virginie semblait avoir filé plus vite que l’éclair, élise n’en revenait pas.
En tout cas.. elle n’aurait jamais pensé se livrer à des enfantillage en prison… « plutôt sympa comme ambiance pour contraster avec l’acceuil moin chaleureux de tout a l’heure » se dit t’elle.

12h30
L’heure du repas, Elise n’avait pas revu virginie depuis ce matin, mais son souci imédiat était de vite retrouver sarah, pour ne pas avoir à manger seule, au milieu des quelques brutes qui s’entassent dans la cantine.
C’est sarah qui vint a elle et les deux nouvelles amies s’instalèrent a table.
Elle discutèrent et élise en vint rapidement a virginie :
« et ben alors ?! elle est pas si terrible que ça ma camarade de chambre ! c’est qu’une gamine… »
Sarah angoissée : « Oh… c’est vrai, tu es avec elle ! mais ne te fis pas aux apparences, c’est un vrai monstre !
- quoi ?! mais qu’est-ce qu’elle a de spéciale ?
- et bien je sais que ça à l’air stupide.. mais elle adore.. euh … chatouiller les gens.
- A ben ça j’avais remarqué ! mais ça va je vais y survivre je crois… Hé ! tu ma fais peur pour rien après tout ! tu profite que je sois nouvelle, c’est pas gentil !
- Non non, jte jure,elle ma dejà attaqué, c’était horrible ! Et ya plein de rumeurs qui tournent autours d’elle.. il parait qu’elle est ici pour homicide volontaire !
- Hein ?! cette gamine aurait tué quelqu’un ?! ah non jveu pas croire ça !
- Il parait qu’elle l’aurait tué… comme ça justement.. enfin tu vois… mourir de rire…
- Quoi ?! qu’est ce que tu me raconte ? tu veux dire qu’elle l’aurait chatouillée a mort ?! HAHA mais c’est complètement stupide ! C’est ridicule !!!
 
Chapitre 2 : Vorace!


29 Décembre 1998
13H30
Repas terminé…élise profite de l’après midi pour visiter la prison, sarah lui montrant les différentes activités a disposition…les coins mal famés a éviter, les personnes a côtoyer…Puis en milieu d’après midi, elle retourne a sa cellule, d’un pas pressé, bien décidée a mettre fin aux mystère « cellule 42 », tous cela ne tien pas debout !
Soudain une voix agressive l’interrompt, « hé toi ! tu va où comme ça ?»
Elise se retourne, une femme plutôt forte, environ la quarantaine, cheveux court presque roux avec une cicatrice sur le visage et entouré de quelques potiches en train de pouffer de rire venait de l’interpeler. Dans un premier temps, élise pensa ne pas y preter attention se remémorant les conseils de sarah… elle allait repartir quand la voix claqua une deuxième fois : « hé ! t’es sourde ou quoi ? on dirait que t’as peur ! viens voir par ici! »
Elise céda, résolu a ne pas se laisser marcher sur les pieds! Elle rejoint le petit groupe :
« c’est quoi le probleme ?! » lança t’elle
« oooooh mais y a pas de probleme ! du moment que tu fais ce qu’on te dit !
- Qu’est-ce que vous voulez ? repondit t- elle sèchement
- T’es nouvelle ici ! si tu veu pas avoir de problèmes, tu vas devoir faire des trucs pour nous ! dit t’elle d’un ton menaçant
- Quels genre de trucs ?
- Demain soir ya un cadeau qui va tombé prêt du mur dans la cours éxterieur, va falloir que t’aille le chercher…
- Pas question jveu pas etre mélée a vos histoires !
- Hé ! j’ai pas l’impression que t’ais compris que t’avais pas le choix ! repondit la femme en lui saisisant le visage d’une main… t’as un jolis pti visage, ça serait dommage qu’il finisse abimé comme le mien tu crois pas ?!
Elise dégagea le bras de cette femme d’un coup et une bagare eclata !
Très vite le chahutage attira l’attention, et les gardes et gardiennes se précipitèrent dans le tas pour séparer tout le monde… des sirènes retentirent obligeant toutes les prisonnières à rejoindre leur cellules…C’était la procédure habituelle en cas de violences…
Séparée par des gardes, élise et son adversaire étaient éloignées l’une de l’autre, tandis que la femme criait : « Tu me paieras ça! De toute façon tu ‘es dans la cellule 42 ! on aura même pas à s’occuper de toi! Elle le fera très bien! » puis son visage balafré d’un sourire sadique disparu sous les vagues de gardiens…

Elise marchait en direction de sa cellule, cette fois ci forcée par la sirène et le flot de prisonnières qui regagnaient respectivement les leurs…
« Cela ne pouvait pas plus mal se passer ! premier jours et déjà une bagarre ! » pensa t’elle…en essayant de se retenir de pleurer. Elle avait beau être forte mentalement, elle n’en fut quand même pas moins impressionée.
Mais elle se changea vite les idées en repensant à sa camarade de cellule :
« je vais directement m’adresser a elle et enfin mettre au clair toute cette histoire stupide »
Et puis élise pensa que de toute façon elle se sentirait bien plus en sécurité et détendue dans l’ambiance infantile qui régnait dans ça cellule.
Elle se surprit même a être quelque peu excité par l’idée de jouer a se chatouiller avec ça petite camarade… elle trouvait cela un peu étrange, mais au moins ça la ferait bien déstresser
Mais soudain elle fit le rapprochement avec ce que venait de lui dire son agresseur !
Comment une femme aussi brutale et violente pouvait elle aussi a ce point se méfier de cette cellule 42 ?!
Comment une petite choses innocente comme celle qu’elle avait vu ce matin avait pu lui inspirer un sourire sadique ?!
Tous cela ne la rassurait pas du tout… et finalement dans les derniers mètres avant ca cellule, l’excitation se transforma vite en appréhension puis en début de peur…

Elise pénétra dans ca cellule, juste avant que ça porte ne se referme automatiquement, et s’apprêtait à se confronter à virginie et lui demandé des explications.
Elle n’était pas là !
Elise fut stupéfaite de voir que ça cellule était vide.
« ce n’est pas possible ! la vielle Christa avais pourtant bien insisté ! toutes les prisonnières doivent impérativement rejoindre leur cellule quand retenti la sirène ! »
Trop d’émotion et d’interrogations, élise décida de se mettre a l’aise, elle enfila un petit pyjama se coucha, et ne tarda pas a s’endormir…

19h25
Elise se réveillait doucement, émergeant et ouvrant lentement les yeux…
Elle s’était couché dans le lit du haut, ne sachant pas si ça camarade tenait vraiment a garder la place de ce matin..
Un de ses pieds nus dépassait du lit et pendait dans le vide…
Elle senti une présence, mais mis quelque seconde avant de comprendre que c’était la petite virginie qui en dessous d’elle avait le visage presque collé a plante de son pied.
Elle s’emblait observer son pieds depuis longtemps sans y toucher.. Mais par reflexe, élise le retira vite avant qu’elle n’essaye de la chatouiller.
« Et ben alors ! tu était passée où tout à l’heure ? » demanda élise intrigué
« tu a des pieds très chatouilleux ! » répondit virginie comme si elle n’avait pas entendu la question
« hein ? quoi ? qu’est ce que tu racontes ?... comment tu peu savoir ça tu n’y a même pas toucher ?!
- Je peu sentir ces choses là tu sais»
Virginie la fixait avec un regard troublant, ce genre de regard qui semble vous transpercer et lire dans vos pensée les plus intimes…Ses yeux était définitivement très beaux se dit élise, qui, gênée, ne su pas quoi répondre..
Et cette petite lui paraissait vraiment de plus en plus étrange !
« revenons en aux choses sérieuses » dit élise en se redressant et s’asseyant
« je peu te poser une question plutôt indiscrète ? ajouta t’elle
- oui vas y
- pourquoi es tu ici toi ? tu es si jeune, je me demandais…
»
Virginie fit rouler ses yeux avant de les coincer le coin supérieur gauche avec une espièglerie qui aurait fait bafouiller bien des hommes
D’ailleurs l’un de ses yeux était très l’égerment excentré… ce qui lui donnait cette petite touche de folie supplémentaire qui aurait fini d’achever quelques hommes et de briser les jambes de quelque autres encore…
Durant cette instant de grâce elle ouvrit légèrement les lèvres et dis timidement :
« oooh et bien on ma souvent reproché d’être trop… Vorace ! »
 
Chapitre 3 : Chat


29 décembre 1998
19H30
Vorace ?! Qui avait bien pu qualifier un petit être pareil de vorace ? Cette fille respirait l’innocence, et son aspect un poil négligé, semblait avoir été posé là volontairement juste pour parfaire son charme…
Elise comprenait de moins en moins ce qui se passait… En tout cas il lui semblait bien que la « voracité » n’avait rien à voir avec les chatouilles… cela ne voulait rien dire, et toutes ces rumeurs lui paraissaient vraiment ridicules et infondées !
Elle voulait en savoir plus : « comment ça vorace ? explique toi…on ne t’a quand même pas enfermé parce que tu mangeait trop ?! surtout vu ta corpulence… » dit élise presque amusée…
Virginie fit de nouveaux rouler ses yeux avec un air gênée, ne répondit pas et bondit se réfugier sous sa couverture comme une petite autruche.
« Décidément c’est vraiment une gamine ! mais qu’est-ce qu’elle fiche ici ? se demanda élise.
Elle décida de faire avancer les choses, et voulait s’amuser un peu pour alléger cette journée forte en émotions. Elle se jeta hors de son lit et se rapprocha de cette petite bosse de chameaux qui gigotait légèrement, formée par la couverture qui recouvrait virginie. Ses deux petites fesses toute rondes, qui pointaient en l’air dépassaient à peine de la couette, et étaient tellement craquantes qu’elles enlevèrent toute honte à élise de retomber elle aussi en enfance quelque instants…
Ainsi, elle approcha ses deux mains, et du bout de des ongles pinça très légèrement chacune des deux petites « popommes » comme elle aurait voulu les appeler.
Ceci eu un effet fulgurant ! Virginie bondit d’un coup en poussant un cri aigu et retomba en s’aplatissant comme une crêpe, toujours partiellement recouverte par la couette. Elise ria et dit : « héhé ! ben alors ! toi aussi tu as l’air bien chatouilleuse ! » Elle vint s’asseoir sur le lit a coté de virginie, persuadée que celle-ci allait lui sauter dessus pour se venger. Elle plaça ses pieds juste à coté de la petite bouille de sa camarade par provocation, s’apprêtant à être chahutée…
Mais contre toute attente… elle ne réagis pas. Elle regardait paisiblement dans le vide et semblait se délecter de quelque pensée imperceptibles… comme si elle attendait quelque chose. Ceci, sans même prêter attention aux deux pieds qui lui étaient offerts, comme si elle avait déjà été rassasiée, ou qu’elle savait qu’elle en aurait bientôt l’occasion. Toute la soirée, élise tenta par diverses petites provocation de réveiller ou déclencher la « voracité » de sa camarade, mais celle-ci restait impassible et ne semblait ne jamais réagir à ses attaques…On aurait dit que l’espace de quelque instant, elle avait retrouvé l’âge de raison… Elise se demanda ce qui avait bien pu provoquer ce changement. Pendant cette soirée, élise pu néanmoins avoir quelques discutions plus sérieuse avec virginie, et découvrit quelques aspects plus communs de sa personnalité.
Ses passions : littérature, musique… ses gouts.. etc. En dehors de son aspect gamin, virginie semblait être une fille sensible et profonde… Elle restèrent à discuter de tout et de rien.. mais vers 22H15, élise exténuer, décida de se coucher… néanmoins soulagé et rassurée de s’être trouvé une petite camarade pas si terrible que ça.

00H01
Elise mis plusieurs longues secondes avant de comprendre que ce qui était en train de doucement la réveiller, et qu’elle prenait pour un petit chat lui léchouillant le bout du nez, n’était autre que Virginie.
« Hé !!! noooon ! pas maintenant virginie, c’est plus l’heure de jouer ! retourne te coucher ptite peste ! » dit t’elle un tout petit peu agacée, mais encore trop embrumée pour paraitre en colère.
Soudain elle s’aperçue qu’elle était complètement entravée ! Allongée sur le ventre, élise étaient complètement enroulé dans sa couette blanche, avec uniquement là tète est ses pieds qui en dépassaient à chaque extrémités…Elle se sentait vraiment saucissonée…
« Virginie ?! qu’est-ce qui se passe ? qu’est-ce que tu fais là ?! »
Sans répondre virginie disparue, et élise senti immédiatement une de ses deux grosses chaussettes blanches qu’elle avait mise pour la nuit, glisser lentement mais surement le long de son pied…
« Hé ! nooon ! virginie arrete ! c’est vraiment pas le moment pour ça ! » grogna élise cette fois de façon un peu plus farouche.
Mais elle sentie aussitôt sa deuxième chaussette glisser elle aussi inexorablement, laissant apparaitre deux très beau pieds long et plutôt fin, parfaitement proportionnés. La peau blanche de ses plantes semblait infiniment sensible et ses orteils déjà apeurés, tentaient tant bien que mal de se protéger en se recroquevillant. A vu d’oeil élise devait chausser du 40, en tout cas, virginie se trompait rarement pour se genre de choses.
« Virginie ! nooon pas les pieds ! ça suffit maintenant ! je rigole plus ! tu avais raison tout à l’heure jsuis très chatouilleuse des pieds ! alors calme toi, on va réveillé tout le monde si tu continue ! on jouera plus tard ! »
Virginie réapparue d’un coup devant le visage de élise, ce qui l’a surprit… Mais ce n’était rien face à la stupéfaction qu’elle eu quand elle remarqua l’expression qui se dessinait sur le visage de virginie ! Elle ne savait pas bien si c’était l’obscurité qui lui donnait cette impression, mais virginie n’avais plus rien du petit ange qu’elle avait vu jusqu’à maintenant ! Un sourire sadique, presque démentiel et un regard terrifiant, lui donnait une allure de démon !
Sans perdre de temps, virginie enfourna violement les deux chaussettes dans la bouche d’élise, la bâillonnant ainsi efficacement! Mais l’obligeant aussi à profiter du parfum de ses propre pieds.
Elise n’aimait pas du tout la tournure que prenait les choses, et poussa un long gémissent de réprobation, parfaitement étouffé par les chaussettes. Cette fois elle se fâcha, et essaya de se libérer. Elle se dit qu’elle n’aurait qu’à se faire rouler sur le coté, puisque rien n’enserrait la couverture. En effet, on aurait jamais laissé une prisonnière s’amuser avec des cordes ou quelque objet dangereux.. Mais avant qu’elle n’ait eu le temps de réagir, elle senti virginie s’allonger sur son dos dans le sens inverse, c'est-à-dire avec sa tête parfaitement positionnée au dessus de ses deux pieds nus tout à fait vulnérable. Elle tenta de la faire basculer, mais les bras et les jambes de virginie vinrent la ceinturé avec une force incroyable ! complètement immobilisée, élise ne comprenait pas comment ce petit être frêle arrivait à la maintenir de cette façon. Elle se mit à paniquer et tentait désespérément de gigoter et de gémir, mais la force presque surnaturelle qui l’enserrait s’intensifiait de plus en plus.
La couverture, ses chaussettes en guise de baillon,Virginie fortement aggripée, les murs de sa cellule, l'enceinte de la prison, l'obscurité de la nuit, le silence pesant... toute ses couches et surcouches d'emprisonnement vinrent augmenter ses sentiments de contrainte, de vulnérabilité et d'isolemenent... et au final intensifier son apréhension!
Soudain elle senti le souffle chaud du petit démon envahir la plante de ses pieds ! Ceci la paralysa d’un coup et elle laissa échapper un long gémissement teinté d’inquiétude et de peur.
Une expiration , puis une autre, et encore une autre ! chaque expiration qui venait se répandre sur ses plantes et se glissée entre chacun de ses orteils se faisant de plus en plus oppressante! A chaque souffle, les pieds d’élise semblait trembler de terreur, ses orteils se crispaient aussi fort qu’ils le pouvaient, et elle-même semblait complètement terrorisée. Il faut dire qu’une ambiance malsaine et presque irréelle semblait se dégager de virginie, et emplir la pièce. Ce moment d’une intensité rare semblait durer une éternité, chaque souffle paraissait rendre les pieds maintenant transpirant d’élise, de plus en plus sensibles. Chaque souffle lui apportait un peu plus d’appréhension, et n’en finissait pas de la terroriser. Elise finie par redouter plus que tout le moment destructeur qui viendrait mettre fin à cet interminable angoisse, mais qui serait surement tellement intense qu’il l’achèverait ! Elle n’avais jamais eu aussi peur, ne s’était jamais senti aussi effrayée, et ne comprenait d’ailleurs pas ce qui la poussait dans de telle retranchements. Elle ne pouvais pas voir virginie, mais s’imaginait très bien sont regard bestial lui dévorer ses deux pieds qui devait lui paraître des plus appétissant…
Le souffle continuait encore et encore de cuir ses deux pieds dans un bouillon de terreur, chaque expirations la…..

00H06
Le premier coup de langue tomba !
Il tomba précisément à la jointure entre les orteils et la plante de son pied droit et remonta jusqu’au creux entre ses trois orteils du milieu.
Elise sembla explosé, ses yeux s’écarquillant tellement qu’il donnèrent l’impression de vouloir sortir de leurs orbites, mais aucun sont ne sortit de sa bouche.
Un deuxième coup de langue toujours sur le même pied, légèrement décalé, se fit rapidement suivre d’un troisième, puis d’un quatrième, un cinquième… leur cadence semblant augmentée de façon exponentielle, ne laissant pas à élise le temps de comprendre ce qui lui arrivait.
Il lui en fallu une bonne vingtaine avant de lâcher un long hurlement terrible, heureusement atténué par le bâillon, mais qui vint parfaire son explosion. Puis la machine se mit en route !
Alors que la langue de virginie continuait de s’acharner sur son pieds droit, élise se mit à la manière d’une locomotive, à rire, puis rire de plus en plus fort, jusqu’à éclater de rire…
Puis virginie attaqua de la même manière son pied gauche, cette fois ci de façon plus centré sur la plante. Les rires d’élise commençait doucement, à se rapprocher du hurlement… tandis que les coup de langue se faisait de plus en plus rapides. Virginie commença à alterner et faire varier ses techniques d’attaques : parfois des centaines de petit coup de langue semblait mitrailler de la pointe les plantes tendres et moelleuse d’élise, alors que de longue léchouille râpeuse remontait de la base de son talon jusqu'à celle des orteil le tout en changeant régulièrement de pied. Pendant qu’élise semblait devenir complètement folle entremêlant rires, gémissements et hurlements.. virginie elle paraissait impassible et dévorait ces deux beaux petit pieds de façon presque mécanique. Exactement à la manière d’un petit chat affamé qui engloutirait sa gamelle de lait.
C’était tout a fait ça, l’aspect démoniaque avait presque quitté virginie, pour laissé place à une apparence quasi animale. D’ailleurs, de part sa finesse, son espièglerie, et son mystère, quiconque tenterait de comparer ou de s’imaginer virginie en animal, le ferais et serais même tenu de le faire à l’image d’un petit chat !
Chaque coup de langue, chaque léchouille, venaient frapper inexorablement la peau tendre d’élise, y arrachant à chaque fois quelque parcelles de sensibilité, ne manquant pas aussi d’emporter quelque fragment de sa raison. En effet, élise avait surement déjà atteint le stade de la folie. Jamais elle n’aurait pensé être aussi chatouilleuse et sensible des pieds! Cela lui paraissait même, surnaturel. Etait-ce sa sensibilité qui atteignait des niveaux improbables ? ou bien était-ce la « Voracité » de virginie qui lui faisait perdre la tête ?!
Oui ! la Voracité ! cette fois élise avait bien compris ce que cela signifiait ! Et si elle était capable de se concentrer sur une idée, elle regretterait surement de ne pas avoir prêter plus attention aux conseils de sarah. Mais pour le moment élise devait surement être le symbole même de la souffrance. Elle ressemblait à un petit asticot se tordant et se tortillant vainement, en train d’agoniser sous les rires et les hurlement. Ses rires l’avait même dejà poussée aux larmes depuis longtemps… En effet cette petite séance semblait s’éterniser, comme c’est toujours le cas dans ce genre de moments.
Parfois la petite langue de chat se transformait en langue de serpent et semblait pouvoir se faufiler au plus profond de ses orteils, lui arrachant encore quelque cris de terreur.
Parfois virginie gobait quelque petits orteils, voire tous a la fois, pour les mordiller et les enrouler de coup de langue dévastateurs. Elle semblait adorer par-dessus tout sentir les petit orteils d’élise gigoter et frémir dans sa bouche !
Dans ces moment là, élise elle semblait supplier au milieu des rires et des cris, et les rares fois où elle ouvrait les yeux, un regard implorant se perdait dans l’obscurité…
 
Last edited:
Chapitre 4 : Douche froide

30 décembre 1998
11H24
Elise s’éveillait doucement et paisiblement…
Soudain elle fut frappée par une série de flashs et d’images de l’atroce nuit qu’elle venait de passé, et qui pendant un peu plus d’une seconde semblaient lui désintégrer l’esprit. Elle se redressa d’un coup en sursaut, s’assit les jambes repliées sur le coté, et eu pour premier réflexe, celui de se protéger la plante des pieds avec la main. Elle mit encore quelque secondes avant de comprendre qu’elle était toute seule, et plus en danger. Elle garda néanmoins sa main sur ses plantes, les caressant et les massant doucement, encore trop choquée par se qui venait de lui arriver. Elise semblait complètement perdue.. et resta deux bonne minutes complètement hébétée, assise la bouche ouverte, a ne penser a rien et à regarder dans le vide. Puis elle se mit avec angoisse à se remémorer lentement tous les détails de cette nuit infernale, ressentant presque encore l’horrible démangeaison sous ses pieds…Tout cela lui semblait tellement irréel ! Elle était persuadée de ne pas avoir rêvé, mais avait encore du mal à y croire. C’était impossible! Comment des chatouilles… un jeu pourtant si anodin… comment arriver à en faire une telle torture ?! Elise n’aurait jamais cru un jour que des chatouilles puissent prendre de telles proportions et atteindre de tels sommets ! Elle n’aurait jamais cru associer l’idée de chatouilles à celle de la souffrance. Comme n’importe qu’elle gamine, elle s’en était souvent amusée durant sa jeunesse, mais désormais, le simple fait d’y penser ou de l’évoquer provoquerait chez elles une crise d’angoisse.
Au bout d’une demi-heure, élise arrêta temporairement de se tordre l’esprit, et décida de se laver et s’habiller rapidement pour ne pas rater l’heure du repas.
A la cantine, Virginie n’était pas là…elle ne l’était pas souvent d’ailleurs, comme si elle semblait se rassasier d’autre chose… Elise retrouva vite Sarah, et la pressa à table :
« vite il faut que je te parle !
- hé du calme ! tu as l’air complètement affolée qu’est ce qui t’arrive ?
- C’était atroce ! tu avais raison, mais c’était atroce ! vraiment horrible…
- Elle s’en ai prise à toi c’est ça ?! répondit Sarah très inquiète
- Sarah, jsuis désolé de pas t’avoir prise au sérieux ! mais jt’en supplie ! faut que tu me sorte de là ! jveu pas y retourner ! pas une seconde fois… j’ai trop peur» Elise avait un regard implorant et serrait les mains de sarah dans les siennes
Sarah d’un regard compatissant lui dit :
« Ecoute, je comprend, et j’aimerait vraiment t’aider, mais jpeu pas faire grand choses pour toi. Mais il faut que tu aille te plaindre, va voir Christa ! dit lui tout ! c’est un peu la chef des gardiennes ici… elle pourra faire remonter tous ça plus haut ! c’est la meilleur façon de mettre fin a tous ceci à mon avis ! en plus c’est elle qui décide et gère la répartition, elle pourra surement te changer de cellule !
- oooh ! merci répondit élise, retrouvant une lueur d’espoir
- Attend, avant il faut que je t’avoue un truc….dit sarah un peu génée. »
Elise inquiète :
« Quoi ? qu’est ce qui ce passe ici ? explique moi tout jt’en supplit !
- En fait… tu as eu de la chance !
- Hein ?! comment tu peu dire ça ?
- Ya eu deux filles avant toi…deux fille dans la cellule 42… et toutes deux sont mortes chacune à leur tours !
- QUOI ?! oh nooon ! c’est horrible ! pourquoi personne na rien fait ?! dit Elise affolée et se retenant du mieux qu’elle pouvait de pleurer
- Les deux ont été retrouvées morte d’arrêt cardiaque ou d’épuisement… Pour la première, personne n’a soupçonné virginie.. et rien ne laissait croire qu’elle avait quelque chose à voir avec ça après tout… Pour la seconde, ça commençait vraiment à faire trop ! et des soupçons ont tous de suite pesé sur elle, mais on a jamais retrouvé aucune preuves, et si elle s’y prend comme tu sais… tu comprends bien pourquoi…C’est pour cela qu’on a pas pu la mettre en isolement… ya déjà bien trop de brutes violentes la bas, et a mon avis ils ont pas voulu ce risquer à mettre une gamine sur laquelle on à juste des soupçons, a la place d’une folle furieuse avérée, et de relacher celle-ci dans la nature..enfin parmi nous quoi. Mais apres ça ils ont toujours évité de mettre quelqu’un avec elle, ils l’ont laissé seule le plus possible… je ne sais pas ce qui c’est passé. Je comprend pas pourquoi ils t’on mise la bas, et c’est pour ça que j’ai eu l’air si choquée la première fois… faut vraiment que t’aille voir christa ! renseigne toi, demande ce qui ce passe, fais toi transférer.. Tu à bien vu qu’elle était plutôt gentille, elle saura t’aider j’en suis sure.
- Oui !... oui ! tu as raison, jvais y aller le plus vite possible ! » dit Elise toujours aussi affolée.

12H45
Elise, qui avait englouti son repas au plus vite, voulu se dépêcher d’aller trouver Christa… Mais soudain, une dispute , qui se transforma vite en bagarre, éclata au milieu de la cantine, entre deux petites bandes rivales…La sirène se mit vite à retentir, accompagné de son flot de gardien, obligeant toutes les prisonnières à regagner leurs cellules…
« Oh noooon ! pas ça ! c’est vraiment pas le moment ! » pleurnicha élise.
Elle tentait désespérément de repérer Christa au milieu des gardiens, alors que le troupeau de prisonnières avançait inexorablement vers les cellules… Par chance, elle l’aperçue rapidement, et se rapprocha d’elle. Elle l’interpella : « Christa ! je dois absolument vous parlez immédiatement c’est important !
- pas maintenant ! tu vois bien qu’on est débordés ! répondit t’elle légerement agacée
- Mais c’est très important ! s’il vous plais ! c’est urgent…
- Ecoute, tu ferais mieux de retourner à ta cellule ! dépêche toi ! »
- Mais… »
Trop tard ! élise venait de se faire repousser juste un peu trop loin pour qu’elle puisse continuer cette conversation, par la foule de gardiens et de prisonnières….
Désespérée, elle commença elle aussi à se diriger vers sa cellule, en pleurant…
Arrivée juste à l’entrée, elle était morte de trouille, et redoutait vraiment d’y pénétrer et d’être à nouveau confronté à virginie… En deux jours, c’était la deuxième fois qu’elle avait cette sensation, à la vue de sa cellule… pourtant elle se demandait si elle ne préférait pas la première fois, où elle s’attendait à rencontrer une grosse brute, dans le genre de celle avec qui elle s’était battue…Elle attendit vraiment le dernier moment, où les portes allaient se refermer automatiquement… et y pénétra en fermant les yeux.
Quand elle les ouvrit, elle eu une fois de plus la stupéfaction et surtout le soulagement de voir que ça cellule était à nouveau vide! Elle ne comprenait pas ce qui se passait… mais ce n’était pas important ! elle savourait trop sa libération et son soulagement.
Pourtant, tous cela n’était vraiment pas normal ! Cela faisait déjà deux fois que virginie n’était pas là, alors que l’alarme avait retentie… pourtant les règles strictes de l’établissement était plutôt bien appliquée par les gardiens…Qu’est ce qui lui permettait à chaque fois d’être absente ?!

13h57
Les esprits s’étant calmés… tout le monde pouvait à nouveau déambuler dans la prison. Elise, sans perdre de temps se dépêcha d’aller trouver Christa :
« Alors, qu’avais tu de si important à me dire ? » demanda la doyenne, très patiente…
Christa avait tout de la mémère poule : un instinct maternelle semblait se dégager d’elle envers les prisonnières… et on ne pouvait que lui faire confiance !
« Je vous en supplie ! il faut absolument que je change de cellule ! implora Elise.
- Tu sais, c’est pas facile pour nous en ce moment, on est vraiment plein et je ne sais plus quoi faire de vous, ni ou vous mettre.. Cela ne se fait pas comme ça tu comprend.. si tout le monde pouvait changer n’importe quand, ça serait l’anarchie, c’est pour cela qu’il faut de bonnes raisons!
- De bonnes raisons ?! oh mais j’en ai de bonne raisons ! ça oui ! Je ne peu absolument pas rester avec Virginie … Elle va me tuer !
- Te tuer ? c’est une accusation grave tu sais ! si tu te fie aux rumeurs stupides qui courts après là mort des deux précédentes, je ne peu que te conseiller de…
- Non, elle ma attaquer ! interrompit élise
- Tu veux dire qu’elle ta agresser physiquement ?
- Oui ! enfin… c'est-à-dire… elle ma chatouiller…
- Elle ta quoi ? qu’est ce que tu raconte ? c’est quoi ces bêtises ?!
- Je sais que ça a l’air stupide, mais je vous en supplie ! c’est sérieux ! elle est très dangereuse quand elle se met à chatouiller…
- Allons ! c’est pas sérieux tout ça ! tu me fait perdre mon temps pour des inepties ! Tu ferais mieux d’oublier ces rumeurs idiotes ! protesta Christa
- Mais…
- Ca suffit ! va t’en j’en ai assez entendu !
Elise n’en revenait pas… Elle n’avait encore jamais vu Christa énervée… et bien que son histoire pouvait sembler extravagante, elle s’étonna que le ton soit monté aussi vite…
Elle repartie désespérée au bord des larmes.


14h05
Elise désormais seule face a son destin, parti se réfugier auprès de Sarah, En attendant le moment fatidique ou elle devrait rentrer à sa cellule avant le couvre feu, et retrouver virginie…
« J’ai l’impression de vivre un cauchemar ! Christa n’a rien voulu entendre »
Presque bouleversée de voir élise dans cet état, Sarah commençait à se remémorer avec effroi ce qu’elle avait elle-même vécue :
« Tu sais, moi aussi j’ai failli y passer.. et j’ai vu à quel point c’était horrible, je te comprend parfaitement ! et je serrais toujours là pour te soutenir !
- Merci Sarah !
- Cela est arrivé aussi à quelque amies, mais on à jamais osé en parlé…on avait nous aussi peur de ne pas être prises au sérieux…
- Si ça te dérange, t’es pas obligé de me raconter tu sais..
- J’y tien ! ça me fait du bien de me confier moi aussi… C’était il ya deux ans, bien avant que des rumeurs cours sur elle… Elle venait d’ailleur d’intégrer la prison, et devait à peine avoir 18ans… Bien sur à l’epoque je ne me méfiait pas du tout d’elle.. tu vois bien comment elle est.. impossible de se douter de quelque chose.. J’était dans les douches communes, et avec la vapeur ambiante, et le bruit, je ne l’ai pas senti s’approcher… je ne l’ai remarqué qu’une fois très proche de moi, ce qui m’a fait sursauter… Elle me regardait avec admiration, ça petite bouille et ses yeux troublant dirigés en l’air vers moi. Elle était tres jolies toute nue : Des petits seins rond parfait, une taille très fine, des petites jambes pointues… un vrai petit ange ! Quand je l’ai vu me scruter comme ça… j’ai pas fait attention, j’était trop attendrit par son regard ! Puis elle a tendu la main, et posa le bout de son index, sans rien dire, juste sous mes côtes, a là jointure avec mon abdomen… comme si elle avait deviné juste en m’observant, mon point le plus sensible ! Mais elle n’a rien fait a ce moment là.. Je continuais de me laver, et elle restait là, à m’observer… Puis à un moment jme suis retournée, et elle en a profité pour se jeter sur moi par derrière ! elle ma carrément grimpé dessus en s’agrippant à mon dos! Elle ma ceinturée avec ses jambes, et à passé chacun de ses bras par-dessus mes epaules et les a descendu en les croisant devant ma poitrine… chacune de ses mains arrivait donc parfaitement à la bases de mes cotes, a l’endroit même qu’elle semblait avoir marqué. Elle était vraiment légère, mais bien agrippée impossible de la dégager! c’est à se moment là qu’elle a planter ses dix doigts dans ma peau, et à commencer à les gesticuler ! j’ai tout de suite exploser de rire, jsuis vraiment chatouilleuse à cet endroit là ! Et elle, cela semblait vraiment l’amuser.. elle riait comme une petite gamine.. mais j’ai fini par glisser sur le sol mouiller et je suis tombée..elle à juste eu le temps de sauter sur le sol sans se faire mal, diablement agile cette petite ! J’ai commencé a m’énerver, mais alors que j’était encore au sol, a plat ventre, j’ai senti une de mes cheville se faire agripper, et elle à commencée à me trainer en arrière avec une force incroyable ! j’’essayait de voir où elle m’emmenait en regardant dans sa direction, et là elle ma terrifié ! elle avait complètement changé ! on aurait dit une bête ! elle ma trainé jusqu’à un petit placard à balai sombre… elle s’est réfugié dedans juste avec mon pied, le reste de mon corps trainait en dehors…se qui fait que je ne la voyais plus, ni elle, ni mon pied pris en otage. J’étais terrorisée ! et là j’ai senti tout son petit corps s’agripper à ma jambe et elle a commencé à me dévorer le pied en le léchouillant et le mordillant.. je me suis mise à hurler. C’était vraiment horrible ! on aurait dit qu’elle avait rendu mes pieds encore plus sensibles que mes cotes ! j’ai cru que j’allais mourir ! Elle était super forte ! j’avais beau essayer d’arracher ma jambe.. pas moyen ! Heureusement, mes cris ont alerter d’autre filles, et quand elles sont arrivée, ma jambe s’est libérée. Puis elle sont aller voir dans le placard, mais elle avait disparue…


12H55
La bagarre vient d’être maitrisée.. et toute les prisonnières ont regagné leurs cellules..
« Alors, ton nouveau petit jouet te plait ? demanda Christa à virginie
- Oui c’est parfait ! je l’adore ! on s’est bien amusé…
- Qu’est ce qui c’est passé cette nuit ? ya eu un problème ? pourquoi elle est pas morte ?
- Non, pas de problème… Monsieur Clown a voulu la tuer… mais c’est moi, je l’ai empêché…
- Pourquoi tu l’a empêché ? je croyais que se que faisait « monsieur Clown t’amusait aussi…
- C’est vrai, j’aime bien quand je suis monsieur Clown… mais c’était la première fois !
- Quoi donc ?
- Elle ma chatouillé avant ! avant Mr clown.. c’était la première fois qu’on me chatouille ! Et je crois…je crois…

Que j’ai aimé ça ! »
 
Chapitre 0 : Adam

Extrait du rapport n°1742, du 15 septembre 1990
centre de réflexologie Babinski :

Adam fut le premier !

Du moins, ce fut le premier chez qui l’on diagnostiqua ces symptômes…
Son cas semble très intéressant, et tout a fait en adéquation avec les objectifs du centre…
C’est après deux « incidents » qu’on lui déclara des troubles mentaux, ainsi nous avons pu faire les démarches nécessaires pour qu’il intègre le centre en temps que « malade mental » bien que ceci n’était qu’une couverture……..









7 fevrier 1989
18h20, cabinet du docteur ERMES Giulia
« Bonsoir
- Bonsoir Adam, entrez, installez vous ! »

Adam environ la trentaine, même si il faisait plus vieux que son âge… des yeux bleus assez foncé, un regard profond, et une barbe mal rasé qui tirait légèrement sur le gris, était l’archétype même du grand brun ténébreux…
Avant « l’incident » Adam avait travaillé dans la police, et malgré sa relative jeunesse, il avait tout du vieux flic blasé et usé…
Malgré cela, il entretenait un charisme assez mystérieux… Adam avait la sensualité des gestes du fumeur, bien qu’il ne fumait pas. Adam avait le coté protecteur et rassurant d’un père de famille, bien qu’il n’avait pas d’enfant…

Obéissant, il entra et s’allongea sur le divan prévu à cet effet.
« Quel âge avez-vous Adam ?
- j’ai 32 ans
- Etes vous marié ?
- Oui, je… enfin.. je l’était… depuis l’incident je…(l’air gené)
- Voulez vous parler de l’incident Adam ? si vous n’êtes pas prêt à cela nous parlerons d’autre chose..
- Je suis prêt
- Très bien, que s’est t’il passé alors ?
- C’est de ma faute…Je…je l’ai tué… Enfin ce n’est pas moi.. c’est lui.(Adam semblait paniqué à l’évocation de ce « lui »)
- Lui ? Bien Adam, parler moi de lui…
- C’est quelqu’un de mauvais ! il en veut toujours plus ! moi je sais me stopper, mais lui semble ne pas avoir de limites.. Il me ressemble, il me ressemble beaucoup, mais en plus fort ! mes envies sont ses pulsions, mes désirs sont ses exigences, mes passions sont ses obsessions… Il n’est jamais en colère, jamais malheureux.. il ne se préoccupe pas de ces choses, tout ce qu’il veut, c’est la jouissance ! Il n’a qu’un but…
- Vous dites qu’il vous ressemble… vous ressemble t’il aussi physiquement ?
- Je ne l’ai jamais vu ! je ne le vois pas, je le ressent seulement. Mais si il devait avoir une apparence physique, cela serait c’elle d’un clown… Un clown maléfique ! comme dans les films d’horreur pour enfant… Un clown avec un sommet de crane dégarni, et une courrone de cheveux tout autour… Un clown avec des petites dents noires surement pointues..Un clown avec un sourire sadique et un rire démentielle. Une voie criarde, toujours excitée et provocante…
- Vous pouvez l’entendre ?
- Non, mais c’est comme cela que j’imagine sa voix… S’il vous plaît, je n’aime pas parler de lui… »

Giulia, la femme qui interroge Adam, tira un grand trait au bas de ses notes :
« Très bien passons à autre chose alors… Vous arrive-t-il de rêver Adam ?
- Oui, je rêve souvent, enfin je fais souvent le même rêve…
- Racontez-moi… »
Adam ferme les yeux, et commence son récit en grimaçant légèrement :
« Ce n’est pas très clair, mes souvenirs sont a chaque fois un peu différents… Cela ce passe dans une pièce, pas très grande… mais c’est très floue, les coins de cette pièce semble arrondis, j’ai l’impression que j’évolue dans une sphère… mais en fait, cela ressemble plus à un bureau, une pièce pour travailler ou quelque chose dans le genre… il y a un bureau, et une horloge aussi ! je la distingue mieux que le reste, je ne sais pas pourquoi, mais je peu très bien la détailler…
- Allez y…
- Une vielle horloge en bois…il y a des gravures dessus elles représentent un ange et un demon… Elle indique minuit pile! enfin je ne suis pas sur qu’il soit minuit, peut être que l’horloge ne fonctionne pas, mais dans mon rêve, je veux qu’il soit minuit !
- Intéressant…pourquoi minuit Adam ?
- Parce que minuit c’est intemporel ! c’est la fin et le début en même temps ! minuit peut durer infiniment…
- êtes vous seul dans cette pièce ?
- Non, il y a une femme… Une jeune femme, elle est assise dans un fauteuil, on dirait qu’elle travaille, elle écrit quelque chose
- Etes vous attiré par cette femme ?
- Oui ! je ne la perçois pas très bien, mais elle semble très attirante… elle est fine, porte une sorte de jupe ou de robe, elle a de longue jambes, terminées par une sortes d’escarpins à lanières… qui laissent apparaitre des talons fins et une cambrure aux courbes envoutantes…
- Vous ne la percevez pas bien, mais pourtant vous décrivez très bien ses pieds…
- Oui, mais c’est parce que j’ai envie de la chatouiller…Je pourrais tout aussi bien vous décrire sa taille fine, ses petit genoux rond… De son corps, je ne vois que les détails qui se prêteraient volontiers aux chatouilles..
- Pourquoi la chatouiller ?
- Je pense que je suis fétichiste… en tout cas j’aime beaucoup cela… Mais il ya un problème !
- Que ce passe t’il ?
- Il arrive ! je le sent arrivé…Il ne faut pas qu’il vienne ! il va tout gâcher ! si moi j’aime les chatouilles, lui ne vit que pour ça ! si je veux la faire rire, lui veut la faire hurler…
- Intéressant, alors « Il » est même présent dans vos rêve ?
- Oui, il me poursuit partout ! J’essaye de le retenir, mais il est trop fort… Il ne tarde pas à se jeter sur elle ! il sort de ma poche deux fines sangles en plastiques, qui me servaient de menottes avant que je ne sois viré de la police après l’incident de ma femme… Il la saisi violement par le haut de son petit bras frêle, juste sous l’épaule, et il ne lui suffit que de quelques secondes pour lui lier les poignets dans le dos… puis il se jette sur ses chevilles qui ne tarde pas à subirent le même sort…Puis mon écharpe passe en deux seconde de mon cou à la bouche de la pauvre femme, la bâillonnant solidement. Elle proteste, cri, se débat.. mais je n’y fait pas attention, je suis trop occupé a essayer de lui résister ! cette fois ci, je ne le laisserais pas faire, du moins il n’agira pas seul ! Moi aussi je vais la chatouiller, a ma manière.. de façon plus douce.. ainsi peut être que cela le calmera et que je reprendrais le dessus…
- Vous agissez tout les deux en même temps ?
- Je ne sais pas très bien, si mon corps arrive à exécuter nos deux volontés, ou si nous agissons à tour de rôles en alternant très rapidement… Mais alors que je commence à lui chatouiller tendrement le bout de ses petit genoux du bout de mes doigts qui forment deux petites araignées, il s’est déjà jeté sur sa taille et ses cotes… Elle éclate de rire ! se met à secouer la tête dans tout les sens, et ses long cheveux noirs qui semblaient bien attaché en chignon, se mettent à voler tout autour de sa petite tête affolée…Bien vite, nous en arrivons à ses pieds ! Et alors que je détache lentement et avec précaution la lanière de son petit escarpins de droite, laissant apparaitre un pied fin et sublime… la chaussure de son pied gauche ne tarde pas à voler dans la pièce ! Toujours du bout des doigts, je m’amuse à lui titiller ses orteils et à lui gratouiller la plante très doucement… Lui commence directement par lui dévorer sauvagement le pied ! il le lèche de bas en haut, lui mordille le talon et la base des orteils, gobe ses petits doigts de pieds, comme si il voulait les avaler… Elle fini vite par hurler … Je n’arrive plus à le contrôler, lentement, je le sens prendre mon emprise, et mon corps ne finit plus que par exécuter ses mouvements brusques et sauvages… Une fois de plus, j’ai échoué, il me possède complètement, et je ne peu que me résoudre à participer à ce carnage.. oui c’est un carnage ! la pauvre ne sait pas ce qui l’attend ! Nous lui saisissons maintenant les deux pieds….
- Nous ?
- Oui maintenant nous agissons ensemble, bien que je le fasse contre ma volonté… et pendant que mes doigts s’attaquent frénétiquement à ses deux plantes, avec ma bouche je continu de lui dévorer les orteils ! Elle hurle…elle hurle très fort malgré son bâillon ! Les frottements de ma barbe râpeuse lui picotent la base des orteils et le haut se sa plante, cela semble la rendre complètement folle… Je sais très bien ce qu’il va arriver… ce traitement va continuer encore et encore ! il ne sera jamais rassasié ! si elle perd connaissance, il la réveillera pour continuer impitoyablement ! Il en voudra toujours plus, et ne s’arrêtera que lorsque qu’elle cédera, et que son petit cœur s’arrêtera de battre dans sa poitrine…
- Il veut la tuer ? pourquoi veut t’il la tuer ?
- Il ne veut pas.. du moins ce n’est pas son objectif, la seule chose qu’il veut c’est de continuer à la chatouiller indéfiniment…si elle ne mourrait pas, cela ne s’arrêterait jamais ! La mort est en quelque sorte sa délivrance… mais aussi la mienne… il ne repartira de moi que lorsque cela sera fini, et qu’il ne pourra plus rien tirer d’elle. Et moi impuissant, je m’abandonne à ses pulsions… Je commence à ressentir de la panique et de la terreur dans les hurlement de notre suppliciée, et désespérée, elle ne tarde pas à pleurer…
- Très bien ! nous nous arrêtons là, cela suffit pour aujourd’hui ! »
Obéissant, Adam interrompit sont récit, et ouvra les yeux… Giulia semblait troublée par cette histoire, qui lui avait fait froid dans le dos… Adam se leva, il avait le front plein de sueur, et semblait essoufflé… il prit quelque minutes à se calmer… Puis ils convennèrent tout les deux d’un prochain rendez vous, et s’échangèrent quelques politesses, après quoi Adam se diriga vers la porte afin de repartir… Encore sous le choc, un peu frustré par ce qui vennait de se passer, il posa lentement sa main sur la poignée, mais juste avant de l’actionner, un objet posé sur une étagère voisine attira son attention… C’etait L’horloge ! Exactement la même horloge ! Il reconnu les gravures, mais celle représentant l’ange etait presque effacée, abimée par le temps… seul le démon subsistait ! Cela sembla produire un déclic chez Adam, qui fut attiré inexorablement jusqu'à elle… Elle indiquait 19H20… Adam ouvrit son petit cadran, il l’observa longuement avec un regard passioné, puis il tendit le bras et tourna les aiguilles manuellement et très lentement du bout de l’index, jusqu’à indiquer… Minuit Pile !
Un grand sourire sadique commenca à déchirer son visage, et son regard sembla s’emplir de démence….








Suite du rapport n°1742, du 15 septembre 1990
centre de réflexologie Babinski :

Le premier incident eu lieu avec ça femme… elle fut retrouvée morte d’épuisement a son domicile. Adam avoua son crime très rapidement.
Le second eu lieu avec le docteur Ermes Giulia, qui était alors même chargée de témoigner de sa santée mentale…
Lors de ces incidents, Adam semblait prit d’un dédoublement de personnalité violent, qui le poussait à chatouiller ses victimes jusqu’à leur dernier souffle. Son double qu’il appele lui-même « le clown » semble lui proféré une capacité à augmenté significativement la sensibilité de ses victimes ! C’est ce qui à amené le centre à s’intéresser a son cas..
 
Voila, j'espère que le début vous plaira...la suite arrivera normalement bientot

J'en profite pour poser une petite question au Maître peheff qui fut notre précurseur a tous ^^
J'ai cru comprendre qu'il fréquente ce forum...

D'ailleur si il arrive jusqu'à cette question, cela voudra dire que j'aurais eu l'immense honneur qu'il ai lu mon histoire :)

Voila, Maître peheff, pourquoi ne venez vous jamais nous voir , rien que pour un petit bonjours ou meme juste un signe de la main, sur ticklingfr?

Oh, et puis... j'ose?... allez! j'ose ^^ une petite critique, ou meme juste un commentaire sur mon histoire? :S
 
A savoir, pour tout les francophones qui fréquentent ce forum, je voudrais juste vous informer qu'il existe une communauté francophone plus grande ( plus grande = plus d'abruti, de crétins, de gamins, de floodeurs ect... mais aussi plus de gens bien ) voila, pour ceux qui ne conaisse pas encore: www.ticklingfr.com
salut je suis tout à fait de ton opinion avec ce paragraphe,bravo pour ton histoire!!!:feets::feets::feets:
 
Last edited:
A savoir, pour tout les francophones qui fréquentent ce forum, je voudrais juste vous informer qu'il existe une communauté francophone plus grande ( plus grande = plus d'abruti, de crétins, de gamins, de floodeurs ect... mais aussi plus de gens bien ) voila, pour ceux qui ne conaisse pas encore: www.ticklingfr.com salut,je suis tout à fait de ton opinion avec le paragraphe que tu as mentionné ci dessus,et bravo pour ton histoire,continue comme ça!!!
 
J'en profite pour poser une petite question au Maître peheff (...) pourquoi ne venez vous jamais nous voir, rien que pour un petit bonjours ou meme juste un signe de la main, sur ticklingfr?

La question est publique. La réponse (détaillée) restera privée.

Ceci étant, je vais sur Tickling.fr. Chaque fois que j'entends parler d'un contenu intéressant.
 
Chapitre 5 : Retraite au soleil


30 décembre 1998
20H25

Une nouvelle fois, Elise se retrouvait face à la porte de sa cellule, pétrifiée par la peur… Une nouvelle fois, elle redoutait plus que tout d’y entrer. Elle venait de quitter Sarah auprès de laquelle elle s’était réfugiée, pour rejoindre sa cellule, et ne devrait pas tarder à y entrer, avant l’heure du couvre feu. Même si virginie avait disparu mystérieusement, à plusieurs reprises lors des bagarres, cette fois, elle sera forcément là…
« Allez ! Courage ma vieille ! » se dit elle. « T’es bien plus téméraire que ça d’habitude ! et puis c’est qu’une gamine, c’est pas ça qui va t’arrêter ! »
Elise se dit qu’elle n’aurait qu’à rester sur ces gardes toute la nuit et essayer de ne pas dormir.. Elle se voyait mal faire ça toutes les nuits, mais dans l’immédiat, elle n’avait pas le choix…
Elle serra les dents, serra les poingts, et entra !
Elise commença directement à éngueuler Virginie, avant même de l’avoir aperçu : « Bon écoute ! à propos d’hier soir.. je sais pas ce qui t’as pris, mais je te préviens ! je..
- Chatouilles moi ! » interrompit virginie, avec un air presque niait, et toujours ses petits yeux qui dans un élan d’espièglerie vinrent se nicher tout en haut dans un coins…
« Quoi ?.. qu’est-ce que ?!
- Je veux que tu me chatouilles ! » Répéta virginie, avant de se jeter dans son lit.
Elle se jeta sur le dos, roulée en boule, serrant ses cuisses dans ses petits bras, les jambes repliées, ses deux petons roses faisant face à Elise, dressées tout droit, serrés l’un contre l’autre… Ses deux plantes de pieds parfaitement étirées, tournées vers Elise, lui étaient offertes… Ses petits doigts en éventails étant tous bien écartés au maximum de t’elle sorte que le regard d’Elise aurait pu parcourir les plaines et les collines de ses plantes de pieds, sans qu’aucun endroit ne lui ai été caché. Elise justement, admirait ce spectacle, la bouche ouverte, encore toute hébétée et surprise par l’intervention de Virginie…
Ce n’est que lorsque Virginie commença à remuer et agiter ses petits orteils tout fins, qu’Elise reprit ses esprits : « Mais attend… mais hier soir.. il faut qu’on s’explique.. c’est pas normal, pourquoi tu as ?... » Alors qu’Elise s’embrouillait l’esprit, Virginie qui ne portait qu’un t-shirt trop large et un caleçon remuait son petit derrière et jouait avec ses orteils presque puériles, en les crispant et les étirant tour a tour… Le tout accompagné d’un regard malicieux plein de provocation. Elise tenta tant bien que mal d’y résister, mais c’était quasiment impossible ! Une fois de plus elle fut attendrie en oubliant qu’elle faisait face à un monstre… une fois de plus elle tomba sous le charme de cette gamine décidément bien manipulatrice ! Manipulatrice ? ou juste complètement folle et innocente ? Elise ne savait plus quoi penser.. A nouveau elle n’y
comprenait plus rien..
Virginie avait deux magnifiques petits pieds très réguliers, elle devait chausser du 38, et leur teint rose pale n’inspirait qu’une chose : la fraicheur !
Trop de conflits dans sa tête.. Elise se laissa aller.
« Très bien… décidément… je suis trop gentille ! »
Une mais derrière le dos… feignant l’innocence elle tendit l’autre vers les pieds de virginie posa son index au creux d’une des plantes et commença à gratouiller… Virginie explosa de rire instantanément ! et se réfugia directement sous sa couverture. Elle semblait extrêmement sensible. Elise ne se fit pas attendre et lui sauta dessus ! Elle ne savait pas trop ce qui lui prenait… ce matin encore elle était terrorisé rien qu’a l’évocation des chatouilles, et la elle se surprenait à y replonger une nouvelle fois… Peut être jouait-elle avec le feu… en tout cas, elle était déterminée à prendre une petite revanche sur virginie ! Elle savait bien que cela n’atteindrait jamais les proportions de la veille, du moins elle l’espérait.. Elise attrapa sa petite camarade par les cotes, et fit vibrer tous ses doigts de manière très agile. Les yeux de virginie s’écarquillèrent et elle gonfla ses joues comme une petite grenouille, avant de laisser échapper un long soupir qui se transforma en une explosion de rires presque violents ! Elise ne lâcha pas prise malgré les secousses infligées au lit par cette petite terreur ! Au bout de quelques secondes les rires de virginie commencèrent à laisser place à un petit cri aigu semblable à celui d’un petit animal qui couine…
Elle bougeait de plus en plus, et Elise fini par perdre prise…mais continuait de titiller se petit corps qui se tordait dans tout les sens et qui à lui seul suffisait à exprimer la jouissance dans la souffrance ! Ce petit corps aux soubresauts hypnotisant et envoutant, qui aurait pu convertir n’importe qu’elle âme au sadisme ! Un sadisme léger certes, un sadisme sans conséquences, mais un sadisme quand même… après une série de contorsions, virginie se retrouva sur le dos face à élise, et lui lança involontairement un coup de pied au visage, que celle-ci eu le reflexe de rattrapé de justesse, avant qu’il ne vienne écraser son nez. Ainsi, Elise tenait par la cheville le pied droit de virginie à moins de 2cm de son visage. Aussitôt elle repensa à ce qu’elle avait subit la nuit dernière, et la même idée leur traversa l’esprit a toute les deux. Mais Elise était gênée, elle ne savait pas trop si elle devait faire ça… Elle se dit que ce n’était pas très propre, et puis ça ressemblait un peu à des trucs pervers… cette seconde d’hésitation lui paraissait durer une éternité, surtout appuyée par le regard plein d’espoirs, presque implorant que lui lançait virginie… Elise céda, et rapprocha son visage encore un petit peu de son pieds, mais elle ne voulait pas que ça ai l’air trop convenu… alors elle commença par humer très légèrement, et fut surprise d’y découvrir une petite odeur très légère et très agréable presque fruitée… cela n’avais rien d’une odeur de pied, en tout cas, rien de repoussant, au contraire Elle n’invitait qu’à passer a table! Elise commença à pointer sa langue très doucement, et toucha le creux de la plante avant de la remonter d’un coup sec et rapide jusqu’à la base des orteils.
Virginie eu une réaction fulgurante ! Un hurlement étouffé par reflexe par sa propre main et un bond en arrière, accompagnèrent le violent arrachement de sa jambe aux griffes d’Elise, qui manqua de lui emporté quelque doigts…
D’abord surprise Elise explosa d’un rire moqueur, mais contrairement à ses attentes, sa petite camarade semblait aux anges…Un regard rêveur, on aurait dit qu’elle découvrait un nouveau monde…
« On continu ? » demanda t’elle, une fois de plus en allant percher ses yeux sur des hauteurs infranchissables….
Elise a nouveau surprise : « euh.. oui.. on continu ! »
Et ainsi ce petit jeu dura une bonne demi heure… Après quoi, Elise décida de revenir à des choses plus sérieuses :
« Allez ! ça suffit maintenant ! il faut qu’on parle d’hier ! je crois qu’il s’est passé quelque chose d’assez grave non ?! » dit elle avec un regard empli de sévérité
Virginie baissa la tête un peu honteuse : « oui.. c’est vrai »
Elle commença à tout raconter à Elise… qui fut presque soulagée d’avoir enfin de vrais explications…Mais elle n’en était pas moins consterné par ce qu’elle entendait…
(Ses problèmes mentaux, Mr clown, la complicité avec Christa…)
Elise fini par se convaincre une bonne fois pour toute de l’innocence de Virginie, qui n’était qu’une gamine joueuse dépassée par les événements… Mais quelque chose n’allait pas… quelque chose semblait se dérouler en toile de fond de façon bien mystérieuse..
« Et Christa justement ! pourquoi elle t’aide à faire tous ça ?! demanda Elise
- Je ne sais pas, depuis que je suis arrivée ici, elle a toujours été très gentille avec moi, mais je ne sais pas pourquoi, et puis elle savait déjà pour Mr clown…Elle me pose toujours plein de questions… »
Elise ne comprenait plus rien et nageait en plein délire… Les deux jeunes filles continuèrent à discuter pendant quelques heures… puis elles allèrent se coucher… Elise s’efforçant de ne pas s’endormir, avant sa camarade, pour ne pas avoir a nouveau de mauvaises surprises cette nuit…
Elle avait néanmoins fait promettre a Virginie de ne plus l’attaquer, mais elle comprenait bien, que cela ne dépendait pas entièrement de sa volonté.




13H30
Centre de réflexologie Babinski :
Extrait du rapport n°2642, du 30 Décembre 1998, Par Christa Von Brauch :

Le nouveau sujet à été comme prévu intégré à la cellule de Virginie.
Le contact a bien eu lieu, et « Il » s’est bien manifesté, comme dans les deux cas précédents. Cependant l’expérience semble s’être déroulée de manière inattendue. Pour la première fois, le sujet est encore vivant, et cela semble être du à la volonté de Virginie plutôt qu’à un manque d’efficacité.. Pour la première fois, Virginie semble avoir prit le dessus sur « Mr Clown » comme elle l’appel, et l’a interrompu… Néanmoins, Virginie ne m’a pas semblé avoir agit de la sorte par compassion, ni même par pitié pour le sujet…
En effet, virginie m’a elle-même avoué qu’elle semblait attirée par une expérience inverse et réciproque..
Ne m’attendant pas du tout à cette tournure des événements, je me trouve dans l’incapacité de prendre les bonnes décisions dans de courts délais… l’expérience inverse doit elle avoir lieu ?

J’attends vos ordres au plus vite…

Christa Von Brauch



Une pièce sombre, un bureau à demi plongé dans l’obscurité, trois voix inconnues, qui paraissent omniscientes, observatrices, surélevées, et décideuses…
« Très intéressant ! Nous ne nous attendions pas à ce que les choses évoluent de cette façon !
- Certes ! il va falloir prendre des mesures adéquates…
- Oui, il est temps ! Je propose que l’on procède à son internement au centre le plus tôt possible.
- Très bien nous sommes d’accord ! cependant les événements me semblent avoir évolués de manière bien trop rapide ! laissons-nous déjà l’expérience réciproque avoir lieu ? Tout cela serait bien plus sous contrôle ici même..
- Cela n’a pas d’importance, Le sujet n’a pas de réelles capacités. Dans tout les cas, l’expérience sera anodine et s’adressera bien plus à virginie qu’au Clown.
- Oui, cela n’entrave en rien nos projets, et laisser virginie découvrir l’autre coté du miroir par elle-même me semble être la meilleurs solution pour la suite du programme… Après tout, elle n’est qu’un support…
- Très bien ! Alors nous n’avons plus besoin de Christa désormais… Donnez-lui ses derniers ordres, et informez là qu’elle n’aura plus à travailler pour le centre maintenant. Assurez vous aussi, à la fin de cette année, lorsqu’elle quittera enfin sa longue et pénible carrière de gardienne, qu’elle jouisse de la retraite de rêve au soleil que nous lui avons promis lorsque nous l’avions contacté il y a deux ans à l’arrivé de virginie.
- Mettons dès maintenant en places les démarches nécessaires à son accueil au centre, et usons de nos influences pour permettre son transfert.
- Très bien ! tout ne c’est pas passé comme prévu, mais finalement, c'est de très bon augure pour l’expérience finale !
 
A savoir, pour tout les francophones qui fréquentent ce forum, je voudrais juste vous informer qu'il existe une communauté francophone plus grande ( plus grande = plus d'abruti, de crétins, de gamins, de floodeurs ect... mais aussi plus de gens bien )

Ce sont sûrement des gens très bien, mais je viens de voir un sticker qui m'a fait bondir : le modérateur veut faire censurer le contenu à caractère sexuel ! Ben voyons... Il y a bien des gens qui mettent de l'eau dans le pastis, vous me direz, mais tout de mêmece genre d'attitude est fort peu compréhensible pour moi.:sowrong:
 
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