Manuel commença à sentir la soupe chaude. Il savait qu'il passerait un mauvais quart d'heure mais était résolument décidé à garder ses droits et libertés. Il se fit mettre des menottes de cuir aux poignets ainsi qu'aux chevilles. Sur ces menottes, il y avait des anneaux métalliques qui furent reliés à une barre d'extension au niveau des poignets et chevilles. cette barre fut allongée au maximum de ce que ses membres pouvaient supporter d'extensions latérales. Par la suite, une corde fut attachée à l'extension métallique au niveau des poignets afin d'être reliée à une poulie au plafond du dongeon. Cette poulie était reliée à un mécanisme de roulette mécanique permettant de lever une charge. l'extenseur au niveau des chevilles fut attachée solidement à deux anneaux fixés au sol pour retenir le prisonnier à l'endroit fixé. Enfin, la roulette se mit à tourner et chaque dent de cette roue empêchait systématiquement cette dernière de dérouler dans le sens inverse. Les bras de Manuel montaient maintenant et définitivement au dessus de sa tête sans trop être étirés toutefois. Il offrait son corps, maintenant vulnérable à toute la fougue du général Phips.
"Tient tient. Alors M. Manuel, on est disposé à mieux coopérer maintenant?"
"Jamais fils de p...."
"Gardes..." dit le général.
"Sortez de cette pièce et laisser moi seul avec le prisonnier. Il a besoin d'une petite leçon d'humilité...".
La porte se referma lourdement dans un craquement sinistre.
"Je vous avais prévenu. maintenant, vous devrez endurer un cauchemar que vous avez contribué à construire vous même."
"Arghhhh."
Manuel était debout, mains vers le plafond et en pleine extension latérale. Ce soldat que les années d'entrainement physique avait permis de définir un corps quasi parfait, était maintenant la proie du général Phips. Sous sa chemise, on devinait des bras puissants, et un torse bien développé. Ses pantalons cachaient mal une définition au niveau des cuisses qui saillaient au travers du tissu.
Le général savourait déjà le spectacle et ne put s'empêcher de faire un commentaire élogieux à l'égard de sa proie: " hummmm l'armée française vous a bien entrainée. Je peux le remarquer par votre forme corporelle. Je me plais à imaginer que tous vos congénères sont baraqués de la sorte. Vous ferez en effet de très bons esclaves physiques qui travilleront sous nos ordres dans les champs à la sueur de votre front et ce, pour notre seul bénéfice. Vous les français, êtes un peuple inférieur au nôtre dans le seul but de nous servir."
"Espèce de salaud. Tu vas le regreter...." Maugréa Manuel.
"Haaa! haaaa!" s'esclaffa le général Phips. " Vous comprendrez bientôt ce que j'ai voulu insinuer..."
Le général lui souffla doucement à l'oreille: "Certains prisonniers parlent lorsqu'ils sont torturés physiquement, d'autres par contre, vont parler lorsqu'ils sont torturés psychologiquement. Enfin, et c'est le plus amusant, certains parleront lorsqu'ils sont abusés sexuellement. Que choisissez-vous?"
"Espèce d'enfant de p...."
"Très bien alors. vous avez choisi votre camp..."
Le général se plaça alors face à manuel qui ne pouvait rien contre lui. D'un geste sec, le général déboutonna la chemise de manuel décousant dans le même geste quelques boutons qui tombèrent sur le plancher froid du dongeon. Le torse mi-exposé de manuel confirma les suppositions du général. Manuel était physiquement en forme. Ses mamelons ainsi exposés au froid, durcirent d'un coup raide comme deux soldats au garde à vous.
"Maintenant, nous allons nous amuser un peu..." Dit le général Phips.
Il prit un grand fouet, se plaça derrière Manuel à quelques mètres et commença le travail sur le dos de ce dernier.
Swishhhhh!, Shwishhhhh!
"HAAAAAHHHHHHHGGGGG"
Les morceaux de la chemise commencèrent à se défaire en lambeau montrant aussi à quelques endroits, des marques rouges dans le dos.
"Allez donc... Si vous vouliez exposer mon corps davantage, pourquoi ne pas l'avoir fait immédiatement espèce de salaud?"
"Et gacher tout ce plaisir de vous voir souffrir en même temps que j'arrache lentement des morceaux de cet humble tissu?. Pourquoi ne pas joindre l'utile à l'agréable?"
Swishhhhh! Swishhhhhhh!
"HAAAAArghhhh! HAAAAAArggggg! S'il vous plaît arrêtez et retirez moi ce que vous voulez. Mais plus de celà. Je vous en supplie...."
"On commence à devenir raisonnable maintenant?"
à suivre.....
"Tient tient. Alors M. Manuel, on est disposé à mieux coopérer maintenant?"
"Jamais fils de p...."
"Gardes..." dit le général.
"Sortez de cette pièce et laisser moi seul avec le prisonnier. Il a besoin d'une petite leçon d'humilité...".
La porte se referma lourdement dans un craquement sinistre.
"Je vous avais prévenu. maintenant, vous devrez endurer un cauchemar que vous avez contribué à construire vous même."
"Arghhhh."
Manuel était debout, mains vers le plafond et en pleine extension latérale. Ce soldat que les années d'entrainement physique avait permis de définir un corps quasi parfait, était maintenant la proie du général Phips. Sous sa chemise, on devinait des bras puissants, et un torse bien développé. Ses pantalons cachaient mal une définition au niveau des cuisses qui saillaient au travers du tissu.
Le général savourait déjà le spectacle et ne put s'empêcher de faire un commentaire élogieux à l'égard de sa proie: " hummmm l'armée française vous a bien entrainée. Je peux le remarquer par votre forme corporelle. Je me plais à imaginer que tous vos congénères sont baraqués de la sorte. Vous ferez en effet de très bons esclaves physiques qui travilleront sous nos ordres dans les champs à la sueur de votre front et ce, pour notre seul bénéfice. Vous les français, êtes un peuple inférieur au nôtre dans le seul but de nous servir."
"Espèce de salaud. Tu vas le regreter...." Maugréa Manuel.
"Haaa! haaaa!" s'esclaffa le général Phips. " Vous comprendrez bientôt ce que j'ai voulu insinuer..."
Le général lui souffla doucement à l'oreille: "Certains prisonniers parlent lorsqu'ils sont torturés physiquement, d'autres par contre, vont parler lorsqu'ils sont torturés psychologiquement. Enfin, et c'est le plus amusant, certains parleront lorsqu'ils sont abusés sexuellement. Que choisissez-vous?"
"Espèce d'enfant de p...."
"Très bien alors. vous avez choisi votre camp..."
Le général se plaça alors face à manuel qui ne pouvait rien contre lui. D'un geste sec, le général déboutonna la chemise de manuel décousant dans le même geste quelques boutons qui tombèrent sur le plancher froid du dongeon. Le torse mi-exposé de manuel confirma les suppositions du général. Manuel était physiquement en forme. Ses mamelons ainsi exposés au froid, durcirent d'un coup raide comme deux soldats au garde à vous.
"Maintenant, nous allons nous amuser un peu..." Dit le général Phips.
Il prit un grand fouet, se plaça derrière Manuel à quelques mètres et commença le travail sur le dos de ce dernier.
Swishhhhh!, Shwishhhhh!
"HAAAAAHHHHHHHGGGGG"
Les morceaux de la chemise commencèrent à se défaire en lambeau montrant aussi à quelques endroits, des marques rouges dans le dos.
"Allez donc... Si vous vouliez exposer mon corps davantage, pourquoi ne pas l'avoir fait immédiatement espèce de salaud?"
"Et gacher tout ce plaisir de vous voir souffrir en même temps que j'arrache lentement des morceaux de cet humble tissu?. Pourquoi ne pas joindre l'utile à l'agréable?"
Swishhhhh! Swishhhhhhh!
"HAAAAArghhhh! HAAAAAArggggg! S'il vous plaît arrêtez et retirez moi ce que vous voulez. Mais plus de celà. Je vous en supplie...."
"On commence à devenir raisonnable maintenant?"
à suivre.....
