Swishhhhhh! Swishhhhhh!
Les derniers lambeaux de chemise tombèrent comme neige au soleil. Manuel avait peine à retenir son souffle et contractait tous ses muscles afin d'éviter d'avoir mal lors des coups. Les lambeaux de chemise pendaient lamentablement du bord de sa ceinture et plus rien ne retenait le reste.
Manuel gémissait et espérait que cette torture cesse. Mais il n'était pas dupe. Il savait que le général Phips le harcèlerait jusqu'à ce qu'il obtienne ce qu'il veule. Mais il résisterait....
"Alors M. Manuel. On est toujours aussi déterminé à ne rien dire au bon Général?"
"Jamais! vous entendez? JAMAIS"
"Très bien, vous restez camper dans votre position..."
Le général se rapproche alors de l'oreille de Manuel et lu dit: "Vous avez eu un léger avant goût d'une torture physique qui ma foi, m'a procuré un grand plaisir. Maintenant, je vais vous faire gouter aux désir de la chair. Aux supplices sexuels. Peut-être celà vous permettra t'il de devenir un peu plus docile."
"Salaud. Vous n'êtes qu'un salaud....."
D'un coup sec, le général retire un couteau et découpe le pantalon de manuel. ce dernier tombe et montre les cuisses puissantes de ce dernier. Manuel n'a que pour protection un bandage grec qui lui sert de caleçon. Il a tout le profil d'un grec de l'époque de constantinople avec ce seul linceul comme protection.
Le général prend un pas vers l'arrière et contemple sa proie. Il pense "Dire qu'il pourrait être mon esclave.". Il s'avance alors vers le mécanisme d'élévation et en quelques mouvements lents, il tourne la roue. Une traction s'exerce sur les bras de Manuel qui l'étire un peu plus vers le plafond. Il est maintenant en pleine extension. Cette extension provoque chez lui une vulnérabilité qu'il ne peut controler. Aussi, cet étirement permet de dégager toutes les parties de sont corps qui deviennent maintenant accessibles au générale Phips. Avec un corps athlétique, la lumière tamisée du dongeon fait ressortir tous les vallons et creux de son corps. En soi, c'est un spectacle.
Le général phips décoche maintenant un plume d'oie. Une plume très dure qui aura un effet certe sur le corps de l'adversaire. le corps étiré, Manuel regarde avec appréhension l'arme de l'adversaire.
"Non mais. Qu'allez vous.... qu'allez vous faire de ça? je suis horriblement chatouilleux s'il vous plait non PITIÉ......"
Le général, n'arrêtant devant rien commence son manège d'abord sur les cuisses puissantes de son adversaire et remarque sa réaction. Elle fut instantanée. Tout le corps de Manuel s'arqua violement mais ne put se défendre. Il doit subir le tourment de la plume. Les cuisses sont doucement caressées de long en large et le général en éprouve d'ailleurs un vif plaisir.
La poitrine de Manuel gonfle et dégonfle au rythme de sa respiration qui se fait maintenant saccadée. le général Phips remarque le manège et fixe maintenant la poitrine de manuel.
"Mais qu'avons nous là." Sur ce, le général décide de placer un bandeau autour des yeux de Manuel. Décidément, il ne veut pas que Manuel "devine" les prochains coups.
"S'il vous plait. non. je ne vois rien je ne vois rien".
"C'est exactement le but mon cher. lorsque les yeux sont bandés, on perd un des sens vital. Les autres s'en retrouvent décuplés donc le sens du touché devient affreusement plus tortueux".
"NOOOOOOOOONNNNNNN.....!!!"
Ce sur quoi, le général prend un autre pas vers l'arrière et contemple son chef d'oeuvre. Manuel est maintenant tout en sueur et ne fait qu'augmenter les contrastes sur sa peau. Ce que Manuel ne sait pas c'est que cet état de fait s'avère aussi une arme tout à fait redoutable pour le général Phips. Ce dernier aura tout le loisir d'identifier plus facilement les parties de son anatomie qui réagiront le plus.
Les derniers lambeaux de chemise tombèrent comme neige au soleil. Manuel avait peine à retenir son souffle et contractait tous ses muscles afin d'éviter d'avoir mal lors des coups. Les lambeaux de chemise pendaient lamentablement du bord de sa ceinture et plus rien ne retenait le reste.
Manuel gémissait et espérait que cette torture cesse. Mais il n'était pas dupe. Il savait que le général Phips le harcèlerait jusqu'à ce qu'il obtienne ce qu'il veule. Mais il résisterait....
"Alors M. Manuel. On est toujours aussi déterminé à ne rien dire au bon Général?"
"Jamais! vous entendez? JAMAIS"
"Très bien, vous restez camper dans votre position..."
Le général se rapproche alors de l'oreille de Manuel et lu dit: "Vous avez eu un léger avant goût d'une torture physique qui ma foi, m'a procuré un grand plaisir. Maintenant, je vais vous faire gouter aux désir de la chair. Aux supplices sexuels. Peut-être celà vous permettra t'il de devenir un peu plus docile."
"Salaud. Vous n'êtes qu'un salaud....."
D'un coup sec, le général retire un couteau et découpe le pantalon de manuel. ce dernier tombe et montre les cuisses puissantes de ce dernier. Manuel n'a que pour protection un bandage grec qui lui sert de caleçon. Il a tout le profil d'un grec de l'époque de constantinople avec ce seul linceul comme protection.
Le général prend un pas vers l'arrière et contemple sa proie. Il pense "Dire qu'il pourrait être mon esclave.". Il s'avance alors vers le mécanisme d'élévation et en quelques mouvements lents, il tourne la roue. Une traction s'exerce sur les bras de Manuel qui l'étire un peu plus vers le plafond. Il est maintenant en pleine extension. Cette extension provoque chez lui une vulnérabilité qu'il ne peut controler. Aussi, cet étirement permet de dégager toutes les parties de sont corps qui deviennent maintenant accessibles au générale Phips. Avec un corps athlétique, la lumière tamisée du dongeon fait ressortir tous les vallons et creux de son corps. En soi, c'est un spectacle.
Le général phips décoche maintenant un plume d'oie. Une plume très dure qui aura un effet certe sur le corps de l'adversaire. le corps étiré, Manuel regarde avec appréhension l'arme de l'adversaire.
"Non mais. Qu'allez vous.... qu'allez vous faire de ça? je suis horriblement chatouilleux s'il vous plait non PITIÉ......"
Le général, n'arrêtant devant rien commence son manège d'abord sur les cuisses puissantes de son adversaire et remarque sa réaction. Elle fut instantanée. Tout le corps de Manuel s'arqua violement mais ne put se défendre. Il doit subir le tourment de la plume. Les cuisses sont doucement caressées de long en large et le général en éprouve d'ailleurs un vif plaisir.
La poitrine de Manuel gonfle et dégonfle au rythme de sa respiration qui se fait maintenant saccadée. le général Phips remarque le manège et fixe maintenant la poitrine de manuel.
"Mais qu'avons nous là." Sur ce, le général décide de placer un bandeau autour des yeux de Manuel. Décidément, il ne veut pas que Manuel "devine" les prochains coups.
"S'il vous plait. non. je ne vois rien je ne vois rien".
"C'est exactement le but mon cher. lorsque les yeux sont bandés, on perd un des sens vital. Les autres s'en retrouvent décuplés donc le sens du touché devient affreusement plus tortueux".
"NOOOOOOOOONNNNNNN.....!!!"
Ce sur quoi, le général prend un autre pas vers l'arrière et contemple son chef d'oeuvre. Manuel est maintenant tout en sueur et ne fait qu'augmenter les contrastes sur sa peau. Ce que Manuel ne sait pas c'est que cet état de fait s'avère aussi une arme tout à fait redoutable pour le général Phips. Ce dernier aura tout le loisir d'identifier plus facilement les parties de son anatomie qui réagiront le plus.