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Passions et chatouilles

tonka

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Apr 13, 2005
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L’histoire d’Annie

Annie était un peu nerveuse lorsqu’elle descendit de l’avion en provenance de Montréal. Non seulement c’était sa première expérience en Suisse, mais ce l’était également en Europe. C’est qu’elle venait de décrocher son premier contrat de cirque.

Annie était artiste de cirque, plus particulièrement contorsionniste. Elle avait une flexibilité naturelle et était capable de ce plier dans tout les sens. Des années de travaille acharné lui avait permis de créer un numéro de très bonne qualité. Ce contrat avec le cirque était l’aboutissement ultime de tous ses efforts. Elle venait tout juste d’avoir vingt ans, mesurait 5 pieds (1 m 55 environ) et avait les cheveux châtain blond, légèrement ondulé, coupé à hauteur d’épaule. Elle avait les yeux vert, et peu de gens était capable de soutenir sont regard lorsqu’elle posait ses yeux sur eux. Elle était très simple et riait souvent et facilement. De nature plutôt timide, elle ne parlait pas facilement d’elle-même, bien que si on lui posait la question, elle répondait le plus sincèrement possible. Elle arrivait néanmoins à surmonter cette timidité et pouvait même se montrer provocatrice par moment.

Une seule chose était tabou chez elle : les chatouilles. Elle adorait ce faire chatouiller. Mais cela ne lui était pratiquement jamais arrivé. Bien sur, lorsqu’elle était plus jeune, il lui arrivait de ce faire chatouiller par ses camarades, mais cela ne durait jamais bien longtemps. Et sa timidité l’empêchait d’en redemander, de peur d’être mal juger par les autres. En fait, elle en avait presque honte, et n’en avait jamais parler à personne. Elle se demandait si elle était normal et était convaincu d’être la seule à aimer se faire chatouiller.

Lorsque Annie sortit de l’aéroport, elle vie un beau jeune homme, tenant un carton avec son nom écrit dessus. Il mesurait 5 pieds 5 (1 m 68 environ), avait les cheveux châtain et les yeux bleu. Il avait belle allure et semblait assez sur de lui. Elle se dirigea vers lui.

- Bonjours, moi c’est Annie.
- Salut, moi c’est Hugo. Enchanter Annie

À son accent, elle su immédiatement qu’il était lui aussi Québécois et fut soulagé de savoir qu’elle ne serait pas la seul.

- Vient, laisse moi prendre ta valise, on a une bonne heure de route à faire et je voudrais te présenter à toute l’équipe. C’est-tu ta première fois en Suisse?
- Oui, en fait je n’ai jamais vraiment voyagé. C’est ma première fois en Europe.
- J’suis sur que tu vas aimer ça. Moi c’est ma deuxième tourné avec le cirque. J’suis trapéziste. Toi, c’est quoi ta discipline ? (En fait, il le savait déjà, mais il fit comme si de rien n’était.)
- Je suis contorsionniste, répondit Annie.

Il parlèrent ainsi durant tout le transport, vers le lieu ou était installé le cirque en ce début février. Elle appris entre autre qu’il allait y avoir un mois de répétition et qu’ils allaient pouvoir s’entraîner seulement le matin. Elle appris aussi qu’elle était la dernière arrivante et que toute l’équipe était déjà réuni. Hugo était très curieux de connaître Annie. Il n’arrêtait pas de lui poser des questions sur son cheminement et comment elle avait abouti au cirque. Elle répondait volontiers à ses questions. Il semblait être quelqu’un de simple, qui aimait la vie et qui aimait rire. Cela plu à Annie et ils développèrent rapidement une belle complicité.


Les répétitions avaient maintenant commencés depuis deux semaines et les deux québécois passaient relativement beaucoup de temps ensemble. Un jour, lors des entraînements matinaux, Hugo vint assister à l’entraînement d’Annie et remarqua qu’elle avait vraiment de très jolis pieds. Il avait une passion pour les pieds depuis toujours. Ça saison farorite était le printemps, car toute les fille laissaient tombé les bottes pour de jolis petites sandales. Il adorait aussi les chatouilles et en voyant ses orteil gigoter en l’air (il s’agissait d’un élément artistique de son numéro de contorsion, bougé les orteils dans toute les directions, les écarter, les pointer, etc.), il eu irrésistiblement envie de les chatouiller.

Les jours suivant, Hugo était presque toujours présent aux entraînement d’Annie. Il la trouvait belle et ne pouvait plus se passer de regarder ses mignon petits pieds et surtout ses orteils quel faisait bouger dans tous les sens. Il mourrait d’envie de la chatouiller, de la faire hurler de rire et qu’elle le supplie d’arrêter, que c’était de la torture.

Annie, de son coté, n’avait rien remarqué, outre le fait qu’Hugo la regardait travailler et qu’il semblait lui vouer une affection particulière. Il est vrai que les deux s’entendait vraiment très bien et qu’ils avaient beaucoup de points en commun. De toute façon, elle l’aimait bien et le fait qu’il lui porte autant d’attention n’était pas pour lui déplaire.

Un soir, Hugo invita Annie dans sa caravane pour regarder le film Québec Montréal. Elle accepta volontiers et lui dit qu’elle arrivait immédiatement après sa douche. Elle arriva bientôt, vêtu seulement d’une petite camisole et d’un boxer. Elle ne portait pas de chaussette mais seulement des pantoufles. Ils s’installèrent confortablement sur le lit d’Hugo, pelotonné l’un sur l’autre et commencèrent le film.

- T’sais, j’voulais te dire que j’aime vraiment ton numéro d’contorsion, dit Hugo après un moment.
- Merci, c’est gentil.
- Mais j’voulais savoir, c’est quoi au juste que tu fais avec tes orteils, tu les fais bougés dans toutes les sens ?
- Ça fait parti de la chorégraphie. C’est mon entraîneur qui avait eu cette idée pour mon numéro. Pourquoi, t’aime-ça?
- Oui, j’trouve ça très beau. T’as vraiment des jolis pieds et ça les mets en valeur.

À cette remarque, Annie jeta un regard en coin vers Hugo et eu un petit sourire gêner. Hugo était quant à lui soudainement très concentré sur le film, mais la couleur de ses joue trahi sa gène évidente.

Après un moment, Annie fit mine de s’étirer et allongea ses jambes nues. À la réaction de Hugo, elle comprit qu’elle avait capté son attention et à l’aide de son pied gauche, enleva lentement sa pantoufle droite. Elle fit de même avec la pantoufle gauche. Hugo vit alors deux magnifiques petits pieds. Ils avaient une belle arche juste assez prononcer et des orteils parfaitement aligné. Elle entreprit alors de doucement les faire bouger comme dans son numéro.

Hugo n’en croyait pas s’est yeux. Elle le provoquait. Elle avait fait cela exprès. Ça méritait punition d’être aussi arrogante. Il lui dit :

- T’as l’air un peu tendu, veux tu que j’te fasse un massage ?
- Euh oui, d’accords, je veux bien.

Elle lui présenta son dos mais il se dirigea vers ses jambes et prit ses pieds sur ses genoux. Elle fut à peine surprise et lui fit un grand sourire. Hugo commença son massage. Elle avait la peau incroyablement douce et ils étaient aux anges. Lui parce qu’il avait ses pieds sur un plateau d’argent et elle, parce que s’était très agréable et qu’elle rêvait qu’il la chatouille. Hugo fit alors un faux mouvement et chatouilla (accidentellement) la plante de pieds.

- Hihihi, va y doucement, je suis vraiment très chatouilleuse, lui dit-t-elle, avec un grand sourire.

Elle était assise en écaire par rapport à lui, avec les bras légèrement derrière elle pour maintenir le haut de son corps verticale. Elle le fixait intensément car elle se demandait si il avait saisi l’allusion lorsqu’elle lui avait demandé d’y aller doucement.

Il lui rendit son sourire et commença à faire des passages très légers du bout des doigts sur la plante des pieds. Annie rit doucement et agita les orteils mais ne fit aucun mouvement pour retirer s’est pieds. Il varia ainsi les rythmes et les pressions pour voir les endroits les plus sensibles de son pied. Il s’avéra qu’un point au bas de la plante, près du talon était particulièrement chatouilleux et il s’y attarda quelque instant, déclenchant chez Annie une série de petit rire incontrôlable. Elle ne faisait toujours aucun mouvement pour essayer de se soustraire aux chatouilles et seuls ses orteils gigotaient frénétiquement.

Après une dizaine de minutes de ce doux traitement, il ralenti le rythme et dit a Annie qui riait toujours :

- t’sais, tes petits orteils qui gigotent tout le temps, sont-tu chatouilleux eux?
- Hihi, je ne sais pas, à toi de le découvrir.

Hugo regarda alors Annie d’une toute autre Façon. Elle était là, offerte à lui, elle le regardait d’un air vulnérable et il la trouva belle. Elle lui souriait timidement et attendait la suite. Elle avait l’air d’aimer se faire chatouiller. Il se pencha alors vers elle et lui fit signe de s’approcher. Elle lui souriait toujours et ils s’embrassèrent tendrement.

Mais Hugo n’en avait pas fini avec ses pieds et ses orteils l’avait bien trop n’arguer pour qu’il en reste là. Il glissa doucement sa main juste sous ses orteils se qui fit sursauter Annie.

- Hey, c’est de la triche. Tu essais de me déconcentrer et hihi haha, HAHAHA

Elle n’eu pas le temps de finir sa phrase et ce remis à rire de plus belle. Elle était nettement plus chatouilleuse à cet endroit et tenta de retirer ses jambes. Hugo attrapa alors ses chevilles d’un bras et la chatouilla férocement sous les orteils. Elle ce mis à hurler de rire et à se débattre furieusement. Il faisait aller ses doigts vigoureusement sous ses pieds et Annie vivait un véritable supplice.

- NON, pas là, je t’en supplie, pas sous les orteils, je suis vraiment trop chatouilleuse, ARRÊTE !!

Elle tenta de contre attaquer en chatouillant à son tour Hugo sur les cotes.

- Hey, qu’est-ce que tu fais, arrête. Ça chatouille.
- HAHAHAHA alors, HAHAHAHA lâche HAHAHA mes pieds HAHAHA.
- D’accords, mais tu l’aura voulu.

Il lâcha ses chevilles et lui sauta dessus, la chatouillant partout ou il le pouvait. Tous ça dégénéra et ils ce chatouillèrent mutuellement durant de longue minutes.

Finalement Annie déclara forfait et le supplia de la lâcher, ce qu’il fit à contre cœur. Quelques minutes passèrent.

- C’était vraiment très bien, dit-t-elle après avoir repris son souffle. J’ai adoré.
- C’est quand même drôle que t’arrêtes pas de gigoter les orteils dans toutes les sens et que c’est ton point le plus sensible. On dirait qu’tu fais exprès !
- Bah, t’sais, j’fais juste pratiquer mon numéro !
- ouais, c’est ça, et tantôt, quand t’as enlevé tes pantoufles, c’était aussi pour répéter ton numéro, j’suppose ?
- Hihi, non là, j’ai fais exprès, hihi !
- T’es vraiment incroyable toi !
- Hihi, merci.

Elle eu un petit sourire et détourna le regard, gêné.

- T’es vraiment très belle, lui dit-il après un moment.

Cette fois, c’est elle qui l’attira et qui l’embrassa.

Ils passèrent ainsi le reste de la nuit ensemble, échangeant baiser, caresse et chatouille.



À suivre…
 
suite

2° partie

La tourné était maintenant commencer depuis 3 mois et juin promettait d’être beau et chaud. Annie et Hugo étaient rendus un couple officielle sur le cirque. Ils avaient pourtant tenté d’être discrets après la fameuse soirée du film Québec Montréal, mais comme dans toute communauté fermée, leur secret fut vite mis à jours et ils cessèrent de se cacher.

En ce début juin, le cirque entamait sa tournée dans une région plus rurale de la Suisse, laissant les villes de coté pour la saison estivale. Ainsi, il n’était pas rare que le chapiteau ce retrouve au beau milieu d’un champ, avec rien d’autre autour que des pâturages et des vaches à cloches.

Lors des montages et des démontages du chapiteau, Hugo avait pour tâche, étant trapéziste, d’installer tout ce qui était aérien. Il devint ainsi très habile avec les cordes, et les nœuds n’avaient plus de secrets pour lui.

Il advint qu’un jour, le chapiteau était monté au milieu d’un champ. Les caravanes avaient été placées beaucoup plus loin pour ne pas être directement dans la bouette.

- Bravo, un sans faute ! dit-t-elle à Hugo après un spectacle particulièrement bien réussi.
- Merci, c’est vrai que j’étais pas mal en forme à soir. Toi aussi tu t’es bien débrouillé.
- Merci.

Il y eu un silence, puis il lui dit tout bas :

- Veux-tu faire quelque chose de spécial à soir ?
- Est-ce que tu veux savoir c’que j’ai envie de faire ou est-ce que c’est une proposition ?
- C’est une proposition, lui dit-il avec un sourire plein de sous-entendus.
- Qu’est-ce que t’as en tête toi ?
- Exactement c’que tu penses.

Elle rit.

- Viens me r’joindre dans le chapiteau à 2h00 du matin, ajouta t-il. J’veux qu’tu mettes ton bikini triangle que j’aime tant sous tes vêtements. Et soit à l’heure. Pas avant, pas après.
- T’es vraiment mystérieux, qu’est-ce que tu mijotes ?
- C’est une surprise.
- J’veux l’savoir sinon j’viens pas !
- Alors viens pas, mais ce sera tant pis pour toi !

Il lui fit un grand sourire et partit sans rien ajouter. Elle était très intriguée par ce qu’il préparait. Qu’allait t’il donc lui faire qui vaille le risque de se retrouver dans le chapiteau à 2h00 du matin ? Elle regarda sa montre : il n’était que 22h45.

Les heures suivantes passèrent à un rythme de tortue. Elle avait l’impression que le temps faisait exprès de prendre sont temps. Elle n’arrêtait pas d’essayer de s’imaginer ce qu’il pouvait lui préparer. Tous les scénarios qu’elle formait dans sa tête ne faisaient que l’exciter d’avantage et rendre l’attente encore plus insupportable.

Finalement, 2h00 arriva. Annie était au comble de l’exaspération. Toute cette attente avait fait monter en elle à la fois une peur et une excitation à la limite du supportable. Elle avait revêtu, comme il lui avait demander sont bikini triangle et portait par-dessus une camisole blanche et un petit short en jeans. Elle avait aussi enfilé aux pieds de petites chaussettes et des souliers de course.

Elle entra dans le chapiteau à 2h00 pile. Il y régnait une obscurité presque total excepter une dizaine de chandelle qui avait été disposées tout autour de la piste et qui brillait de leur petite flamme. Elle s’avança vers les chandelles, ne sachant pas trop ce qu’elle devait faire.

- Bonjours, va te placer au centre de la piste et ferme les yeux, dit la voie d’Hugo.

Sa voie était claire et ferme sans être trop autoritaire. Elle ne pouvait toutefois pas discerner où il se trouvait ni d’où venait sa voie. Un frisson remonta le long de sa colonne vertébrale et elle s’exécuta. Il arriva silencieusement derrière elle et posa les mains sur ses épaules, les massant doucement.

- Finalement, tu es venue, lui dit-il ironiquement.
- Ha ha ha, très drôle.
- Je t’ai préparé une surprise…, et je crois que ça va te plaire. Tu voix, il s’adonne que le chapiteau est en retrait au milieu du champ et que personne ne peut nous entendre…. Si on ne fait pas trop de bruit, bien sur. À cette heure, tout le monde dort et on ne risque pas d’être déranger…, mais on ne sait jamais.

Il laissa doucement descendre ses mains le long de ses bras, passa sur ses côtes, et s’arrêta au niveau de la taille, là ou arrivait sa camisole. Il la remonta jusque sous les seins, dévoilant ainsi son ventre bien entraîné. Puis très légèrement, il fit glisser une plume sur sa taille, la chatouillant doucement. Annie eu un frisson mais ne bougea pas tout de suite, essayant de se concentrer le plus possible sur autre chose que cette fichu démangeaison qui lui torturait la taille. Elle fini tout de même par céder et fit un mouvement avec sa main pour ce dégager.

- Non non non, n’essayes pas de me nuire dans mon travaille, sinon j’vais être obligé de t’attacher, et j’te chatouillerez pas seulement avec une plume !
- ARRRRRGGG, c’est chien, c’est vraiment dur !
- Mais non, t’as juste à te laisser faire. Maintenant, mets tes mains sur ta tête et arrête de bouger !

Elle mourrait d’envie qu’il l’attache et la torture sans pitié, mais elle voulait aussi lui prouver qu’elle était capable de se maîtriser et refusait de le laisser gagner aussi facilement. Elle mit ses mains sur sa tête et resta tranquille. Il recommença à la titiller, faisant glisser la plume sur sa taille, tantôt rapide, tantôt d’une insoutenable lenteur. Il variait les rythmes et les endroits, allant sur son ventre et dans son dos, sans oublier son adorable petit nombril. Annie, vivait un véritable supplice et gigotait dans tout les sens. Elle se refusait pourtant à descendre les mains. D’un coté, elle ressentait cette atroce démangeaison et voulait à tout prix que cela cesse, et de l’autre, même si elle mourrait d’envie qu’il l’attache, elle redoutait ce moment qui semblait ce rapprocher inévitablement.

Elle tenu bon pourtant encore trois bonne minutes, mais au final, le résultat était connu d’avance. Après un habile mouvement de plume dans son nombril, Annie ne pu en supporter d’avantage et descendit ses main pour se dégager.

- Tu l’auras voulu, j’vais devoir t’attacher ! Mais avant, voudrais-tu enlever ta camisole, stp ?
- Est-ce que j’ai le choix ?
- Euh en fait, non. Mais j’oubliais, fait ça lentement et de manière sexy !
- Espèce de profiteur, t’avais tous prévu depuis le début ?
- Hey hey, on peut dire ça, en effet.

Il se recula d’un pas, croisa les bras et attendit qu’elle s’exécute. Elle lui lança un regard noir mais ne pu réprimer un petit sourire d’amusement. Elle s’exécuta. Hugo n’en perdit pas une miette. Elle était tellement belle, autant en profiter. Lorsqu’elle eu terminé, il revint vers elle.

- T’es vraiment belle, tu sais ?
- Ouais, c’est ça, tu dis ça juste pour m’amadouer.
- Non, je suis sincère ! Maintenant, colle tes mains ensemble que je t’attache.

Elle s’exécuta. Il sortit une corde de sa poche et lui lia habilement les poignets.
Il fit ensuite descendre une corde du plafond et à l’aide d’une sangle qu’il fixa aux liens de ses poignets et au mousqueton de la corde, il la força à relever les bras au dessus de la tête. Annie eu soudain un immense sentiment de vulnérabilité. Elle se voyait là, au milieu du chapiteau, vêtu seulement d’un haut de bikini et d’un petit short, les mains attachées au dessus de sa tête. Elle se rappela alors les paroles de Hugo quelques minutes auparavant.
<< Tous le monde dort et on ne risque pas d’être dérangé, mais on ne sais jamais. >>
Une immense peur d’être découverte s’empara d’elle. S’il fallait que quelqu’un entre à ce moment, ce serait sa mort.

Hugo s’approcha d’elle. Il posa ses mains sur ses côtes, la caressant doucement. Annie frissonnait d’excitation. Ses mains descendirent jusqu’à son short et détachèrent le bouton. Il le fit descendre lentement, lui caressant doucement les cuisses et les jambes au passage. Finalement, il lui fit lever un pied après l’autre et lui retira complètement son short.

Il lui lia ensuite les chevilles ensemble à l’aide d’un autre bout de corde. Elle portait toujours ses chaussettes et ses souliers. Il termina le bondage avec un bandeau sur les yeux. Annie était maintenant complètement à sa merci. Elle était, l’espace de cet instant, entièrement offerte à lui, sans défense, ainsi ligoter et presque nue. Elle était partagée entre une immense excitation et une angoisse inimaginable. Elle savait ce qui l’attendait, et redoutait le moment ou il poserait ses mains sur elle pour la torturer sans pitié, la faisant hurler de rire et le supplier de la laisser reprendre son souffle. Plongé ainsi dans l’obscurité, elle sentait sa présence, mais ne pouvait prévoir d’où viendrait la première attaque.

Hugo la regardait, voyant sa détresse et son immense excitation. Il savait qu’elle avait attendu ce moment toute sa vie et n’avait pas l’intention d’avoir pitié d’elle lorsqu’elle le supplierait. Il la laissa ainsi un moment, sans rien dire, dans l’attente du moment de vérité…


À suivre…
 
Suite

3° partie

Annie senti Hugo s’approcher d’elle. Son cœur tambourinait dans sa poitrine lui donnant l’impression que tout le monde pouvait l’entendre battre. Il lui tourna autour quelques instants, soufflant sur son ventre ou dans son dos, histoire de faire monter la tension en elle.

Puis, sans prévenir, il attaqua son aisselle gauche, gratouillant avec ses doigts la peau si sensible. Annie eu un spasme de surprise et poussa un cris. C’était pire que tout ce qu’elle avait pu s’imaginer. Être ainsi ligoté lui enlevait toute possibilité de se soustraire aux chatouilles. Elle ne pouvait rien faire d’autre que de gigoter en vain. Les cris se changèrent en rire. Hugo faisait habilement varier les rythme et l’intensité de ses gratouillis, suivant ainsi les réaction de sa victime.

Après plusieurs minutes, sa deuxième main alla taquiner l’aisselle droite d’Annie, faisant redoubler l’intensité de ses rires. Le son de sa voie était de la musique pour les oreilles et Hugo avait l’impression d’être dans un rêve. Il faisait bouger les doigts régulièrement sous ses bras, ne lui laissant aucune seconde de répit.

C’était comme si des centaines de fourmis courraient sur sa peau. Elle était partagée entre une exaspération extrême et un plaisir immense, ne sachant pas au font d’elle-même si elle voulait que sa s’arrête ou que ça continu. C’était à la foie insupportable et délicieux.

Il passa alors à ses côtes, faisant monter de plusieurs décibels les rires et les cris de la pauvre Annie. Elle était beaucoup plus chatouilleuse à cet endroit.

- NON PAS LES CÔTES ! Hurla t-elle entre deux éclat de rire. NON, HAHAHA, ARRÊTE, JE HAHAHAHA SUIS TROP HAHAHA CHATOULLEUSE HAHAHAHA
- Quoi ? Répète, j’n’ai pas bien compris, tu ries trop fort.
- STOOOOOOOOOOOOPPP, HAAHAAHAAHHHAAAHHAAA, ARRÊTE ! Cria t-elle.
- D’accords, j’te laisse respirer quelque instant.
Il ralentit quelque peu le rythme des chatouilles mais ne s’arrêta pas complètement, lui donnant faussement l’impression qu’elle allait avoir quelques instants de répit. Il redoubla aussitôt l’intensité de ses chatouilles, pinçant habilement les côtes qu’il avait sous les doigts. Annie émit un hurlement démentiel et se remis à rire avec une énergie renouvelée.

HAAAAAAAAAAAAAHAHAHAHAHAHAHAHAHHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAhahahaha. HAAAAAAAAAAAAAAAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAhahahahah.

Elle riait jusqu’à la limite de ses poumons, poussant un hurlement haut et fort juste après avoir repris son souffle et riant longtemps après avoir fini d’expirer. Elle se débattait furieusement dans ses liens pour essayer d’échapper en vain à cette terrible torture. Des goûtes de sueur commençais à apparaître sur sa belle peau. Hugo continua de lui chatouiller ainsi les côtes un long moment, maintenant Annie dans une insoutenable tension. Tout son corps était contracté et elle se fatiguait rapidement, faisant doucement tomber ses défenses.

- STOOOOOOOOOP, PiiiTiiiiiiiiiiiiiiiiiiiier, je n’en peu plus. HHAAAAAAAAAAAAAAAHAHAHAHAHAhahahahahahahaha.
- Tu demandes déjà pitié? Ça fait juste une vingtaine de minutes que j’te chatouille.
- PiiiTiiiiiiiiiiiiiiiier, hihihi hahahah HAHAHAHA, PAS LES CÔTES!

Ses doigts passèrent à son ventre, laissant un peu de répit à ses pauvres côtes qui avaient déjà eu plus que leur dose. Mais Annie n’était pas au bout de ses peines car si son ventre était moins chatouilleux que ses côtes, elle n’avait plus autant de force pour résister. Il s’amusait à faire glisser ses doigt sur ses abominaux bien contracter sous l’effort qu’il la forçait à déployer. Par moment, il s’arrêtait subitement, pour ensuite la prendre par surprise sur un autre endroit, la faisant crier de surprise et d’exaspération.

Il prit ensuite une brosse à dent électrique et lui chatouilla le nombril. Il variait habilement ses attaques, tournant par moment autour de la dite cible ou plongeant la brosse au centre de son ventre pour la laisser simplement là, déclanchant chez sa propriétaire une série de rire incontrôlable.

Il s’arrêta quelque seconde histoire de la laisser respirer un peu et reprit sur ses jambes. Il commença d’abords derrière ses genoux, faisant des passages légers avec une plume, mais voyant le manque de réactions, il remonta le long de ses cuisses, incérant par moment la plume entre elles. Plus il remontait, plus Annie semblait démontrer des signes de sensibilité. Lorsqu’il arriva à la base des fesses, ce fut l’explosion.

Hugo, ravit de sa découverte, se concentra un moment sur la zone formant la limite de la fesse et de la cuisse. Il remonta alors un peu le tissu de son maillot de bain et fit littéralement voler la plume sur la peau hyper sensible de sa fesse. Annie ne s’était jamais fait chatouiller à cet endroit et fut aussi surprise qu’Hugo d’apprendre qu’elle était à ce point chatouilleuse sur les fesses. La démangeaison était absolument infernale. Elle tenta désespérément de se soustraire à ce satané picotement en ce contorsionnant dans tout les sens, en vain. Il ne la lâchait pas d’une semelle.
- ARRÊTE! HAHAHA, C’EST INSUPORTABLE! Parvint-elle à articuler entre deux souffles. HAHAHAHA STOP!!
- J’ai pas l’goût d’arrêter, c’est beaucoup trop drôle! Dit-il en riant également.
- STOP PITIÉ, JE N’EN PEUX PLUS!! Hurla-t-elle.
- Mais c’est seulement une plume! J’suis sur que tu peux en supporter encore un peu.

Il remonta alors l’autre coté de son maillot de bain, formant ainsi un « J-string » avec ce dernier et laissa glisser son instrument de torture partout sur sa peau. Annie poussa en soupir d’exaspération et continua à rire infatigablement. Il lui fit subir cette torture encore une dizaine de minutes, rendant Annie presque folle.

Finalement, il lui attrapa la taille à pleine main et la chatouilla vigoureusement, la faisant basculer dans une autre dimension. Il maintint ce rythme infernal une trentaine de seconde puis stoppa net de la chatouiller. Elle eu encore quelques petits rires involontaire et se fut le silence total. Elle semblait épuiser.

Hugo vint vers elle et ôta délicatement le bandeau qu’elle avait sur les yeux. Puis il détacha ses chevilles et libéra ses mains. Il passa ensuite une couverture sur ses épaules pour ne pas qu’elle est froid et la serra dans ses bras.

Un moment passa. Il lui donna un bout de chocolat et un peu d’eau.

Malgré l’intensité de ce qu’elle venait de vivre, Annie se portait bien. Reprenant ses esprit, elle ce redressa et lui dit :

- Wow…, alors ça…, s’tait intense. J’savais pas qu’j’étais aussi chatouilleuse sur les fesses.
- Eh eh, moi non plus. Mais c’était vraiment drôle de t’voir! J’faisais juste t’effleurer la peau et tu réagissais comme si les milles démons d’l’enfer étaient sur toi!
- Mais comment tu savais que j’rêvais de vivre une séance pareille? J’t’en avais jamais parlé!
- Non, en effet, mais disons qu’j’ai lu entre les lignes.
- Lu entre les lignes ?
- Et bien disons que t’avais démontré des signes évidents.
- Tu parles de c’fameux soir où tu m’as invité et qu’on s’est chatouillé toute la soirée?
- Oui entre autre et de plusieurs autres moments. Mais c’est sans importance.

« Vois-tu, pour la suite… oh… et ne me regarde pas comme ça, tu ne pensais pas sérieusement que j’allait me contenter seulement du haut de ton corps ? Tu oublies tes adorables petits pieds que j’aime tant! J’adorerais les chatouiller mais après ce que tu viens de vivre, je comprendrais aussi que tu veilles arrêter maintenant. Je te laisse donc devant ce choix :
- Soit il est tard et on va se coucher
- Soit je t’attache et je chatouille tes adorables pieds pour la prochaine heure. Voilà, c’est à toi de voir!


À suivre…
 
suite et fin

4° partie

Annie avait déjà pris ça décision. Hugo était près d’elle et semblait impassible, ne laissant transparaître aucune émotion. Elle savait qu’il venait de prendre le risque qu’elle lui dise non, ratant ainsi une chance en or. Mais elle savait aussi qu’il était intelligent et qu’il n’avait pas pris ce risque à la légère. La balle était pourtant dans son camp et elle avait bien l’intention d’en profiter un peu.

- J’sais pas, lui dit-t-elle. J’ai ma journée dans l’corps et après c’que tu viens de m’faire vivre, je s’rais un peu maso d’accepter que tu m’chatouilles une autre heure. J’pense que j’vais aller me coucher. Bonne nuit. Elle se leva et se dirigea vers la sortie.
-…Mais… Mais…, eh ee…
Elle se retourna et en voyant sa tête, elle explosa de rire.
- Tu devrais voir ta tête, On dirait qu’tu viens d’apprendre que l’Père Noël existe pas! Elle rie de plus belle.
- Mais c’est que j’pensais que…
- fait toi en pas mon chéri, le Père Noël existe! Elle lui fit un grand sourire.
Un moment passa.
- Alors ? Tu vas pas rester là toute la nuit à m’regarder en souriant ? Comment t’as l’intention de m’attacher ?
Elle lui avait dit ça avec le plus grand naturel. Il n’en revenait toujours pas de sa petite farce. Il y avait vraiment cru.
- Bon, puisque tu bouges pas, je prends les devant.
Elle commença à se déchausser. Hugo repris alors ses esprits.
- Non, pas tout de suite, lui dit-il. J’me réserve ce moment.
- Qu’est-ce que j’dois faire alors ?
- Reste ici. J’vais derrière et j’reviens tout de suite.
Il ce leva et se dirigea vers les coulisses. Il revint bientôt avec une grande boite rectangulaire monter sur roulettes et qu’il amena au centre de la piste.

En voyant la boite, Annie compris immédiatement ce qu’il avait en tête.

- t’es fou, tu veux utilisé la boite de Tom ?
- Oui ma chère. Crois moi, tu vas adorer!
Annie se leva à son tour et approcha de la boite. Il s’agissait d’une grande boite rectangulaire en bois, qui avait la particularité de pouvoir accueillir quelqu’un. Elle était cependant trop petite pour permettre de s’y allonger complètement. Des trous avaient donc été ménagés à chaque extrémité pour laisser sortir la tête, les mains et les pieds. C’était la boite de Tom le Magicien. Son numéro de magie consistait à enfermer Suzie, son assistante, à l’intérieur et à la scier en deux.

Le numéro de Tom était le moment préférer de Hugo dans le spectacle. En effet, après avoir enfermer sa jolie assistante à l’intérieur de la boite, il lui chatouillait toujours un peu les pieds avec une belle grande plume bleu, histoire de montrer au public qu’il n’y avait pas de trucage. Suzie était cependant très chatouilleuse et Tom faisait toujours exprès d’allonger au maximum ce moment, ce qui créait parfois de petite dispute après le numéro.

Hugo rêvait d’y enfermer sa belle Annie et de la chatouiller avec cette grande plume bleu. Il avait souvent observé Tom en coulisse, apprenant ainsi comment fonctionnait la boite. Annie commençait à anticiper, ce voyant déjà soumise au doux supplice des chatouilles. Hugo ouvrit la boite et déposa lentement une couverture à l’intérieur.
- Voilà, dit-il. Maintenant, allonge toi stp.
Elle s’exécuta. Elle était de plus en plus excitée.
- Très bien. T’as tu quelque chose à dire avant de sceller ton sort ?
Elle le regarda droit dans les yeux et lui dit :
- Oui, n’est pas de pitié, chatouille moi sans merci! Et dépêche toi de refermer cette boite, j’n’en peu plus d’attendre.
Hugo fut très surprit par sa réponse. Il s’attendait à n’importe quoi, sauf à ça. Elle était d’ordinaire beaucoup plus réservée et timide. Il en fut cependant satisfait.
- Bon voyage! dit-il! Tom disait toujours ça à ce moment de son numéro.
Il referma la boite et verrouilla le couvercle à l’aide des clampes prévus à cette effet.

Annie était terriblement excitée. Elle avait une certaine liberté de mouvement à l’intérieur de la boite, mais ne pouvait absolument pas bougé les pieds. Les trous étaient juste assez espacés pour qu’elle ne puisse se protéger. Sa tête passait quant à elle dans le trou un peu plus grand que les autres et était appuyer sur un petit appuis tête conçu spécialement à cet effet. Cependant, même en s’étirant, elle ne pouvait pas voir ses pieds car le rebord de la boite montait trop haut. Finalement, ses mains passait dans deux autres trous ménagé de chaque coté de la tête.

Hugo vint se placer au bout de la boite. Il détacha doucement les lacets, puis lui enleva lentement ses chaussures, savourant chaque secondes de ce moment unique. Elle portait de délicates chaussettes blanches et bougeais les orteils doucement, histoire de le rendre encore plus fous de désirs. Il attrapa délicatement sa chaussette et la fit remonter le long de son pied, caressant la peau au passage. Elle avait attendu se moment avec tellement d’impatience! Le contact de l’air frais sur sa peau légèrement en sueur la fit frissonner d’excitation. Il posa ensuite doucement ses doigts sous son pied gauche et lui fit de petite caresse de haut en bas, sans essayer de la chatouiller. Sa peau était d’une douceur inimaginable. Il sentait chaque relief, chaque bosse, suivant la forme quasi parfaite de son pied.

Annie était au huitième ciel. Le contact des doigts sur son pied, la chaleur qu’ils dégageaient et qu’elle ressentait sur sa peau était absolument délicieux. L’autre main de son bourreau vint se joindre à la première, enveloppant tout son pied dans une étreinte de tendresse et d’amour absolu. Tandis qu’il la caressait, elle avait presque l’impression qu’il pouvait sentir battre son cœur à travers son pied, tellement il se démenait dans sa poitrine. Elle savait qu’il essayait d’endormir sa vigilance, et cela fonctionnait à merveille. Il variait les pressions et les mouvements avec une telle habileté !

Les mains de Hugo passèrent à son pied droit, reprenant le même traitement et la laissant gaver de bonheur et de plaisir. Elle ronronnait telle un chat que l’on gratte derrière les oreilles. Voyant son état d’abandon total, il changea de tactique, commençant à la chatouiller doucement sous la plante. Annie, à l’autre bout de la boite, eu un petit sourire mais ne rie pas encore. Il gratouillait légèrement, variant les endroits et les pression. Elle bougeait doucement le pied, de manière symbolique plus que pour tenter d’échapper à son sort.

Hugo accéléra alors régulièrement le rythme des passages et commença à la chatouiller net. Annie tenta de résister encore quelque seconde mais la démangeaison devint rapidement trop intense et elle explosa de rire. C’était un rire franc, un rire de bonheur absolu, sans la moindre note de douleur. Si elle ne pouvait pas supporter les chatouilles sur certaine parti de son corps, elle adorait en revanche sentir cet insupportable picotement sous ses pieds. Les deux sentiment était en équilibre précaire et elle ne pouvait dire si elle souhaitait qu’il arrête ou qu’il continu.

Elle pointait et arquait les orteils au maximum, bougeant aussi un peu le pied par moment. Hugo déplaça sa main gauche sur l’autre pied d’Annie, la faisant sursauter. Elle poussa un petit cri et rie de plus belle. Il faisait voler ses doigts sous ses adorables pieds, insistant par moment sur les endroits les plus réactifs. Les rires s’intensifièrent encore. Ses deux pieds étaient chatouillés sans merci.

- Stop, Hihihi, Ça chatouille! Arrête !

Elle avait dit cela avec bien peu de conviction. Hugo usa alors de ses deux mains sur le pied droit, usant de la première pour le lui tirer vers l’arrière et de l’autre pour la chatouiller habilement sous les orteils bien dégager. Annie eu un spasme de surprise et tenta en vain de ce dégager. Elle riait aux éclats et commençait à le supplier.

- STOP, PITiiiiiiiiiiiiier, PAS SOUS LES ORTEILS! HAHAHA
- J’voudrais bien arrêter mais tu m’as ordonné de te chatouiller sans pitié. J’y peu rien, je dois continuer!

Il était très amusé par la situation. Il grattait s’en interruption sous les orteils, s’insinuant parfois entre ceux-ci. Il lâcha finalement son pied droit pour ce diriger vers le gauche. Il reprit la même technique que sur le pied précédent, ne lui laissant aucune seconde de répit.

Il continua de la chatouiller ainsi un long moment, faisant perdre à Annie le fil du temps et de l’espace, gaver qu’elle était dans cette univers de sensation sans fin. Elle riait de sa belle voie claire, inondant l’atmosphère de cette douce musique pour les oreilles. Il ralentit alors le rythme de ses doigts, faisant doucement redescendre Annie sur terre.

Il se leva et alla chercher une petite bassine qu’il avait préparée. Elle était remplit d’eau salée, qu’il avait emmené à ébullition peu de temps auparavant. L’eau avait refroidit et elle était maintenant juste assez chaude pour ne pas se brûler la peau. Il prit alors un linge de coton qu’il mouilla et imbiba d’eau, puis il en enveloppa son pied droit.

Le linge était chaud et le contact sur la peau était agréable. Elle adorait lorsqu’il s’occupait ainsi de ses pieds, les enveloppant d’amour et de tendresse. Il massa son pied quelque instant puis administra le même traitement à son pied gauche. L’eau chaude eu pour effet de ramollir la peau déjà très sensible. Lorsque les deux pieds fur bien réchauffer, il prit un autre linge et épongea le surplus d’eau, laissant la peau légèrement humide et toute gonfler, prête à recevoir les chatouilles les plus perverses. Annie n’avait, malheureusement pour elle, aucune idée de tout ça, croyant naïvement qu’il avait un moment de faiblesse et qu’il se laissait aller à adorer ses petits pieds.

Hugo ouvrit alors un tiroir situé sous la boite et en sortit la belle grande plume bleu. En la voyant, Annie ne pu réprimer un frisson de peur, anticipant déjà la terrible sensation que cette dernière allait provoquer.

- Tu sais, avec le petit massage réchauffant que je viens de t’offrir, tu vas maintenant être terriblement chatouilleuse. Il lui passa alors délicatement la plume sous le nez, déclanchant au passage de petite protestation.
- Tu ne me fait pas peur, dit-t-elle de façon très peu convaincante. Sa voie était légèrement tremblante, trahissant toute l’angoisse et l’excitation qu’elle pouvait ressentir à ce moment.
- Eh bien, voyons ça tout de suite, ajouta-t-il.

Il se dirigea vers l’autre bout de la boite tout en gardant la plume dans le chant de vision d’Annie. Puis, lorsqu’il fut en place, il la fit descendre doucement vers l’objet de tous ces plaisirs, jouant avec sa victime tel un chat avec une souris avant de donner le coup de grâce. Annie vit la plume disparaître vers ses pauvres pieds si sensibles. Elle s’attendait à ressentir un contact mais rien ne se produisit. Hugo faisait exprès de la maintenir dans cette attente, l’angoissant encore d’avantage.

Finalement, le verdict tomba. Hugo fit alors glisser la plume sur toute sa longueur entre les orteils d’Annie, déclenchant une série de rire et de cris tout simplement délicieux. La plume était terriblement longue et chaque passage n’en finissait pas, rendant le supplice encore plus insupportable. Elle se débattait furieusement à l’intérieur de la boite, le suppliant d’arrêter.

- NON PAS ENTRE LES ORTEILS !! HAAAAAAAAHAHAHAhahahahaha

Sa peau était tellement sensible à présent qu’elle avait reprit se rire qui va à la limites de la respiration. La plume continuait ses passage, infatigable, provoquant les terribles démangeaisons.

Hugo posa alors sa main libre sur l’autre pied, la chatouillant férocement sur la plante, redoublant ainsi les rires de la pauvre victime. Il varia habilement les passages, les techniques, alternant les doigts et la plume. Sa peau était ultra sensible et semblait ne l’être que d’avantage avec le temps. Il maintint ce traitement pour le reste du temps à louer, amenant Annie dans une autre dimension, la faisant dépasser de beaucoup toute les limites quel croyait avoir.

Lorsqu’il arrêta enfin, Annie avait cessé de se débattre depuis un moment. Elle restait là, étendu dans la boite, n’ayant plus la force de résister et acceptait son sort dans une immobilité cadavérique. Les rires et les petits sursauts de son ventre étaient les seuls témoins du contraire. Elle continua de rire un moment après qu’il ait arrêté. Finalement il la libéra et la serra dans ses bras. Elle le serra à son tours, comme réanimer par se contact. Il allèrent ce coucher, s’endormant aussitôt, blotti l’un contre l’autre, totalement épuiser.


Fin
 
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