L’histoire d’Annie
Annie était un peu nerveuse lorsqu’elle descendit de l’avion en provenance de Montréal. Non seulement c’était sa première expérience en Suisse, mais ce l’était également en Europe. C’est qu’elle venait de décrocher son premier contrat de cirque.
Annie était artiste de cirque, plus particulièrement contorsionniste. Elle avait une flexibilité naturelle et était capable de ce plier dans tout les sens. Des années de travaille acharné lui avait permis de créer un numéro de très bonne qualité. Ce contrat avec le cirque était l’aboutissement ultime de tous ses efforts. Elle venait tout juste d’avoir vingt ans, mesurait 5 pieds (1 m 55 environ) et avait les cheveux châtain blond, légèrement ondulé, coupé à hauteur d’épaule. Elle avait les yeux vert, et peu de gens était capable de soutenir sont regard lorsqu’elle posait ses yeux sur eux. Elle était très simple et riait souvent et facilement. De nature plutôt timide, elle ne parlait pas facilement d’elle-même, bien que si on lui posait la question, elle répondait le plus sincèrement possible. Elle arrivait néanmoins à surmonter cette timidité et pouvait même se montrer provocatrice par moment.
Une seule chose était tabou chez elle : les chatouilles. Elle adorait ce faire chatouiller. Mais cela ne lui était pratiquement jamais arrivé. Bien sur, lorsqu’elle était plus jeune, il lui arrivait de ce faire chatouiller par ses camarades, mais cela ne durait jamais bien longtemps. Et sa timidité l’empêchait d’en redemander, de peur d’être mal juger par les autres. En fait, elle en avait presque honte, et n’en avait jamais parler à personne. Elle se demandait si elle était normal et était convaincu d’être la seule à aimer se faire chatouiller.
Lorsque Annie sortit de l’aéroport, elle vie un beau jeune homme, tenant un carton avec son nom écrit dessus. Il mesurait 5 pieds 5 (1 m 68 environ), avait les cheveux châtain et les yeux bleu. Il avait belle allure et semblait assez sur de lui. Elle se dirigea vers lui.
- Bonjours, moi c’est Annie.
- Salut, moi c’est Hugo. Enchanter Annie
À son accent, elle su immédiatement qu’il était lui aussi Québécois et fut soulagé de savoir qu’elle ne serait pas la seul.
- Vient, laisse moi prendre ta valise, on a une bonne heure de route à faire et je voudrais te présenter à toute l’équipe. C’est-tu ta première fois en Suisse?
- Oui, en fait je n’ai jamais vraiment voyagé. C’est ma première fois en Europe.
- J’suis sur que tu vas aimer ça. Moi c’est ma deuxième tourné avec le cirque. J’suis trapéziste. Toi, c’est quoi ta discipline ? (En fait, il le savait déjà, mais il fit comme si de rien n’était.)
- Je suis contorsionniste, répondit Annie.
Il parlèrent ainsi durant tout le transport, vers le lieu ou était installé le cirque en ce début février. Elle appris entre autre qu’il allait y avoir un mois de répétition et qu’ils allaient pouvoir s’entraîner seulement le matin. Elle appris aussi qu’elle était la dernière arrivante et que toute l’équipe était déjà réuni. Hugo était très curieux de connaître Annie. Il n’arrêtait pas de lui poser des questions sur son cheminement et comment elle avait abouti au cirque. Elle répondait volontiers à ses questions. Il semblait être quelqu’un de simple, qui aimait la vie et qui aimait rire. Cela plu à Annie et ils développèrent rapidement une belle complicité.
Les répétitions avaient maintenant commencés depuis deux semaines et les deux québécois passaient relativement beaucoup de temps ensemble. Un jour, lors des entraînements matinaux, Hugo vint assister à l’entraînement d’Annie et remarqua qu’elle avait vraiment de très jolis pieds. Il avait une passion pour les pieds depuis toujours. Ça saison farorite était le printemps, car toute les fille laissaient tombé les bottes pour de jolis petites sandales. Il adorait aussi les chatouilles et en voyant ses orteil gigoter en l’air (il s’agissait d’un élément artistique de son numéro de contorsion, bougé les orteils dans toute les directions, les écarter, les pointer, etc.), il eu irrésistiblement envie de les chatouiller.
Les jours suivant, Hugo était presque toujours présent aux entraînement d’Annie. Il la trouvait belle et ne pouvait plus se passer de regarder ses mignon petits pieds et surtout ses orteils quel faisait bouger dans tous les sens. Il mourrait d’envie de la chatouiller, de la faire hurler de rire et qu’elle le supplie d’arrêter, que c’était de la torture.
Annie, de son coté, n’avait rien remarqué, outre le fait qu’Hugo la regardait travailler et qu’il semblait lui vouer une affection particulière. Il est vrai que les deux s’entendait vraiment très bien et qu’ils avaient beaucoup de points en commun. De toute façon, elle l’aimait bien et le fait qu’il lui porte autant d’attention n’était pas pour lui déplaire.
Un soir, Hugo invita Annie dans sa caravane pour regarder le film Québec Montréal. Elle accepta volontiers et lui dit qu’elle arrivait immédiatement après sa douche. Elle arriva bientôt, vêtu seulement d’une petite camisole et d’un boxer. Elle ne portait pas de chaussette mais seulement des pantoufles. Ils s’installèrent confortablement sur le lit d’Hugo, pelotonné l’un sur l’autre et commencèrent le film.
- T’sais, j’voulais te dire que j’aime vraiment ton numéro d’contorsion, dit Hugo après un moment.
- Merci, c’est gentil.
- Mais j’voulais savoir, c’est quoi au juste que tu fais avec tes orteils, tu les fais bougés dans toutes les sens ?
- Ça fait parti de la chorégraphie. C’est mon entraîneur qui avait eu cette idée pour mon numéro. Pourquoi, t’aime-ça?
- Oui, j’trouve ça très beau. T’as vraiment des jolis pieds et ça les mets en valeur.
À cette remarque, Annie jeta un regard en coin vers Hugo et eu un petit sourire gêner. Hugo était quant à lui soudainement très concentré sur le film, mais la couleur de ses joue trahi sa gène évidente.
Après un moment, Annie fit mine de s’étirer et allongea ses jambes nues. À la réaction de Hugo, elle comprit qu’elle avait capté son attention et à l’aide de son pied gauche, enleva lentement sa pantoufle droite. Elle fit de même avec la pantoufle gauche. Hugo vit alors deux magnifiques petits pieds. Ils avaient une belle arche juste assez prononcer et des orteils parfaitement aligné. Elle entreprit alors de doucement les faire bouger comme dans son numéro.
Hugo n’en croyait pas s’est yeux. Elle le provoquait. Elle avait fait cela exprès. Ça méritait punition d’être aussi arrogante. Il lui dit :
- T’as l’air un peu tendu, veux tu que j’te fasse un massage ?
- Euh oui, d’accords, je veux bien.
Elle lui présenta son dos mais il se dirigea vers ses jambes et prit ses pieds sur ses genoux. Elle fut à peine surprise et lui fit un grand sourire. Hugo commença son massage. Elle avait la peau incroyablement douce et ils étaient aux anges. Lui parce qu’il avait ses pieds sur un plateau d’argent et elle, parce que s’était très agréable et qu’elle rêvait qu’il la chatouille. Hugo fit alors un faux mouvement et chatouilla (accidentellement) la plante de pieds.
- Hihihi, va y doucement, je suis vraiment très chatouilleuse, lui dit-t-elle, avec un grand sourire.
Elle était assise en écaire par rapport à lui, avec les bras légèrement derrière elle pour maintenir le haut de son corps verticale. Elle le fixait intensément car elle se demandait si il avait saisi l’allusion lorsqu’elle lui avait demandé d’y aller doucement.
Il lui rendit son sourire et commença à faire des passages très légers du bout des doigts sur la plante des pieds. Annie rit doucement et agita les orteils mais ne fit aucun mouvement pour retirer s’est pieds. Il varia ainsi les rythmes et les pressions pour voir les endroits les plus sensibles de son pied. Il s’avéra qu’un point au bas de la plante, près du talon était particulièrement chatouilleux et il s’y attarda quelque instant, déclenchant chez Annie une série de petit rire incontrôlable. Elle ne faisait toujours aucun mouvement pour essayer de se soustraire aux chatouilles et seuls ses orteils gigotaient frénétiquement.
Après une dizaine de minutes de ce doux traitement, il ralenti le rythme et dit a Annie qui riait toujours :
- t’sais, tes petits orteils qui gigotent tout le temps, sont-tu chatouilleux eux?
- Hihi, je ne sais pas, à toi de le découvrir.
Hugo regarda alors Annie d’une toute autre Façon. Elle était là, offerte à lui, elle le regardait d’un air vulnérable et il la trouva belle. Elle lui souriait timidement et attendait la suite. Elle avait l’air d’aimer se faire chatouiller. Il se pencha alors vers elle et lui fit signe de s’approcher. Elle lui souriait toujours et ils s’embrassèrent tendrement.
Mais Hugo n’en avait pas fini avec ses pieds et ses orteils l’avait bien trop n’arguer pour qu’il en reste là. Il glissa doucement sa main juste sous ses orteils se qui fit sursauter Annie.
- Hey, c’est de la triche. Tu essais de me déconcentrer et hihi haha, HAHAHA
Elle n’eu pas le temps de finir sa phrase et ce remis à rire de plus belle. Elle était nettement plus chatouilleuse à cet endroit et tenta de retirer ses jambes. Hugo attrapa alors ses chevilles d’un bras et la chatouilla férocement sous les orteils. Elle ce mis à hurler de rire et à se débattre furieusement. Il faisait aller ses doigts vigoureusement sous ses pieds et Annie vivait un véritable supplice.
- NON, pas là, je t’en supplie, pas sous les orteils, je suis vraiment trop chatouilleuse, ARRÊTE !!
Elle tenta de contre attaquer en chatouillant à son tour Hugo sur les cotes.
- Hey, qu’est-ce que tu fais, arrête. Ça chatouille.
- HAHAHAHA alors, HAHAHAHA lâche HAHAHA mes pieds HAHAHA.
- D’accords, mais tu l’aura voulu.
Il lâcha ses chevilles et lui sauta dessus, la chatouillant partout ou il le pouvait. Tous ça dégénéra et ils ce chatouillèrent mutuellement durant de longue minutes.
Finalement Annie déclara forfait et le supplia de la lâcher, ce qu’il fit à contre cœur. Quelques minutes passèrent.
- C’était vraiment très bien, dit-t-elle après avoir repris son souffle. J’ai adoré.
- C’est quand même drôle que t’arrêtes pas de gigoter les orteils dans toutes les sens et que c’est ton point le plus sensible. On dirait qu’tu fais exprès !
- Bah, t’sais, j’fais juste pratiquer mon numéro !
- ouais, c’est ça, et tantôt, quand t’as enlevé tes pantoufles, c’était aussi pour répéter ton numéro, j’suppose ?
- Hihi, non là, j’ai fais exprès, hihi !
- T’es vraiment incroyable toi !
- Hihi, merci.
Elle eu un petit sourire et détourna le regard, gêné.
- T’es vraiment très belle, lui dit-il après un moment.
Cette fois, c’est elle qui l’attira et qui l’embrassa.
Ils passèrent ainsi le reste de la nuit ensemble, échangeant baiser, caresse et chatouille.
À suivre…
Annie était un peu nerveuse lorsqu’elle descendit de l’avion en provenance de Montréal. Non seulement c’était sa première expérience en Suisse, mais ce l’était également en Europe. C’est qu’elle venait de décrocher son premier contrat de cirque.
Annie était artiste de cirque, plus particulièrement contorsionniste. Elle avait une flexibilité naturelle et était capable de ce plier dans tout les sens. Des années de travaille acharné lui avait permis de créer un numéro de très bonne qualité. Ce contrat avec le cirque était l’aboutissement ultime de tous ses efforts. Elle venait tout juste d’avoir vingt ans, mesurait 5 pieds (1 m 55 environ) et avait les cheveux châtain blond, légèrement ondulé, coupé à hauteur d’épaule. Elle avait les yeux vert, et peu de gens était capable de soutenir sont regard lorsqu’elle posait ses yeux sur eux. Elle était très simple et riait souvent et facilement. De nature plutôt timide, elle ne parlait pas facilement d’elle-même, bien que si on lui posait la question, elle répondait le plus sincèrement possible. Elle arrivait néanmoins à surmonter cette timidité et pouvait même se montrer provocatrice par moment.
Une seule chose était tabou chez elle : les chatouilles. Elle adorait ce faire chatouiller. Mais cela ne lui était pratiquement jamais arrivé. Bien sur, lorsqu’elle était plus jeune, il lui arrivait de ce faire chatouiller par ses camarades, mais cela ne durait jamais bien longtemps. Et sa timidité l’empêchait d’en redemander, de peur d’être mal juger par les autres. En fait, elle en avait presque honte, et n’en avait jamais parler à personne. Elle se demandait si elle était normal et était convaincu d’être la seule à aimer se faire chatouiller.
Lorsque Annie sortit de l’aéroport, elle vie un beau jeune homme, tenant un carton avec son nom écrit dessus. Il mesurait 5 pieds 5 (1 m 68 environ), avait les cheveux châtain et les yeux bleu. Il avait belle allure et semblait assez sur de lui. Elle se dirigea vers lui.
- Bonjours, moi c’est Annie.
- Salut, moi c’est Hugo. Enchanter Annie
À son accent, elle su immédiatement qu’il était lui aussi Québécois et fut soulagé de savoir qu’elle ne serait pas la seul.
- Vient, laisse moi prendre ta valise, on a une bonne heure de route à faire et je voudrais te présenter à toute l’équipe. C’est-tu ta première fois en Suisse?
- Oui, en fait je n’ai jamais vraiment voyagé. C’est ma première fois en Europe.
- J’suis sur que tu vas aimer ça. Moi c’est ma deuxième tourné avec le cirque. J’suis trapéziste. Toi, c’est quoi ta discipline ? (En fait, il le savait déjà, mais il fit comme si de rien n’était.)
- Je suis contorsionniste, répondit Annie.
Il parlèrent ainsi durant tout le transport, vers le lieu ou était installé le cirque en ce début février. Elle appris entre autre qu’il allait y avoir un mois de répétition et qu’ils allaient pouvoir s’entraîner seulement le matin. Elle appris aussi qu’elle était la dernière arrivante et que toute l’équipe était déjà réuni. Hugo était très curieux de connaître Annie. Il n’arrêtait pas de lui poser des questions sur son cheminement et comment elle avait abouti au cirque. Elle répondait volontiers à ses questions. Il semblait être quelqu’un de simple, qui aimait la vie et qui aimait rire. Cela plu à Annie et ils développèrent rapidement une belle complicité.
Les répétitions avaient maintenant commencés depuis deux semaines et les deux québécois passaient relativement beaucoup de temps ensemble. Un jour, lors des entraînements matinaux, Hugo vint assister à l’entraînement d’Annie et remarqua qu’elle avait vraiment de très jolis pieds. Il avait une passion pour les pieds depuis toujours. Ça saison farorite était le printemps, car toute les fille laissaient tombé les bottes pour de jolis petites sandales. Il adorait aussi les chatouilles et en voyant ses orteil gigoter en l’air (il s’agissait d’un élément artistique de son numéro de contorsion, bougé les orteils dans toute les directions, les écarter, les pointer, etc.), il eu irrésistiblement envie de les chatouiller.
Les jours suivant, Hugo était presque toujours présent aux entraînement d’Annie. Il la trouvait belle et ne pouvait plus se passer de regarder ses mignon petits pieds et surtout ses orteils quel faisait bouger dans tous les sens. Il mourrait d’envie de la chatouiller, de la faire hurler de rire et qu’elle le supplie d’arrêter, que c’était de la torture.
Annie, de son coté, n’avait rien remarqué, outre le fait qu’Hugo la regardait travailler et qu’il semblait lui vouer une affection particulière. Il est vrai que les deux s’entendait vraiment très bien et qu’ils avaient beaucoup de points en commun. De toute façon, elle l’aimait bien et le fait qu’il lui porte autant d’attention n’était pas pour lui déplaire.
Un soir, Hugo invita Annie dans sa caravane pour regarder le film Québec Montréal. Elle accepta volontiers et lui dit qu’elle arrivait immédiatement après sa douche. Elle arriva bientôt, vêtu seulement d’une petite camisole et d’un boxer. Elle ne portait pas de chaussette mais seulement des pantoufles. Ils s’installèrent confortablement sur le lit d’Hugo, pelotonné l’un sur l’autre et commencèrent le film.
- T’sais, j’voulais te dire que j’aime vraiment ton numéro d’contorsion, dit Hugo après un moment.
- Merci, c’est gentil.
- Mais j’voulais savoir, c’est quoi au juste que tu fais avec tes orteils, tu les fais bougés dans toutes les sens ?
- Ça fait parti de la chorégraphie. C’est mon entraîneur qui avait eu cette idée pour mon numéro. Pourquoi, t’aime-ça?
- Oui, j’trouve ça très beau. T’as vraiment des jolis pieds et ça les mets en valeur.
À cette remarque, Annie jeta un regard en coin vers Hugo et eu un petit sourire gêner. Hugo était quant à lui soudainement très concentré sur le film, mais la couleur de ses joue trahi sa gène évidente.
Après un moment, Annie fit mine de s’étirer et allongea ses jambes nues. À la réaction de Hugo, elle comprit qu’elle avait capté son attention et à l’aide de son pied gauche, enleva lentement sa pantoufle droite. Elle fit de même avec la pantoufle gauche. Hugo vit alors deux magnifiques petits pieds. Ils avaient une belle arche juste assez prononcer et des orteils parfaitement aligné. Elle entreprit alors de doucement les faire bouger comme dans son numéro.
Hugo n’en croyait pas s’est yeux. Elle le provoquait. Elle avait fait cela exprès. Ça méritait punition d’être aussi arrogante. Il lui dit :
- T’as l’air un peu tendu, veux tu que j’te fasse un massage ?
- Euh oui, d’accords, je veux bien.
Elle lui présenta son dos mais il se dirigea vers ses jambes et prit ses pieds sur ses genoux. Elle fut à peine surprise et lui fit un grand sourire. Hugo commença son massage. Elle avait la peau incroyablement douce et ils étaient aux anges. Lui parce qu’il avait ses pieds sur un plateau d’argent et elle, parce que s’était très agréable et qu’elle rêvait qu’il la chatouille. Hugo fit alors un faux mouvement et chatouilla (accidentellement) la plante de pieds.
- Hihihi, va y doucement, je suis vraiment très chatouilleuse, lui dit-t-elle, avec un grand sourire.
Elle était assise en écaire par rapport à lui, avec les bras légèrement derrière elle pour maintenir le haut de son corps verticale. Elle le fixait intensément car elle se demandait si il avait saisi l’allusion lorsqu’elle lui avait demandé d’y aller doucement.
Il lui rendit son sourire et commença à faire des passages très légers du bout des doigts sur la plante des pieds. Annie rit doucement et agita les orteils mais ne fit aucun mouvement pour retirer s’est pieds. Il varia ainsi les rythmes et les pressions pour voir les endroits les plus sensibles de son pied. Il s’avéra qu’un point au bas de la plante, près du talon était particulièrement chatouilleux et il s’y attarda quelque instant, déclenchant chez Annie une série de petit rire incontrôlable. Elle ne faisait toujours aucun mouvement pour essayer de se soustraire aux chatouilles et seuls ses orteils gigotaient frénétiquement.
Après une dizaine de minutes de ce doux traitement, il ralenti le rythme et dit a Annie qui riait toujours :
- t’sais, tes petits orteils qui gigotent tout le temps, sont-tu chatouilleux eux?
- Hihi, je ne sais pas, à toi de le découvrir.
Hugo regarda alors Annie d’une toute autre Façon. Elle était là, offerte à lui, elle le regardait d’un air vulnérable et il la trouva belle. Elle lui souriait timidement et attendait la suite. Elle avait l’air d’aimer se faire chatouiller. Il se pencha alors vers elle et lui fit signe de s’approcher. Elle lui souriait toujours et ils s’embrassèrent tendrement.
Mais Hugo n’en avait pas fini avec ses pieds et ses orteils l’avait bien trop n’arguer pour qu’il en reste là. Il glissa doucement sa main juste sous ses orteils se qui fit sursauter Annie.
- Hey, c’est de la triche. Tu essais de me déconcentrer et hihi haha, HAHAHA
Elle n’eu pas le temps de finir sa phrase et ce remis à rire de plus belle. Elle était nettement plus chatouilleuse à cet endroit et tenta de retirer ses jambes. Hugo attrapa alors ses chevilles d’un bras et la chatouilla férocement sous les orteils. Elle ce mis à hurler de rire et à se débattre furieusement. Il faisait aller ses doigts vigoureusement sous ses pieds et Annie vivait un véritable supplice.
- NON, pas là, je t’en supplie, pas sous les orteils, je suis vraiment trop chatouilleuse, ARRÊTE !!
Elle tenta de contre attaquer en chatouillant à son tour Hugo sur les cotes.
- Hey, qu’est-ce que tu fais, arrête. Ça chatouille.
- HAHAHAHA alors, HAHAHAHA lâche HAHAHA mes pieds HAHAHA.
- D’accords, mais tu l’aura voulu.
Il lâcha ses chevilles et lui sauta dessus, la chatouillant partout ou il le pouvait. Tous ça dégénéra et ils ce chatouillèrent mutuellement durant de longue minutes.
Finalement Annie déclara forfait et le supplia de la lâcher, ce qu’il fit à contre cœur. Quelques minutes passèrent.
- C’était vraiment très bien, dit-t-elle après avoir repris son souffle. J’ai adoré.
- C’est quand même drôle que t’arrêtes pas de gigoter les orteils dans toutes les sens et que c’est ton point le plus sensible. On dirait qu’tu fais exprès !
- Bah, t’sais, j’fais juste pratiquer mon numéro !
- ouais, c’est ça, et tantôt, quand t’as enlevé tes pantoufles, c’était aussi pour répéter ton numéro, j’suppose ?
- Hihi, non là, j’ai fais exprès, hihi !
- T’es vraiment incroyable toi !
- Hihi, merci.
Elle eu un petit sourire et détourna le regard, gêné.
- T’es vraiment très belle, lui dit-il après un moment.
Cette fois, c’est elle qui l’attira et qui l’embrassa.
Ils passèrent ainsi le reste de la nuit ensemble, échangeant baiser, caresse et chatouille.
À suivre…