It looked pretty in french.. But, I'll post the translated version too.
Laissez-moi effectuer mon travail chaque jour ; et si les heures obscurcies du désespoir me surmontent, peux je ne pas oublier la force qui m'a soulagé dans la désolation d'autres fois.
Peux je néanmoins me rappeler les heures lumineuses qui m'ont trouvé marcher au-dessus des collines silencieuses de mon enfance, ou rêver en marge d'un fleuve tranquille, quand une lumière a rougeoyé chez moi, et de moi a promis mon premier Dieu pour avoir le courage parmi les tempêtes des années changeantes.
Épargnez-moi de l'amertume et des passions pointues des moments sans surveillance. Peux je ne pas oublier que la pauvreté et la richesse sont de l'esprit. Bien que le monde me connaisse pas, peuvent mes pensées et les actions être comme me maintiendront amical avec me.
Soulevez et vers le haut mes yeux de la terre, et laissez-moi ne pas oublier les utilisations des étoiles. Interdisez que je devrais juger d'autres de peur que je me condamne. Laissez-moi ne pas suivre la clameur du monde, mais de la promenade calmement dans mon chemin.
Donnez-moi quelques amis qui m'aimeront pour ce que suis je ; et la subsistance brûlant jamais avant mon vagabond fait un pas la bonne lumière de l'espoir.
Et bien que l'âge et l'infirmité me rattrapent, et moi relevez pas de la vue du château de mes rêves, enseignez-moi à être toujours reconnaissant pendant la vie, et pour les mémoires vieilles du temps qui sont bonnes et douces ; et peut la soirée crépusculaire encore me trouver doux.
Translation:
Let me do my work each day; and if the darkened hours of despair overcome me, may I not forget the strength that comforted me in the desolation of other times.
May I still remember the bright hours that found me walking over the silent hills of my childhood, or dreaming on the margin of a quiet river, when a light glowed within me, and I promised my early God to have courage amid the tempests of the changing years.
Spare me from bitterness and from the sharp passions of unguarded moments. May I not forget that poverty and riches are of the spirit. Though the world knows me not, may my thoughts and actions be such as shall keep me friendly with myself.
Lift up my eyes from the earth, and let me not forget the uses of the stars. Forbid that I should judge others lest I condemn myself. Let me not follow the clamor of the world, but walk calmly in my path.
Give me a few friends who will love me for what I am; and keep ever burning before my vagrant steps the kindly light of hope.
And though age and infirmity overtake me, and I come not within sight of the castle of my dreams, teach me still to be thankful for life, and for time's olden memories that are good and sweet; and may the evening's twilight find me gentle still.
- anonymous.